Solitude [EN PAUSE]

Le Ciel Depuis La Rue

Assis sur le sol, je contemple les autres. Je regarde tout ces gens qui eux, ne me voient même pas, qui ne connaissent pas la tristesse, ou la douleur.
Tout ces gens j'observe leur visage. Je suis près a partir en courant à tout instant: je n'ai pas pu partir bien loin, mon père pourrais être là.
Mais voir tout ces visages ça me donne envie e vomir. Tout ces gens qui font la gueule, qui ne savent pas ce qu'ils ont, qui se lamente sur leur pauvre vie pleine de richesses.
Alors pour un instant mes yeux se lèvent vers le ciel. Ces fragment de bleu que l'on peu apercevoir entre l'immensité des immeubles. Depuis les huit jours que je suis assis contre se mur, comme un mendiant, le ciel n'a pas eu deux fois la même couleur.
Et le nuages s'étirent, avancent, change de forme, me probant que, même si j'ai l'impression que je revis la même heure avec tout ces gens qui ne sourient pas et sont habillés de la même façon, le temps passe bel et bien.
Je ne m'ennuie plus quand je regarde le ciel. Je ne me lasse pas de cette beauté changeante.