Chapitre 7 de la mort qui tue (Final)

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Le soleil vient de se lever. On est heureux de retrouver l'ami Ricoré.

Soudain une boîte de Nescafé me tombe dans la gueule.

— Hey ! Je voulais du Ricoré ! m'exclamé-je. Tu viens de rater le placement publicitaire ! Comment on fait pour payer ma chirurgie pour que je sois beau maintenant ?

Personne ne me répond. Satanée boîte ! Elle pourrait quand même répondre cette pute !

— Ta gueule enculé ! elle répond.

— AAAAAAAAAAAAAH ! gueulé-je en la jetant par la fenêtre.

Tant pis pour le petit-déjeuner. De toute manière, je n'ai jamais aimé ça.

Puis je vois quelqu'un dans le lit... Mais c'est... Gertrude ? Pourquoi c'est elle et pas Bernard ? Mais pourquoi ?

Ah, tiens, elle se réveille, je vais pouvoir lui demander.

— Mais où est Bernard ? m'écrié-je.

— Tu croyais vraiment qu'il y aurait une gay end dans une parodie ?

— Je vois pas le rapport.

— Mais si, le rapport est–

Je la jette par la fenêtre.

Oups.

J'ai pas fait exprès voyons...

Je me lève alors du lit, m'habille, me brosse les dents, me lave, m'habille, me rase, mets du déodorant, mets du parfum, m'habille, me lave, enfile des chaussettes, range le lit, me mets de l'after-shave, me rase, fais un salto arrière, me lave, m'habille, glisse sur le carrelage...

Aïe... Ça fait mal...

Et là je vois un mec sans visage au dessus de moi.

— AAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!

— Ne gueule pas, ce n'est que moi, Slender.

— Mais... Tu fous quoi là ? m'écrié-je.

Il sort une hache de son cul.

— Je viens en finir avec toi ! lâche-t-il en riant comme un fou.

Je me relève et tente de le fuir dans toute ma baraque. Puis je tombe sur Ghostface qui me fout un pain dans la gueule puis un pain au chocolat.

— On dit chocolatine enculé ! crie Ghostface.

— NON JAMAIS ! ÇA RESTERA PAIN AU CHOCOLAT !

Je m'enfuis encore une fois pour échapper à deux fous. Que font-ils chez moi ? Je n'en ai aucune putain d'idées.

— IL FAUT TUER LES CONNARDS QUI DISENT PAIN AU CHOCOLAT ! s'égosille Ghostface au loin.

Je me cache dans un panier à linge. Je n'ai pas de meilleures cachettes après tout et je peux les espionner. Ils se sont regroupés en face de moi. Espérons que ma beauté ne les éblouisse pas trop.

— Ghosty, on a dit qu'on s'en foutait de qui dit chocolatine ou pain au chocolat, dit Slender.

— Non ! On s'en fout pas ! Je n'ai pas peur de recommencer une guerre pour ça !

Quelqu'un se ramène.

— On devait pas buter le binoclard à la base ?

Il n'a pas de nez. C'est vraiment moche. En plus il a une sorte de tunique, comme s'il l'avait prise à sa mère.

— On doit d'abord mettre fin à ce saccage en tuant l'horreur qui se croit beau, explique Slender.

— On n'est même pas payé pour ça !

Je sors du panier à linge en balançant tout son contenu sur eux.

— ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE ! C'EST CHEZ MOI ICI !

— Oh pardon, nous sommes vraiment désolés, dit Ghostface. Désolés pour le dérangement.

Ils se cassent.

Dis donc, c'était vraiment facile. Dire qu'ils voulaient me buter...

Puis en marchant, je me casse la gueule, mon cou se déboîte et je meurs.

FIN-DUS

Fifty Shades of Bug 2 : BUGOù les histoires vivent. Découvrez maintenant