Ils ne sont pas des moindres
Ceux qui s’en prennent à mon logis
Ricanant de leur victoire sur mon refuge qui geindre
De leur œuvre qui rend caduque mon avis.Cette névralgie qui me saigne
Détruit mes nerfs arides
Dépouillé de sa beauté intérieure
Elle pleure son paysage extérieur
D’un effroi en chœur, ses enfants la suiventL’orgue de la mort y met son grain de sel
Vers ce qui deviendra le caveau
D’une mère en détresseCette nevralgie me saigne
Du plus profond de moi.
Je le sens du plus profond de moi
Haillons sur le coeur
Qui s'éprend de mon âme tourmenté
Au calme des soirs sans nuits
Et des jours sans lumières.* * * *
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Confessions
PoesieAu coeur de ces confessions se cachent plusieurs émotions qui vous font voyager. Voyagez avec le poète dans ce recueil et soyez emportés par ces confessions Bonne lecture ✌