Le radeau de la méduse

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Monde de déboires,

Incessante bassesse

Je vis comme un étranger dans ma propre maison.

Ces ‘’extra humains’’ virevoltant de plaisirs

S’entrelacent devant le miroir de la démence

Et se perdent dans le labyrinthe de la destinée.

Et pourtant

J’en suis un, que la Providence a bien daigné faire éclore

Parmi ces ‘’belliqueux’’

Ce fléau de tant de souffrance

Sont-ils les mirages de l’abnégation

Les pères prédisaient des futurs dieux

Au savoir plus grand que la débauche

Je prédis des monstres, divorçant de la ‘’vraie vie’’.

Que fis-je à Kronos pour mériter un tel châtiment

Naître dans la désolation et le Chaos

La rose blanche devint noire face à ces tergiversations

Drame !

Je fis frissonner la cloche de mes entrailles

ConfessionsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant