L'enfant solitaire qui espère acquérir le joyau,
Dont les yeux pareils à des perles de cristal
Reflètent des peurs ancestrales
Qui s'enferment, cellules, protection sinistre,
L'âme abandonnée, havre de paix,
Emprisonnement, captivité,
L'enfer qui m'enferme. Se referme
Le portail des espérances, la pierre taillée,
La romance rancie de la ressemblance,
L'aigreur des aigles gris de la démence,
Que semblent renvoyer les patins de l'absence,
Les poupées ricanant, ricochant comme des pierres acérées,
Lacérantes, le sang des lendemains,
Les libellules, libertés avortées, opprimées,
Les mérites mystiques du souvenir.
Virulents, virtuels, virtuoses, cruels, ils vont,
Les volontaires de la vie, ils se battent
Et abattent l'ennui.
Ils ravalent le sel de leurs défaites,
Ils fêtent l'aube d'un nouveau monde,
Ils s'encombrent de futilités
Qui a jamais comblent leurs vies sans intérêt.
L'art doit triompher et tromper
L'art, mélodie du passé grandiose,
Qui dessine l'avenir...
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La Mort :
ŞiirJe ne sais meme pas si on peut appeler ça un recueil de poèmes en prose... C'est toute la détresse intérieure qui veut s'exprimer.. Voilà, si vous êtes tristes, ne lisez pas ça s'il vous plait. Sinon, aux autres, bonne lecture ! j'en écris de nouvea...