Souleymane me tira fortement par les cheveux et me mis une grosse baffe. Les coups partaient les uns après les autres. Donc c'est comme ça que je finirais ma vie? Battue par ma famille?
Il s'arrêta un moment et me traînais sur le sol comme une vulgaire...moins que rien. Je ne serai jamais en paix.
Il me lâcha les cheveux et lorsque je relevais la tête, je vis tous les membres de m...cette famille. J'eu même pas le temps de placer un mot qu'une main chauffa sur ma joue gauche. Ma mère ou cette femme plutôt me regardais avec dégoût. Sah même si elle était dégoûtée je voyais bien qu'il y avait une pointe de joie dans son regard. C'est comme si elle avait enfin trouvé une solution pour se débarrasser de moi.
Yemma: SALE KEHBA ON NE SORT MÊME PAS UNE JOURNÉE QUE TU FAIS DE MA MAISON UN HÔTEL
Et une autre claque part cette fois-ci je baissais la tête. Je la relevais et tombais sur le regard triomphant de Hakim. C'est lui. Il m'avait bien prévenu que ce n'était pas fini.
Je reposais enfin les yeux sur ma m...cette femme et une autre giflé puis une autre et une autre et...
Souleymane: Yemma ne te salis pas les mains cette grosse pute n'en vaut pas la peine.
Leyla: Vraiment maman chui sur tout le quartier lui est passé dessus cette grosse keh
Et c'est elle qui ose m'insulter? Je vis dans quel monde s'il vous plaît?
Hakim: Si tu la laisse comme ça elle va détruire notre réputation yemma
Yemma: Elle n'en n'aura pas l'occasion
Puis bien fortement elle me prit par le bras et me traînais jusqu'à la porte de la maison. Elle l'ouvre et me jette hors de l'appartement. Il ne leur restait plus que ça.
Yemma: N'ose plus jamais remettre les pieds dans cette maison. Sale kehba enfin je me débarrasse de ta gueule de sheytan, j'ai toujours su que tu étais une malédiction.
Sur cette dernière phrase elle claqua la porte. Voilà c'était leur point final. Ils ont réussis à gâcher ma vie en même pas une journée.
De toute façon je ne pleurais pas, je n'arrivais toujours pas à réaliser. D'accord j'ai reçu des coups toute ma vie mais mon honneur m'a été arraché. Ils auraient pu tout me prendre, tout sauf ça. Je me levais comme une machine, je n'avais versé aucune larme aucune. Je descendais les escaliers tout en baissant la tête, le regard vide, les bras se balançant nonchalamment. Pour moi le monde ne tournait plus c'était comme une pause dans tout ce qui m'entourait.
En bas du bâtiment il n'y avait personne, aucun teneur de mur. Normal, c'était l'heure du dîner et tout le monde est avec sa famille. Famille un mot qui m'est parfaitement étranger à présent et quand je regarde au fond, il m'a toujours était étranger d'ailleurs.
A ce qu'on dit le malheur des uns fait le bonheur des autres bah moi j'en ai la preuve en direct live. Vie de merde quand tu nous tient ~soupir~
Il faisait vraiment froid dehors et je ne savais vraiment pas où j'allais donc je marchais et marchais sans avoir la moindre idée de ma destination finale. De toute façon je vais laisser aller quoiqu'on puisse faire le mecktoub nous rattrapera toujours, il est déjà écrit.
~~~
Ça fait environ une trentaine de minute que je marche et au loin j'apercevais le centre commerciale qui ne tardait pas à fermer ses portes.
Je m'assis sur le banc du parc attendant que les employés s'en aille pour pouvoir dormir sans me faire expulser.
Quelques minutes après le cc était complètement vide désert. De ce fait je m'allongeais sur le banc voulant m'endormir mais impossible. Trop de choses horrible me revenaient en esprit et je ne pouvais fermer l'œil. Et ce fut ainsi jusqu'au petit matin.
J'étais crevée, fatiguée et pour compléter le tout j'étais tout amochée. Des bleus partout sur le corps mais je ne ressentais aucune douleur, de toute façon je ne ressentais plus aucune émotion c'est juste comme si j'étais un affreux objet de décor.
Après plus d'une heure assise sur ce banc sans bouger d'un millimètre, je sentis une présence derrière moi mais ne fit rien. Puis ce fut une main qui se posa sur mon épaule. Je ne bougeais toujours pas alors la personne de mit devant moi et se mit à genoux pour me regarder dans les yeux.
Inconnu: Euh...ça va madame?
C'était un rebeu il faut dire qu'il n'était pas moche. On pouvait deja deviner qu'à son visage c'était un tombeur mais tout cela ne m'intéressait pas. Il avait la peau mâte, des yeux en amande magnifique de couleur vert et une petite barbe qui se voyait à peine. Il était plutôt musclé mais pas trop juste ce qu'il faut.
Inconnu: Euh...madame vous allez bien? Que s'est-il passé? Vous êtes blessés
Moi: Euh...c'est...c'est rien.
J'allais me lever mais il me retint et me tira vers lui. J'étais choquée au début mais ses sourcils froncés me dit qu'il commençait à s'énerver mais pourquoi?
Inconnu: Comment ça c'est rien? C'est qui le zehmel qui a osé te faire ça?
Moi: Je...euh...
Inconnu: Venez avec moi...
*•*•*•*
Alors qu'en pensez-vous? Wallah j'aimerai bien voir plus vos avis vos critiques et tout alors n'hésitez pas à me les donner c'est juste pour que je vois si ce que j'écris est bien. Sinon j'espère que vous avez aimé. Que pensez-vous de la nouvelle rencontre de Shiama? Surtout n'oubliez pas de voter c'est facile et gratuit😏
Wa'Salam🙏🏽
VOUS LISEZ
Chronique de Shiama: Vendetta De La Bagra
RandomHakim: PETITE PUTE COMMENT TU AS OSÉ SALE KEHBA Moi: Je ne fais que te rendre la monnaie de ta pièce sauf qu'avec moi il y a un revers Hakim: JE VAIS TE TUER ZEUBI TU ES COMME TA MÈRE LE SANG DE KEHBA EST HÉRÉDITAIRE Là c'est trop pour moi, la Shiam...