Je serai là (dramione)

Chapitre 5

Depuis que nos mains étaient serrés il ne cessait de me regarder.

-Ne me regarde pas comme ça ordonne Hermione

-Qu'est ce que tu as encore toi ? Je fais ce que je veux, quand je veux et avec qui je veux. 

Il ajouta à la fin de sa phrase un petit clin d'oeil. Je voyais dans son comportement qu'il commençait à se comporter comme le garçon séduisant son tout premier rôle qui aurait pu être adapté au cinéma tellement était-il bien joué.

-Tu te rends compte que tu joues au gars séduisant avec moi la ? Ton premier rôle d'acteur devant Hermione Granger .
-Mais je ne le joue pas Granger, je suis séduisant de naissance.

Je n'ai vraiment pas pu m'empêcher de rire à ce qu'il venait de me dire. Il se retourna pour rentrer dans sa chambre et je ne pus m'empêcher de scruter son dos musclé et bien taillé.
NON HERMIONE JEAN GRANGER TU NE PEUX PAS ! 

Tu n'es donc pas aussi naïve que toutes celles qui sont passées dans son lit quand même. Tu ne dois pas t'attacher et tu ne dois pas regarder ! Je ne peux pas tombé sous son charme, je ne peux pas dormir dans son lit, c'est mon pire ennemi. Il m'a faite pleuré, il m'a blessé et il est peut être encore responsable de la mort de mes parents. Que penserait Ron s'il me voyait faire ça ? de toute façon je m'en fiche, je n'ai pas envie de rester sérieuse, je ne veux pas de relation ou bien peut être que si mais tout cela se fera pour m'occuper et m'amuser. Je trouverais peut être même un Serdaigle ou un Poufsouffle pour cela. 

Après être rester planter la pendant plusieurs minutes? L'eau de la douche coulait. Drago prenait sa douche. J'entendis soudain un bruit violent dans la chambre de malefoy. Je me permise de rentrer dans sa chambre pour voir d'ou venait se bruit assourdissant et il s'agissait de son réveil. J'essaye une première fois de l'éteindre, mais il était vraiment très spécial (à l'image de son propriétaire). Je tapa dedans afin de l'éteindre définitivement et celui ci tomba sur le sol. Drago rentrait à ce moment la dans la chambre, serviette autour de la taille. 

-IL S'AGIT D'UN OBJET DE FAMILLE ! cria t'il brusquement comme pour prendre sa défense. 

Je ne pus m'empêcher de rire lorsque je vis sa réaction pour un simple réveil.

-et qu'est ce que tu fais encore dans ma chambre ? 

Il souriait bêtement. Qu'est ce qu'il peut m'agacer lorsqu'il porte ce sourie en coin de bouche. Soudain il me vient une idée afin de vérifier s'il avait le plan de faire comme moi: me rapprocher de lui afin de me servir de lui. Pour cela, il suffisait simplement que je tranche d'un coup que je ne souhaite finalement plus lui parler. S'il me répond qu'il est d'accord, cela voudra dire qu'il n'a pas de plan vis à vis de moi. Cependant, si il répond qu'il ne veut pas, c'est que forcément je lui sert à quelque chose dans l'histoire.

-Ecoutes, finalement j'ai mieux réfléchit. Je pense que ça ne sert a rien qu'on parle, c'est mieux lorsque nous sommes ennemis, de toute façon on ne sait pas faire autrement nous...

Drago me coupa la parole comme à sa grande habitude. 

-Tu peux être clair ? 
-Il faut que l'on arrête de se parler...
-J'espère franchement que tu rigoles. Tranche t'il avant de continuer:

-C'est impossible. Tout allait bien se dérouler, il faut que je te protège, tu ne comprends pas ? personne d'autre ne pourra te protéger. Hier soir tu disais qu'on devait se reparler pour ne plus paraître comme de pires ennemis et aujourd'hui tu veux tout faire pour que le contraire se réalise. 
-ce n'est pas bon que l'on se rapproche  et....  

Encore une fois je voulu continuer mais je fus coupée.

-parce que tu penses réellement que je peux me rapprocher d'une fille comme toi ? 

Il laisse sortir un petit rire narquois. 

-ARRÊTES DE ME COUPER ! SI TU N'ACCEPTES PAS MON STATUT SOCIAL ALORS POURQUOI VIENS-TU DE PASSER UNE NUIT AVEC MOI, POURQUOI TU ME PROTÈGES ?

J'avais répondu plus sèchement que je ne l'aurais souhaité.

-je veux que tu souhaites d'ici tout de suite. 

Il avait répondu d'un ton calme, mais ses yeux, devenus gris, ne laissait juste montrer qu'il était sous le point de s'énerver et tout cela sans que j'en sache la raison. Je tentais de répondre:

-Ne me donnes pas d'ord... 

Mais pour la énième fois Drago me coupa

-SORS J'AI DIT !

-JE T'AI DIS DE NE PAS ME DONNER D'ORDRES ! SI JE N'AI PAS ENVIE DE SORTIR DE CETTE CHAMBRE JE NE LE FAIS PAS.

Il se précipita soudainement vers moi et me poussa contre le mur derrière moi. Je le sentais en colère. Cette action de sa part m'avait surprise. Je laissa échapper un petit cri.  

-Est ce que je vient de te faire mal ? demande t-il d'un ton qui semblait, tenez vous bien: inquiet.

Je ne répondis rien , ne sachant comment réagir à son comportement

-Répond moi Granger, et sincèrement.
-oui...

Je répondis à contre coeur, je ne voulais pas être faible devant lui.
Tout d'un coup il donna un cou de poing dans le mur, j'eue d'abord cru qu'il m'était destiné, mais il était destiné au pauvre mur derrière moi. Malefoy venait de détruire sa main contre le mur de pierre derrière moi. 

-Malefoy tu as du te faire mal, qu'est ce qu'il te prend ? demande Hermione inquiète à son tour.

-Écoutes moi Granger. Si je te fais du mal, je ne vaut finalement pas plus la peine qu'eux tous la bas. Il est hors de question que je lève la main sur toi ou que je te fasse du mal. 

Mes yeux se dirigèrent vers sa main ensanglantée. 

-Maintenant tu pars dans ta chambre et il s'agit d'un ordre.
-Laisse moi te soigner s'il te plait.

Je ne savais pas pour quelle raison je lui avais demandé ça, mais je l'avais fait. Il me regarda dans les yeux, un regard qui voulait tout simplement dire "oui". 

Je me dirigea vers ma chambre. Je pris ma baguette et rentra dans sa chambre pour soigner sa main. Je lui lança un simple sors de réparation. Nous étions si proche que nous aurions pu nous embrasser.

-merci me répondit-il.

Je lui souris

-Hermione sors !

Il avait dit ça brusquement et si soudainement. Pourtant tout semblait plus calme entre nous. Pourquoi était-il si nerveux ? 

-qu...quoi ?!
-SORS J'AI DIS !

Je me sépara de lui encore tremblante et sortie de sa chambre d'un pas rapide : le plus rapide qu'il puisse être.