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| A L A V A N N A |

Je me débattais et criais de toute ma voix. Je savais que si je n'agissais pas dans le moment présent, j'allais regretter de ne pas avoir été rude face a lui.
Je ne réservais la violence que pour les cas d'urgence et je supposais que ce moment était un cas d'urgence.

Je lui envoya un coup brusque qui lui fit tomber son couteau, il se rua sur moi et posa sa main sur ma bouche comme pour bloquer mon souffle. Je lui envoya un coup de genoux dans les bijoux de famille et il tomba a mes côtés en se tordant sur le sol.

Je me releva et m'empressa de courir à travers la maison inconnue. Je ne savais pas ou j'allais mais je tentais tout les passages possibles, j'avais souvent peur de tomber sur des impasses et de tomber raide morte poignardée sur un vieux mur. Des perles salées coulaient le long de mes joues m'aveuglant dans ma course. Je ne savais pas pourquoi je pleurais mais je le faisais tout de même. Ça faisait si longtemps que les larmes n'avaient pas glissés sur mes joues que j'en avais oublié la désagréable sensation. Il était derrière moi, je le sentais, il était attardé par la douleur qui provenait de son entre-jambe mais il me suivait de très près.

Je trouvais des escaliers et les descendaient a toute vitesse. Ma rapidité m'avait empêché de voir la dernière marche que je rata et je me retrouva lamentablement les genoux sur un sol tapissé. Je me releva difficilement et boita jusqu'a la porte d'entrée. J'enroula ma main sur la poignée mais il me tira violemment par les cheveux encore une fois et m'allongea durement, je criais et me débattais difficilement mais il me tenait si fermement que je ne pouvais même plus en bouger.

- Tu t'appelles Alavanna hein ? On va le graver quelque part pour que tu ne puisses plus mentir a personne. Il regardait mon bras et son couteau avec pleins de malice. Et je crois que j'ai trouvé où le faire.

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ET VOILAA ENCORE UN CHAPITRE DE RÉÉCRIT.

ARIANA.

job | L.T. |Où les histoires vivent. Découvrez maintenant