5. Le chamboulement.

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J'avais accepté les vêtements de Tara et nous étions aller manger au self, oh miam, des champignons avec de la purée de carottes...

J'étais assise avec Zoe, Tara et Hailey quand Daniel arriva. Il avait un t-shirt blanc avec un jean et des vans noir.

Daniel : Hey Ava, t'es bien installée? Et bonsoir, vous, vous êtes ses camarades de chambre?

Hailey se leva et tendit sa main avec un large sourire.

Hailey : Salut toi, moi c'est Hailey, j'suis enchantée, c'est quoi ton p'tit nom?

Daniel : Moi c'est Daniel, je peux manger avec vous?

Tout le monde accepta, le dîner se déroula bien, Hailey le draguait comme une folle, mais peu m'importe, si il lui plaît. Je trouvais vraiment Zoe et Tara gentille, on riait ensemble, Hailey n'est pas pareil que nous, mais vu qu'elle est avec nous, on fait avec.

En allant me coucher, mon téléphone sonna, je répondit, c'était mon père!

Papa : Allô ma chérie? C'est papa! Comment vas-tu?

Moi : Papa! Je vais bien, mise appart que ma valise n'est pas avec moi, je me fais des amis enfin voilà!

Papa : Génial, bon je dois te parler de quelque chose qui ne te plairas peut-être pas...

Avec lui je peux m'attendre à vraiment tout.

Moi : Je le sens bien, bon dis moi.

Papa : Tu vois Isabel, ma collègue de travail, et bien.. nous sommes ensemble et elle va venir habiter avec nous, dans l'appartement, je l'..

Moi : Comment ça?! Habiter avec nous! Elle a le même nom que Maman! Tu te rends compte! Tu as oublié maman! Comment tu as pu faire une chose pareil papa! Non!

Papa : Ecoute Ava, je dois redémarrer une vie, tu l'as connaît, elle est gentille, nous sommes ensemble depuis 1 mois maintenant.

Je déteste cette femme, réellement, mon père croit que non mais, elle est arrogante, mesquine et j'en passe.

Moi soupirant : Mh, ta vie n'est pas déjà bien? Je ne l'aime pas! C'est clair? Mais, fais bien ce que tu veux, et tu as bien fais de me le dire une fois que j'était à plusieurs heure de la maison, pour éviter que je claque la porte trop fort.

Je coupa la conversation net, jeta mon téléphone et sortis en courant, il pleuvait des cordes malgrès qu'il faisait très chaud. J'alla m'accroupir dans l'herbe, j'étais trempée, mes cheveux dégoulinaient, j'avais du noir jusqu'au menton, j'étais lamentable. Lorsqu'une main se posa sur mon épaule.

Je me retourna de toute vitesse et vis une silhouette sombre, il se mis devant moi et je vis ses beaux yeux noisettes, ses cheveux noir mouillé.

THERE IS NO ONE LIKE YOUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant