Délires paranoïaques
Cœur insipide
Rongé par l'acide
Dérisoire existence
La chaleur est l'essence
Rimes inassouvies
Vapeurs d'acide
L'essence enflamme les sens
Les voiles, les râles
Trahisons vertigineuses, angoisses
Des profondeurs, du vide
Qui s'infiltre. Bribes de
Paroles insensées
Censure simultanée
Le cœur et les péchés
Piètre partisan qui ricane
Dans l'antre.
Répudiée, réduite aux lucidités
Fuite vers l'incidence des évasions
Illégales, déplorables, sinueuses, banales
Oscillations, vertige, nausées, poison
Recherche l'évasion du temps
Suspens le réalisme des mystérieuses statues
De l'agonie différée des anges de pierre
Ricanements, cris perçants, flammes, tourments
Traverse la forêt de merveilles
La fée trahie est une folle furieuse
Et enserre les misères, et furète sans arrêt
Germe dans ton esprit la fleur de la vie
Esquisse la nonchalance risible des éphèbes muets
L'aube ou l'obscurité
Dieu ou la pauvreté
De l'âme. Inconstance, incertitude, la peur
Réclame la vérité du cœur
Attends éternellement, couvre le sol de pleurs
Oh la ferveur resplendit, univers maudit des pécheurs
Leurs baisers se consument dans les flammes.
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La Mort :
PoetryJe ne sais meme pas si on peut appeler ça un recueil de poèmes en prose... C'est toute la détresse intérieure qui veut s'exprimer.. Voilà, si vous êtes tristes, ne lisez pas ça s'il vous plait. Sinon, aux autres, bonne lecture ! j'en écris de nouvea...