job | L.T. |

1.3

- Ma façon d'écrire va quelque peu changer. J'espère qu'à vos yeux ça sera toujours la même chose 💜 -

<< euh ouais salut >> bafouilla la jeune femme qui n'avait pas l'air de grandement faire attention au jeune homme.
<< Il est vrai que je suis un peu curieux mais est ce que je peux savoir qui tu es ? >> questionna le jeune homme en se grattant la nuque, gêné.
<< Je pense que tu ne devrais pas faire trop attention à moi, je m'en vais bientôt >> et elle partit, le laissant la planter au beau milieu de la grande cuisine.

Pourquoi il vient me casser les couilles celui la marmonna-t-elle en escaladant les marches des escaliers. Elle pénétra dans ce qui était sa chambre et s'allongea sur son lit. Comment sortir ? Comment partir ? C'était des questions dont il fallait vite en trouver les réponses.

Pour la première fois, elle se sentait seule, normal, elle était seule. Aucun bruit dans la pièce, juste elle comme d'habitude. Elle s'en fichait au fond d'être seule, c'était juste que ces derniers moments elle n'était plus seule : son père, sa belle-mère, la sale gosse mais surtout le taré. Ah...lui elle ne voulait plus le voir, plus jamais. Son corps peut en témoigner, en moins de deux jours il l'avait affaiblit comme jamais.

Elle se positionna en tailleur sur le grand lit et inspecta tout les recoins de la chambre, cherchant quelque chose qui pourrait être son échappatoire. Une petite brise se fit ressentir dans la pièce, elle se tourna vers le balcon un petit sourire béat sur le visage. Elle trottina jusqu'au balcon et respira l'air comme si elle n'avait jamais respirer. Un petit rire mélodieux sortit de sa bouche, et si elle arrêtait un peu d'être toujours aussi grincheuse ? Et si elle attendait que son père la fasse sortir à coups de pieds de cette jolie maison quand il en aura marre d'elle ? Et si pour une fois, elle vivait ?

Tout à coup, ce fut un déclic, elle prit une douche pour la deuxième fois de la journée et fouilla dans le dressing pour en trouver une belle robe moulante ainsi que des bijoux et des talons. Elle se maquilla, se parfuma et se coiffa. Elle était maintenant devant le miroir, et elle voyait une très jolie femme, elle n'allait pas se mentir, elle se trouvait craquante.

Au même moment, une personne frappa à sa porte et l'ouvrit.

<< Le dîner est prêt. Écoute Al' je sais que... >> En moins de deux, elle était dans ses bras.
<< Je t'aime Papa, ce n'est rien je te pardonne >> Mais que lui arrivait elle ?
<< Je... Bon... Tu es sûre que tu vas bien ? >> Il n'en croyait pas ses yeux ni ses oreilles. << Je t'aime aussi Al', si tu savais... Wow ! Tu es resplendissante. >>
<< Merci ! >> fit elle en souriant. << Bon ce n'est pas tout ça, mais moi j'ai la dalle donc ça te dirait que l'on descende manger ? Et puis tu en profiteras pour me présenter à ta femme et à ta fille >> lâcha-t-elle avec une joie inée.
<< Allons y ! >> dit-il avec entrain.

Ils descendirent en rigolant des conneries que la jeune femme disait. Quand elle le veut, elle n'est pas si chiante que ça. Dans la salle à manger, le reste de la petite famille était assise autour de la table et attendait le père et sa fille enfin' si elle se décidait à venir celle la Pensaient-ils. Le repas se fit dans une ambiance très agréable, des éclats de rires, des discussions à propos de certains projets, des blagues, de la bonne nourriture, du vin, du champagne... Bref, un très bon moment quoi. Ils avaient tous discutés, Alavanna allait devoir reprendre ses études tout d'abord à la maison puis en université, Jenna sa belle mère était très décidée à l'emmener faire du shopping le lendemain et pleins d'autres choses qui ne faisait que ravir la jeune femme.

Ils avaient parlé de tout sauf du passé, serait ce sûrement ce qu'il fallait oublier ?

De l'autre côté de Londres, dans un endroit beaucoup plus sombre, Louis sur son ordinateur faisait des recherches sur Alexandre Bonne, il avait cette grande détermination dans les yeux même si il ne trouvait rien. Aucun dossier. Aucun fichier. Il n'était connu d'aucun services. On dirait même qu'il n'existait pas à la surface de la terre. Pourtant il était bien là, on le voyait à la caméra. Il referma brusquement son ordinateur et sortit dans le balcon une clope à la main. Ces conneries finiront bien par le tuer mais qu'importe Zayn aussi finirait bien par le faire. Son téléphone portable vibra dans sa poche, tiens quand on parle du loup.

DE : ZAYN

Je vais te défoncer.

Il soupira. Putain de merde.

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Bon saluuuuut c'est pas le plus beau des chapitres ( je le sais) mais c'est après que tout se corse. Croyez moi. Bref donnez moi vos avis

Bisouuuuuuus !!