L'enfer de Tomino

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Une étonnante légende urbaine japonaise fait référence a un poème du nom de '' L'enfer de Tomino''. Ce poème fut écrit par Yomota Inuhiko et publier dans un recueil nommer '' le coeur est comme une roche qui roule''. Le poème fut également publier dans une collection de poèmes publiées par Saizo Yaso en 1919. Il est difficile de savoir comment son nées les rumeurs entourant cette ouvrages, mais la croyance veut que celui ou celle qui le récite a haute voix sois victimes d'un terribles accident. C'est en quelques sorte une malédiction qui guette les imprudent. Cette histoire, bien qu'asiatique, n'est pas sans nous rappeler Gloomy Sunday - la chanson du suicide-. Cette chanson dépressive qui est reconnue pour avoir causé un grand nombre de suicides.

Apparemment l'histoire de ce poème traite de la damnation d'un jeune graçon pour avoir commis des actes indescriptible. Saijo Yaso, le poète japonais dont il est question ici, étais un professeur d'université et a vécu en France pendant un certain temps. Il fit des études a Sorbonne et son travail est influencé par les poètes français. Bien que le travail ultérieur de Saijo était principalement des lectures pour enfants, certains de ses poèmes sont remplis de symboles étranges et des jeux de mots qui peuvent être troublants.

pour les plus courageux d'entre vous j'ai pris la liberter de faire une adaptation francophone de ce poème maudit basé sur les recherche et la traduction anglophone présenter sur le site de David Bowles.

l'enfer de Tomino

Sa sœur aînée vomit du sang,sa plus jeune vomit du feu, pendant ce temps le charmant Tomino recrache quelques bijoux.

Tomino fait tout pour lui seul, alors il tombe dans cet enfer, un enfer ténébreux, ou il n'existe aucune fleur.

Mais est-ce la soeur aînée de Tomino qui le fouette ainsi? Le but de cette flagellation est de faire pénétrer les ténèbres dans sa tête.

Elle l'attache et le frappe, mais toujours sans le tuer, une route certaine vers Avici, l'enfer éternel.

Dans le plus ombres des enfers, je le guide et je pris, je lui montre le mouton d'or ainsi que le rossignol.

Combien a t'il put cacher, dans cette bourse de cuir,pour préparer son naufrage, dans cet enfer éternel.

Le printemps arrivera, sur ces vallées et dans ces bois, dans ces gouffres en spirale du plus ténébreux des enfers.

Le rossignol est dans sa cage, le mouton dans un wagon, les larmes dans les yeux de ce doux et petit Tomino.

Chantes rossignol, à travers cette vaste forêt brumeuse, alors qu'il hurle il lui manque seulement sa petite soeur.

Ses lamentations de désespoir résonnent dans tous l'enfer, et une pivoine rusée ouvre ses pétales d'or.

Plus loin que les sept montagnes et que les sept rivières l'enfer, se poursuit le voyage solitaire de tendre Tomino.

Si dans cet enfer sont trouvé, qu'ils viennent vers moi, s'il vous plait, ces pointes tranchantes et punitives, comme les pointes acérées des montagnes.

Ce n'est pas seulement un caprice, ce sont des pointes ensanglantées, qui forment les infranchissables murs, qui retiennent Tomino en enfer.

Toujours selon les interprétations du poète David, le poème fait evidemment référence à la souffrance que Tomino fait subir aux autres. On comprend, en lisant à travers les lignes, que Tomino mérite bien ce châtiment.

Le terme avici fait référence à l'enfer boudhiste celui des grands où les âmes sont emprisonnées pour l'éterniter. Il y a cinq pécher horribles qui peuvent envoyer une âme dans ce lieu maudit, dont le meutre intentionnel de son père ou de sa mère. Voyant que ses deux soeurs ont beaucoup souffert dès le début du poème, il est possible que ce soit le cas de Tomino.

Il est possible aussi que le mouton et le rossignol soient des symboles présentant les soeurs de Tomino. L'article sur wikipédia sur Saijo suggère qu'il écrit ce poème au sujet de la mort de sa soeur ou de son père. considérant l'objectif de la poésie symboliste, il semble que le poème est destiné a montrer la détresse émotionnelle de Saijo sur la mort de quelqu'un, en comparant la culpabilité de son survivant a un voyage en enfers.

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