Le festin

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Il fut ce jour,

Convié au même festin

Je la vis, calme, introvertie

Mais prête à partager son secret

Je vis une fée à l'autre bout du terroir

Si belle

Et son regard me plongeait vers un monde imaginaire

Ou les hommes, baignés dans l'amour parfait

S'adonnait à la paix plutôt qu'à la guerre

Il fut ce jour

Ou ce regard si tendre me rendit plus conscient que je ne l'étais.

Cette fougue, cette passion qu'elle cachait,

Cette pensée abrupte d'affection qu'elle me transmettait

Par son regard, en ces noces qui furent les nôtres.

Il fut ce jour,

Ou mon plus beau fruit

Fut qu'elle me sourit

Et je fus gré de la convier à valser.

La magnificence de ses pas,

Faisait naître en moi des desseins de grandeur pour ma bien aimée

Et mes pulsions en furent victimes

D'une main suave, elle ternit mon foie

ConfessionsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant