1942-Chap 1

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Aliyah

Je suis sur le canapé coller à Travis, près du feu nous parlons de tout et de rien...surtout de rien vu qu'il lit un livre. Nous sommes surment le soir ca fait un bout de temps que je n'aibpas mis le nez dehors alors je nai olus vraiment la notions du temps...j'ai appris aujourd'hui que a Paris et au nord ca s'agitait vraiment. 2 ans que Charles de Gaules avait lancé son appel nous l'avions écouter depuis la radio.
La maison ou nous sommes n'est pas la notre nous la partagons avec plusieurs réfugiés, juifs, armeniens, noirs et blancs qui ne souhaite point voir d'homme miserable a la politique.

Moi: Travis ?

Travis: hum...?

Moi: Dit moi es tu laissé de moi ? Dis-je en titillant mon colliers en croix du Christ.

Il ferme son livre.
Travis: Pourquoi tu dis ça ?

Moi: Non juste comme ça, en vrai si je n'étais pas là tu ne te cacherai pas.

Travis: Je ne me cache pas, TU te cache ou plutot JE TE cache.

Moi: Oui si tu veux...

Travis: Mais non je ne me lasse pas de toi...je ne me lasserai jamais de toi chérie !

Il m'embrasse tendrement.
Travis: Ne pense plus jamais ça ok ?! C'est pas pour rien que je me suis enfuie pour toi non ?

Moi: T'as raison...

Je l'embrasse et monte sur lui.

Travis: Tu fais quoi j'ai pas fini de lire.

Moi: Tu lis trop.

Travis: Et toi pas assez.

Moi: Moui...

Je l'embrasse retire ses lunettes et son haut et prend son visage entre mes mains, je ne me lasserai jamais de regarder des yeux bleu turquoise profonds tellement beau, il retire mon haut, aussi je sais que personne dans ce genre de situation n'oserai avoir du plaisir mais je vous assure quand vous avez un homme tel que lui vous ne pouvez pas vous en empêché. Je lui déboutonne son pantalon et avant que je puisse le débarrasser de son sous vêtement il malongea sur le canapé et m'embrassa longuement et s'arrêta.

Moi: Je t'aime...

Lui: Moi aussi.
Il enfonça sa main dans mon sous vêtement.

Moi: hen... Jésus !

Travis: Chut...

J'agrippa le canapé de toutes mes forces puis Il fis rentrer un doigt en moi, ce qui me donna la tramblotte d'un coup. Il fais bouger ses doigts en moi et je crie je narrive plus à contrôler mon corp.

Travis: Chut on pourrai t'entendre jusque dehors.

Moi: Je ne...Le fait pas exp...exprès !

Je sens ses doigts en moi bouger d'une façon que je ne puis décrire ils mouvaient en moi...puis il fit des vas et viens et je ne peut et ne sais quoi faire dans ces moment
Quand il eut fini de jouer de moi avec ses doigts et de me regardé agoniser de plaisir il décida de passer au choses serieuses en me laissant travail inachevé.
Je le regarde l'aire de ne point comprendre puis il me souleva pour nous emmener sur le matelas au sol et de couvrir nos corps nu d'une couverture, il se positionne au dessus de moi et et cherche "l'entrée" de mon corps, trouver il ne se fait pas attendre et entre directement en moi, mon bassin se lève les jambes de croise au dessus de son dos et je m'y agrippe aussitôt. Notre coïte dura un bon moment il me répète à chaque fois de me taire mais je ne peux a chaque fois qu'il rentre en moi est comme un feu d'artifice en moi et mon cri est mon admiration, aux derniers instants de notre acte il va de plus en plus vite se qui me fait m'agripper a son dos et jouir encore plus puis il se stop et je sais son corp se raidir tout ses muscles de contracter et reste au dessus de moi le temps de se reprendre tout son poid est sur moi j'arrive à pleine à respirée tellement il est lourd puis il m'embrasse et s'allonge entre mes jambes la tête sur mon ventre.

Black&White AmericaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant