Ô spectre incandescent, illumines les résidus défaits
De mes délires circulaires, des cellules sans fonds
Les failles de la raison, les trésors enfouis
Dans les inclinaisons
Les jardins secrets que vendent les attraits
Des princesses endormies et charmantes
Dont les corps magnifiques
Attirent les misérables et les insondables
Attirent les pécheresses qui profanent
Les corps. Enlacées telles des spirales volatiles
Des bribes d'espérance, silhouette débridée
Les encens du sinistre et soudoyant silence
Les murmures étouffés, les embruns confondus
Les méandres du monde, les jardins suspendus
Dans les vides indomptables, cavernes de mystères
Les trésors vivaces, le désir infernal
Flamboie, tournoie, se retourne, gémissement du vent
Obnubilant la Mélancolie sourde que l'isolement perdit
Dansent, dansent les ombres, partenaires de la nuit...
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La Mort :
PoetryJe ne sais meme pas si on peut appeler ça un recueil de poèmes en prose... C'est toute la détresse intérieure qui veut s'exprimer.. Voilà, si vous êtes tristes, ne lisez pas ça s'il vous plait. Sinon, aux autres, bonne lecture ! j'en écris de nouvea...