I Miss You. [En Pause]

Chapitre 1.

Hi ! Je sais, j'ai pas posté depuis longtemps :// Je devrais poster un chapitre de Be Quiet dans pas longtemps, je vais essayer de m'y remettre en tous cas ! Bref, ceci est une nouvelle fiction commandée par mattanda01 ! J'espère que ça va te plaire, je sais que tu avais hâte de la lire :P Chaque chapitre sera assez court mais en contrepartie j'en publierais plusieurs par semaine. Bon assez parlé ! Enjoy !
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Valentine - Maman ! Je veux celui là ! m'exclamai-je en pointant du doigt un chaton noir et blanc.

Chelsea - Tu es sûre ?

Valentine - Oui ! Je vais l'appeler Molly ! annonçai-je avec un immense sourire.

Chelsea - D'accord, on le prend.

Ma mère fit venir un vendeur pour que l'on puisse récupérer le bébé chat. J'étais très contente d'enfin en avoir un. Maman m'avait promis que j'en aurai un pour mon cinquième anniversaire.

Je regardai la petite caisse posée sur le siège à côté de moi. Des miaulements aigus s'en échappaient et, parfois, Molly passait sa patte dans le trou de la boîte. Elle me faisait rire à essayer de déchirer le carton. Elle était un peu paniquée enfermée là dedans alors je l'ai prise sur mes genoux et elle s'est calmée. On est finalement arrivées sans encombres jusqu'à la maison. J'avais hâte de la montrer à Papa.

Mon père était arrivé peu de temps après nous, il m'a dit qu'il aimait beaucoup le pelage de Molly. Toute la famille était déjà très attachée à la petite boule de poil.

Valentine - C'est le meilleur anniversaire de toute ma vie ! ai-je lancé en caressant mon chaton.

Mes parents étaient heureux eux aussi. Ça se lisait sur leurs visages.
Ma vie était celle dont tous les enfants pouvaient rêver. J'étais entourée d'amis, ma famille était aimante, chaque jour qui passait me semblait encore mieux que le précédent. Le soir, je pouvais m'endormir calmement, en sachant que j'étais protégée. Et tous les matins, mon père étant au travail, ma mère me réveillait doucement en chuchotant "Wake up, I already miss you... ". C'était comme notre habitude quotidienne. Ça me rappelait que mes géniteurs seraient toujours là pour moi.
Malheureusement, je n'avais que cinq ans. J'étais naïve. Je ne pouvais pas deviner ce qui se passerait.