Dernières strophes

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Que de belles paroles et j’en raffolerai,
A perpétuité,

De louer le sourire de ces roses jadis,

Ivre mortes de lazzi larvé

Par leur regard lointain

Roses roses de ma jeunesse.

J’en raffolerai, perpétuellement

De vos virées à travers mon corps

Cette harmonie de couleurs que vous

Roses rouge, blanche, rose

Créez en mon être.

J’en raffolerai, éternellement

De vos restes

De vos excursions

De vos joies

De vos peines

De vos fous lazzis

Qui ont laissé une tache indélébile en mon être.

J’en raffolerai, toujours

De vos belles journées de vingt-heurs

Virevoltante de volupté enhardie

De vos promenades égayées sur le boulevard du temps

De vos différentes saisons.

Toujours en avance sur vis goûts

J’en raffolerai à la folie, roses de ma jeunesse,

De l’espoir que mon être nourrit en votre existence

ConfessionsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant