chapitre 4

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Avec une amie, je révise le cours d'anglais, ce n'est pas un cour que j'apprécie beaucoup, je m'ennuie, je n' ai beau pas aimé, mais j'ai des bonnes notes, je pose donc ma main sur le cahier comme chaque fois que je m'ennuie ... Sauf que cette fois ci ce n' est pas comme les autres, je sens un truc passer dans mon dos comme une main froide qui passe du côté gauche, passe à travers mon dos, commence a caresser mon bras droit jusqu'à ma main droite, ma main se fige, mes veines ressortent, ma main devient froide, j' ai l' impression que mon sang se glace, mes doigts se crispent sur mon crayon de bois, ma main s'agite sur ma feuille, elle écrit seule, ce n'est pas moi qui écris, mais qui alors dans ce cas ? Je donne un coup de coude à ma camarade, du côté gauche, car pour rappel mon autre main bouge seule et des douleurs s'élance dans tout mon bras, et elle demande à ma mère si cela m'arrive souvent... Quand je me suis levée le crayon à traverser toute la classe pour se claquer contre le mur .... Mais que m'arrive-t-il ? Elle demande à ma mère si on peut sortir par derrière pour que je puisse prendre l'air, et d'un coup elle me dit que je suis devenu pâle comme un mort ... Mais oui, ça me revient toutes ces personne petite ou grande que je voyais étant petite, mes « amis imaginaire » seraient-ils pas des morts, des esprits ? Arrête ma pauvre, tu es folle, un coup de stress, ou ton subconscient qui te joue des tours, c'est tout .... Ma mère arrive, et une fois dans la voiture, elle s'écrit « Et ! Ça ne va pas ?! On dirait que tu as vu un mort ! » Oui c'est vrai je viens de pâlir, je suis blanche comme un linge, mais pas parce que j'ai vu un mort, a sa non, c'est parce que j'en entends plein dans ma tête. Une me répète « Joue avec moi, s' il te plaît, joue ensemble, joue avec moi, joue avec moi, joue avec moi ... ». Et tout ça en boucle continue. Puis un autre « Tu es une des seule qui peut nous aider, aide nous, on t'en supplie, aide nous, aide nous ». Leur fin de phrase font comme un écho mais toujours aussi forte ... Ma tête commence à tourner, je ne distingue plus toute les formes, toutes les couleurs ... Je suppose que je me suis évanouie, car à mon réveil, j'étais attaché de partout avec à côté de moi un électrocardiomètre ... Mais que m'est-il arrivée ?

Ma mère accourt ... « Oh ma chérie, on m'a dit quetu t'étais réveillé, tu m'as fait tellement peur, ne me refais plus jamais çacom... » Sa voix se brouille, mais d'autres la remplace aussi vite, ma mèreest devenu toute floue, je ne voie plus ou je suis, je ne sais même plus quelledate on est, et d'un coup un paysage se dessine ... Pour l'instant le paysage estencore floue, au fur et à mesure, il s'éclairci. Me voilà donc en face d'untabouret et d'une corde accrochée au plafond ... Cette vision me fait froid dansle dos, comment suis-je passé de l'hôpital a cet endroit sinistre ... Quelqu'un s'approchede moi, et me dit : « Au revoir pour la deuxième fois, re-vie ma mortcomme moi je l'ai vécue, cela ne me fait pas peur de mourir, mais toi oui celase lit et se voit sur ton visage. L'image de la mort t'effraie tu seras bienentendu obliger un jour d'y passer, veux-tu tester avant l'heure, tu saurasenfin quelle sensation cela fait de mourir, décide toi petite, au sinon c'estmoi qui mourrai. Mais moi, je sais déjà ce que sa fait de mourir, je l'ai déjàvécu ». En une seconde je me retrouve sur ce tabouret, face à ma mortsurement proche. « Oui il faut que ce soit un rêve, que je me dise quetout cela n'est qu'un horrible rêve, il n'y a que comme sa je peux revenir àmoi, oui ce n'est qu'un rêve, un simple rêve, plutôt un cauchemar, je vais meréveiller immédiatement, ce n'était qu'un cauchemar rien qu'un cauchemar, rienqu'un ... ». J'ai l'impression que mon cœur viens de lâcher ... Je reviens a moidans un souffle et vois au-dessus de moi une infirmière et un infirmier près àme réanimer avec un défibrillateur, ils ont l'air d'avoir eux aussi vu unfantôme au moment où je reviens a moi, ma mère en sanglots se jette dans mesbras .... Que s'est-il passer ? « Maman ? / Oh ma pauvre chérie .../ Que s'est-il passé ? / Ton cœur à lâcher, ce n'est rien, ne t'inquiètespas, ici tu es en sécurité ... Ils vont s'occuper de toi ...

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