Amour difficile ( en correction )

Chapitre 9 incompréhension

Les examens me présentaient en bonne santé. Une jeune qui partageait ma chambre venait de desséder, je n'avais pas eu beaucoup le temps de la connaître. Ses parents venaient de ranger ses affaires et partaient. Les médecins m'ont annoncé que je pourrai sortir demain et m'ont dit que je n'allais pas reprendre les cours tous de suite. Elle m'as dit de beaucoup me reposer, mais aussi de prendre l'air quelques fois. 
Le lundi je rentrai comme prévue et je dormais profondément.
Le mardi pareil je dormais à point fermé même si j'étais en pleine forme.
Quand arrivais le jour où j'en avais marre d'être enfermé, le mercredi. Je décidais de partir me promener jusqu'au ruisseau pour repenser à tous ce qui s'était passé. Mon frère insistait pour venir mais je lui répondais non à chaque fois. Je voulais être seule dans mes pensées. Quand jarrivais au ruisseau Bleu y etait, il avait les pieds dans l'eau, assit sur le bord du ruisseau. Il pleurait, je l'entendais, il pleurait et il soufflait des mots : je t'aime Lassi !
- BLEU !!!!
Il se retourna, il avait les yeux creusé et rouge sûrement dû aux larmes et peut être le manque de sommeil on aurait dit qu'il n'avait pas dormi pendant une semaine. Ses cheveux fins etait décoiffés et ses pommettes étaient rouges elles aussi. Quand il le vit il ne bougea pas, on aurait dit qu'il avait vu un fantôme.
- qui es tu ? Lassila est morte, j'ai entendu les infirmiés qui es tu ?
Il avait un air menaçant. Je compris, il a dû entendre les infirmiés, quand il parlaient de la jeune fille qui partageait ma chambre.
- Non Bleu, c'est moi, c'est Lassi, tu n'as pas compris ce que les infirmiés ont dit !
- si j'ai très bien compris !
Me coupa-t- il de plus en plus menaçant.
- non Bleu, ils parlaient de la fille qui partageait ma chambre !
Il se décontracta, il avait enfin compri que j'étais belle et bien vivante.
- Lassi !!!!
Je me rapprochais de lui, en lui souriant. Puis il se mit à courir, comme les enfants apres leurs journées d'école et qu'ils retrouvent leur parents, sauf que lui il ne sautait pas dans les bras de quelqu'un, il me pris et me souleva au dessus du sol. Ca tete brûlante se réfugia dans mon cou. Toujours au dessus du sol, j'accrochais mes jambes autour de sa taille. Il s'assit sur le rocher. Je sentais sa repiration dans mon cou, elle était forte, et il pleurait encore. Il écarta sa tête sans doute pour me dire quelque chose.
- j'ai ... J'ai cru que tu étais morte !
Dit il toujours dans tous ses états.
- je sais, mais je suis là, t'as pas à t'en faire. Soufflais-je doucement.
- Lassi, ça fait quatre jours que je pleure, quatre, j'ai pensé à tous même à la facilité, quand j'entendis ça, mon cœur se serra, Je ne peut pas vivre sans toi, je sais que j'aurais dû te le dire j'aurais dû tous te révéler mais je ne te connaissais pas, tu pouvais avoir peur. Lassi je t'aime, depuis que je t'ai vu j'ai sentit quelque choses que je n'avais jamais ressenti au par avant : l'amour !
Il me disait tous ca en pleurant puis il s'approcha de plus en plus de moi, je savais ce qu'il voulait faire, alors pour une fois c'est moi qui le devançais. Je l'embrassais, tous ce qui etait autour de nous s'éteint, il n'y avait plus que lui et moi qui nous embrassions tendrement, il inséra sa langue que je ne refusais pas. Ma mains droite etait dans ses cheuveux tandis que mon autre ce se tenait sur son torse , quant à lui sa main droite etait sur ma hanche et sa gauche tenait mon cou pendant que son pousse me caressait la joue. Je venais de faire ce que je voulais depuis que le connaissait. Je l'aimais plus que tous. Je ne voulais pas le quitter. On continuait à s'embrasser, on pouvait rester comme ca une éternité.
- je t'aime
Glissait-il.
- Bleu, Bleu, t'ai où !!!
Criait une voix en haut. On se regarda, il avait l'air effrayé.
- vite on cour !!
Me disait il effrayé, alors je descendis de ses genoux le plus vite possible, il attrapa ma main et on couru le plus vite, même si il allait largement plus vite que moi à là normal, il se mit à ma vitesse.
- cest qui ?
Demandai-je toujours pendant qu'on courait.
- mon beau père, je t'expliquerai plus tard, mais il faut qu'on se cache !
Répliqua-y-il hors d'alaine.
- chez moi, il n'y a que mon frère !
La voix continuait de l'appeler, il devait être au ruisseau à present. Nous arrivâmes chez moi, on entrait à bout de souffle. Il me regarda, il souriait.
- ça va ?
Me demanda-t-il.
- essoufflée, mais ça va.
Puis m'embrassa. Mon frère arriva en courant.
- qu'est-ce qui ce passe ici ? Et c'est lui qui t'as fait pleurer l'autre soir ?
Il s'approcha de lui.
- hohoho ! Calme toi Moltar, c'est bon t'inquiètes pas c'est nos affaires.
- d'accord alors c'est quoi le probleme ?
Demanda-t-il.
- en fait comme tu le sais je n'ai pas de famille, et cet homme m'a recueilli et m'a interdit de rencontrer des personnes pour pas que je puisse dire la vérité, il m'a déscolarisé, c'était ca ou me faire frapper, je n'avais pas le droit de me révolter ou de pleurer j'ai été privé de tous, et bien sûr meme comme ca il ne peut s'empêcher d'être violent. Si il me voit avec toi il pourrait te faire du mal et je ne veux pas ca, c'est pour ca que j'ai du t'abandonner quelques fois, je ne voulais pas te faire de mal.
Je le pris dans mes bras, et il m'embrassa encore une fois.