Bleu

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- hep hep hep, tu vas où comme ça ?
- au ruisseau tu veux que je fasse quoi ?
Dis-je à mon beau père en pleurant.
- je sais que tu vois une fille, je devrais te donner une correction mais pour l'instant, te voir pleurer me satisfé.
J'avais la rage contre lui, c'était le pire pensai-je, en fait j'étais égale à lui maintenant. Raison de plus pour que ne fasse plus parti de ce monde.
- toutes façons si je voyais une fille comme tu le dis et bien elle est plus là aujourd'hui.
Je partis en courant.
- Bleu, attend, bien fait pour toi !
J'arrivais au ruisseau où on avait l'habitude de se retrouver avec Lassi. Je me souvins de ses rire de son sourir, de son visage. Je l'aimais, je ne lui avais jamais dit mais je l'aimais. Maintenant je voulais me laisser mourir ici car c'était le seul moyen d'être encore en son contact.
- je t'aime Lassi
Cest ce que j'arrêtais pas de répéter, je l'aimais et je ne lui avais pas dit, Lassi tu m'en voulais et au lieux de m'approcher de toi, je t'ai enfoncé six pied sous terre en voulant te rendre jalouse.
- je t'aime Lassi
- BLEU !!!
Je me retournai et vit le portrait craché de Lassi, peut être sa soeur mais comment serait-elle qui je suis.
- qui es tu ? Lassila est morte, j'ai entendu les infirmiés qui es tu ?
J'étais énervé, peut être que c'était son fantôme, je me mis sur mes gardes.
- Non Bleu, c'est moi, c'est Lassi, tu n'as pas compris ce que les infirmiés ont dit !
- si j'ai très bien compris !
La coupai-je.
- non Bleu, ils parlaient de la fille qui partageait ma chambre !
Tout à coup, je compris, Lassila etait devant moi, elle n'était pas morte, elle etait la. Je l'as vi s'avancer doucement et prudemment, elle avait peur je lui avait fait peur dans ma folie. Je m'avançais aussi, de plus en plus vite, je voulais la prendre dans mes bras, sentir son  parfum. Quand je fus à trois/Quatre mètre d'elle, je fonçais, je L' attrapais avec tellement de bonheur que j'arrivais à la soulever, elle accrocha ses pieds à ma taille, je me demandais si je pou et profiter de ce moment pour l'embrasser, mais je préfèrais attendre. Je reculais toujours en la portant et m'assis sur le rochait, nos corps se collaient.
- j'ai ... J'ai cru que tu étais morte !
Dis-je, je pleurais, je ne pouvais plus m'arrêter.
- je sais, mais je suis là, t'as pas à t'en faire. Soufflait-elle tendrement.
- Lassi, ça fait quatre jours que je pleure, quatre, j'ai pensé à tous même à la facilité, Je ne peut pas vivre sans toi, je sais que j'aurais dû te le dire j'aurais dû tous te révéler mais je ne te connaissais pas, tu pouvais avoir peur. Lassi je t'aime, depuis que je t'ai vu j'ai sentit quelque choses que je n'avais jamais ressenti au par avant : l'amour !
Je voulais l'embrasser mais j'avais peur qu'elle me rejette, alors je raprochais ma tête doucement, elle comprit, elle avança elle aussi et m'embrassa. Elle m'aimait elle aussi, elle m'aimait, je l'aimais. S'en réfléchir ma langue s'insérera dans sa bouche et elle continua, elle me suivit. Je pouvais aller jusqu'au bout du monde avec elle. On s'embrassait, c'était me meilleure moment de ma vie, mon cœur battait a cent à l'heure, elle devait le sentir, avec sa main pose sur mon torse.
Mon beau père l'appela, il arrivait, d'un moment à l'autre il allait voir Lassi sur mes genoux peut être un peut trop collé à moi car aucun millimètre ne nous séparait. Elle compris que ce n'était pas bon, elle descendit de mes jambes et je lui pris la main pour la rassurer. Elle me proposa de courir jusque chez elle et s'y réfugier. On arrivait, elle avait du mal à reprendre son souffle, je le sentais qu'elle ce sentait pas tres tres bien. Je puis demandais si ça allais elle me répondit que oui. Son frère n'était pas content. Il l'apprit que j'avais beaucoup fait pleurer Lassi, je compris qu'elle tenait elle aussi à moi depuis le début.

Amour difficile ( en correction ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant