Chapitre 2 :

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Salut ! 🌴

J'espère que vous passez tous de bonnes vacances pour ceux qu'ils le sont.

Merci pour vos doux et précieux commentaires. Ça me fait plaisir de voir que vous aimez.

Je voulais faire une fiction qui change un peu voilà...

Espérant que ce nouveau chapitre vous plaira.

Désolée pour les fautes. 🙄

Besos ! 💋

Je rentre chez moi avec Neal. Quand on entre dans la maison, je fonce dans ma chambre. Je suis toujours autant furieuse, triste et j'ai encore ce sentiments de jalousie, cela m'est insupportable. Comment une rencontre d'un soir a pu avoir tant de répercutions sur moi, sur mon corps, sur mes sentiments, mon cœur ? Je pars dans ma salle de bain prendre une douche. Sentir l'eau chaude couler sur ma peau, a eu l'effet de détendre tout les muscles de mon corps. Je me lave les cheveux avec mon shampoing à la vanille. C'est mon odeur favorite après celle de Regina, pomme d'amour. Je l'ai de suite sentis lorsque je m'étais assis à côté d'elle. Je prends une douche pour ne plus penser à elle et je pense encore à elle. Pour me hante-t-elle ? Dans quelle merde je suis ? Tout en lavant mes cheveux, je me masse le cuire chevelue. Ça fait tellement du bien enfaite. Je sors de la douche et m'enroule dans une serviette. J'essuie  le buée sur mon miroir, mon mascara a coulé. On pourrait que je viens de vivre un break up d'une grande histoire d'amour dans cet état. Je mets du démaquillant  sur coton et e démaquille.

- Trésor à table.

- Oui maman.

Je descends et me mets à table. En face de moi se trouve Neal. A ma gauche ma mère et à ma droite mon père. Nous gardons toujours les mêmes places, c'est comme un rituel, une habitude, une règle qui a été instaurée à présent. Une odeur de pizza vagabonde dans la cuisine. Cette odeur est réconfortante. Quand il y a de la pizza au menu, c'est que la journée a été dure pour mon père, donc ma mère lui fait son plat favori. Pour lui faire plaisir. En plus la pizza est faite maison. Tout ce que j'aime. Mes parents sont tellement complices. Toujours là l'un pour l'autre, à se préoccuper du bonheur de l'autre. Quand un des deux ne se sent pas bien ou que quelque chose ne va pas, l'autre le sent. C'est tellement beau. Après tout ce qu'ils ont vécu... Ma mère a perdu mes grands-parents dans un accident la veille de Noël. Mon père lui n'a connu que sa mère, mais elle nous a quitté il y a 3 mois maintenant. Par moment je me dis qu'ils ne sont pas chanceux, mais leur union fait leur force. Ils ont aussi vécu mon enlèvement. On m'a emmené dans un autre pays apparemment. Quand les recherches ont arrêté parce que la police était persuadée que j'étais morte, on m'a envoyé dans un orphelinat. On m'a raconté que mon kidnappeur avait demandé une rançon de 1 millions d'euro puisque mes parents en avait la possibilité. Je suis contente que mes parents ne les aient pas donner en échange car il ne m'aurait surement pas rendu à mes parents. Et aussi parce que ce vécu a forgé qui je suis. J'ai pus aussi me mettre à l'aise et être forte pour trouver les gens. J'aime retrouver les gens qui ont disparus pour voir le soulagement sur les visages des familles. J'ai déjà aidé la police dans une enquête, et franchement c'était E N O R M E. Du coup, depuis cela, de temps en temps, ils me demandent mon avis. Pourtant je n'ai que 17 ans. C'est fou. Lorsque l'on me trimbalait de famille en famille, j'ai cherché mes parents, et j'ai fini par les trouver. J'en suis tellement fière. Notre rencontre s'est déroulée ainsi : c'était un soir d'automne, il était environ 17 heure mais le soleil commençait à laisser place à son amante la lune. Je me suis rendue chez eux. J'ai du resté plantée devant leur porte pendant bien 15 minutes. Puis j'ai finalement trouvé le courage de sonner. C'est une jeune femme, brune, cheveux courts, coupe comme un garçon mais féminin. Elle a les yeux verts. Elle m'a fixé pendant de longues minutes puis a finalement appelé son mari. Tout les deux m'observaient, et on finit par me prendre dans leur bras, ma mère m'a dit : Tu nous as trouvé, tout en pleurant.  Ainsi je suis rentrée dans la famille des Nolan. Depuis nous vivons une petite vie paisible. Lorsque j'ai débarqué, Neal n'avait que quelques mois. C'était un petit sucre d'orges. Il était si petit, son petit sourire et ses yeux pétillants. Il était juste à croquer, il est toujours. Ce petit fera des ravages plus grand, toutes les filles lui courront après, c'est certain. Il avait ramené la joie dans cette famille qui s'était envolée. Mes parents sont maintenant joyeux et pleins de vie. Tout les dimanches nous partons faire des piques-niques et faire des ballades dans les bois. La forêt nous apaise, et nous rapproche chaque fois un peu plus. La voix de ma mère me ramène à la réalité.

Madame MillsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant