Par mrscage
- William ! Comment avons-nous pu oublier ?
- Oublier quoi Roberta ?
- Oublier ma meilleure amie, ta sœur, ma belle-sœur !
- Tu veux dire Candy... on l'a oubliée ?
- Non, mais, mais oui ! Nous nous somme mariés et nous étions en voyage de noce prolongé et nous ne l'avons pas appelé depuis notre retour. Nous ne savons pas comment elle va, si elle va bien... si son bébé va bien
- Tu as raison chérie...
Roberta décida d'aider Candy du mieux qu'elle pouvait et elle alla à la banque, à son retour de sa lune de miel et transféra de l'argent dans le compte de Candy anonymement, elle savait que Candy n'accepterait jamais de l'argent de sa part.*
* *
Pendant ce temps là, Candy attendait la réponse des éditeurs pour sa BD, et Terry essayait de trouver du boulot dans les petites compagnies mais avec le CV qu'il avait, personne ne voulait l'engager, il était trop qualifié pour les postes proposés, alors il ne recevait pas d'appel de leur part. Il était découragé mais il ne dit rien à Candy. Il commençait à croire qu'il était bon à rien, pour la première fois de sa vie, il essayait de travailler sans l'aide de son père, et il était incapable de trouver du travail.
Candy savait que son mari était déprimé et elle faisait de son mieux pour le faire sentir qu'elle avait besoin de lui et qu'elle aimait. Ils passaient leur temps à parler et rêver de leur bébé. Ils apprirent que c'était un garçon et Terry sauta de joie, il avait toujours voulu avoir un fils. Ils cherchèrent un nom pour lui. Candy insista pour l'appeler Terrence Graham mais Terry n'était pas sur si son fils devait avoir le même nom que lui.
Leur passe temps favori était de lire les journaux intimes de leurs arrières grands parents. Ils les lisaient avant de dormir. C'était incroyable comment leur arrière grands parents savaient que l'autre éprouvaient tout en vivant dans des villes différentes. Ils ne se voyaient pas, mais ils savaient ce que l'autre éprouvait comme s'ils avaient un lien invisible. Ils n'écrivaient pas dans leur journal intime tous les jours, mais à chaque fois que Candy écrivait, Terry aussi écrivait. Car leurs entrées étaient toujours le même jour, à la même date... C'était comme des lettres ; parfois ils répondent aux questions qu'ils se posaient mutuellement. Alors Terry lisait ce que son arrière grand père avait écrit, après avoir écouté ce que sa femme avait lu dans les écrits de son arrière grand mère... Lire ses journaux intimes était parfois si douloureux, qu'ils ne pouvaient empêcher les larmes de couler. Candy se mit à lire la page de son arrière grand mère, c'était écrit 25 ans après leur rupture...
« Aujourd'hui j'ai lu quelque chose d'horrible dans le journal. Je suis toujours sous le choc. Susanna...est décédée. C'est tellement difficile d'expliquer mes sentiments en ce moment... elle était si jeune, si belle et si pleine d'amour... Elle avait des enfants, elle avait une famille. Qui va s'occuper des enfants maintenant ? J'espère que Terry leur trouvera une bonne mère... qu'est-ce que je raconte ? Qui est-ce que j'essaye de berner ?!!!! Terry comment vas-tu ? Ça doit être dur pour toi, j'aurai voulu pouvoir être là pour toi... tu sais que je n'ai jamais cessé de t'aimer, n'est-ce pas ? Je suis vraiment désolée pour Susanna, mais je ne peux m'empêcher de penser que si j'attendais assez longtemps un jour je pourrai être ta femme, que nous aurions pu nous aimer librement. Est-ce que ça veut dire que je ne suis pas une bonne personne, Terry ? Peut être que oui... Susanna est décédée, elle était un ange, elle était ta femme, et tu l'aimais, n'est-ce pas ? Et tu vois ce que je suis entrain de penser, je suis une femme mariée... Albert... pauvre Albert... est-ce qu'il se doute que j'éprouve des sentiments secrets pour toi, même si j'essaye de les cacher ? Que je fais l'amour avec lui, en imaginant que c'était toi Terry ?!!! Je regarde mes enfants et je ne peux m'empêcher de penser s'ils te ressembleraient si tu étais leur père... Je pensais qu'avec le temps, tout irait bien, que j'allais me guérir de toi, que j'allais apprendre à aimer Albert, mais je suppose... la passion de l'amour n'est pas quelque chose qu'on apprend avec le temps...soit on l'éprouve, ou pas... Tu es mon âme sœur et je t'ai perdu... et maintenant tu es un homme libre, mais je suis mariée... à la personne la plus gentille au monde. J'aurai voulu qu'il soit mauvais, j'aurai pu le quitter, mais comment quitter quelqu'un qui vous aime tant ? Quelqu'un qui s'est occupé de vous toute sa vie ? »
Candy pleurait en lisant ses lignes ; le destin n'avait pas été gentil avec sa grande mère... Sa rivale était morte et elle continuait à dire du bien d'elle. Elle pensa à Lacy et elle dit à Terry :
- Tu sais si tu avais épousé Lacy, comme Susanna avait épousé ton arrière grand père, je la détesterai et j'aurai été ravie d'apprendre qu'elle était morte... je ne pourrais pas dire du bien d'elle...
- Je pense que ton arrière grand mère éprouvait les même sentiments, mais elle essayait de se convaincre qu'elle avait pris la bonne décision ; elle regrette tellement d'avoir épousé ton arrière grand père... je suis triste pour elle... je me demande comment mon arrière grand père se sentit quand sa femme est morte...
- Moi aussi... tu peux lire s'il te plait
- Il est tard Taches de son, tu dois dormir...
- S'il te plait Terry, j'ai besoin de savoir ce qu'il a éprouvé...
- D'accord, dit Terry en ouvrant le journal intime de son arrière grand père.
Bien sur il avait écrit, le même jour que Candy ;
« Candy... Susanna est morte. Ma femme est décédée, je suis veuf et tout le monde me dit combien ils sont désolés, ils me demandent s'ils peuvent faire quelque chose pour moi. J'ai envie de leur dire « ramenez moi ma demoiselle Tarzan aux Taches de son, ramenez-la moi ! », mais je ne fais que les remercier et je ne dis rien, mais je suis soulagé... oui, je sais que ça veut dire que je suis mauvais, j'ai passé toutes ces années avec elle ; c'était une bonne femme et une bonne mère, mais je n'ai pas pu la voir différemment qu'un fardeau... je me déteste pour ça, pourquoi ? Pourquoi ne suis-je pas aussi fort que toi Candy ? Je ne sais pas comment je vais élever les enfants seuls, mais je te promets que je n'épouserai personne d'autre... je vais t'attendre Candy... Dieu est mon témoin, tu es la seule dans mon cœur et tu y seras jusqu'au jour de ma mort. Tu as lu le journal ? Tu sais que ma femme n'est plus de ce monde ? Qu'est-ce que tu penses ? Tu regrettes d'avoir épouser Albert ? Si c'est le cas, s'il te plait, arrête. Il est bon et il veut que tu sois heureuse. J'espère qu'il te rend heureuse...S'il ne te rend pas heureuse, je vais le chercher et le tuer, Candy ! Il a de la chance de t'avoir dans ses bras tous les soirs... est-ce que tu fais l'amour avec lui Candy ? Je n'ai jamais pu faire l'amour à Susanna sans penser que c'était toi... est-ce que tu peux faire l'amour avec lui ? Est-ce que je pourrais faire l'amour avec toi un jour ? Est-ce que Albert te satisfait comme j'aurai pu le faire ? Je vieilli Candy... j'étais supposé être ton mari ! Tu étais supposé être ma femme... la mère de mes enfants... regarde tout ce que j'ai écrit ; ma femme est morte hier et regarde ce que j'éprouve ! »
- C'est tellement triste, dit Candy, il éprouvait les mêmes sentiments que mon arrière grand mère. C'est la plus belle et la plus triste histoire que j'ai jamais entendu...
- Oui... en effet. Allons dormir ma chérie, ce n'est pas bon pour toi d'avoir toutes ces émotions
- Tu as raison, bonne nuit. Tu sais que je t'aime tant n'est-ce pas ?
- Je sais... et je t'aime encore plus
Ils se réveillèrent le matin et Terry alla acheter du pain pour le petit déjeuner, quand il revint, il trouva une lettre pour Candy dans la boite aux lettres. Il s'emballa pensant que c'était quelque chose de la maison d'édition ; il monta les escaliers quatre à quatre.
- Candy, il y a une lettre pour toi...
- Une lettre pour moi ? De la part de qui ?
- Regarde, dit-il en lui donnant la lettre
Candy dont les doigts tremblaient, prit la lettre que Terry lui donnait.
- Tu peux l'ouvrir Terry ? Je suis trop nerveuse
- D'accord, ouvrons-la, dit Terry en lisant la lettre en silence
- C'est quoi ?
- Ça dit...
- Quoi ?
- Que ma femme est une artiste de talent et que sa BD va être publiée !!!!
- Oh, c'est vrai ? Dit Candy, donne-la moi !
Elle lut la lettre et Terry avait raison, sa BD allait être publiée par une des plus grandes maisons d'édition du pays. Elle sauta au cou de son mari.
- Terry !!! J'ai réussi ! Nous avons réussi !!!
Terry la serrait fort contre lui.
- Oui, tu as réussi mon amour ! Je suis si heureux ! Nous devons fête ça !
- Oui ! Allons dans un restaurant français ce soir...
- D'accord !
Ils mangèrent le petit déjeuner et ils parlèrent de la BD, et de ce que le futur allait leur apporter. Ils pouvaient sentir que tout allait aller mieux a partir de maintenant. Pendant qu'ils parlaient de leurs plans d'avenir, ils furent interrompus par la sonnerie de la porte. Terry alla ouvrit et il vit son beau-frère et sa femme.
- William ! Roberta ! Soyez les bienvenus ! Entrez !
- Bonjour Terry, dit William
- Salut Terry, où est Candy, dit Roberta pressée de voir son amie
- Je suis là, dit Candy, qui avait entendu la voix de son frère et s'était avance pour les voir
Roberta serra son amie dans ses bras, très fort, et ce n'était pas facile avec son gros ventre qui grandissait tous les jours. Ensuite William prit sa sœur dans ses bras ;
- Petite sœur tu me manques tellement ! Je m'excuse de ne pas être là pour toi pour t'aider
- Tu venais de te marier William... je suis si heureuse de te voir !
Ils allèrent s'asseoir au salon pour parler ; les femmes parlaient de leur grossesse, pendant que les hommes parlaient des difficultés d'être avec une femme enceinte. Finalement, il était 18 heures quand Terry réalisa qu'il commençait à avoir faim...
- On va au restaurant français ? Dit-il à Candy
- Restaurant français ? Dit Roberta
- Oui, dit Candy, j'ai oublié de vous dire, ma BD va être publiée !
- Vraiment ? Dit Roberta, c'est sérieux ?
- Oui, on vient de recevoir la nouvelle ce matin
- Oh, je suis heureuse pour toi, dit Roberta en serrant son amie contre elle
- Félicitations petite sœur, dit William
- Alors vous vous joignez à nous ? Dit Terry
- Mais bien sur ! Il faut fêter ça ! Dit Roberta
Ils allèrent tous dîner au restaurant, c'était quelque chose qui manquait beaucoup à Candy et Terry ; ça faisait des mois qu'ils n'avaient pas mangé dans un restaurant chic. Après le dîner, ils se séparèrent. Ils étaient fatigués mais heureux.
- Terry
- Oui mon amour ?
- Est-ce que ton ancienne vie te manque ?
- Oui et non... et toi ?
- Non... c'était bien d'être dans ce bon restaurant, mais quand je reviens à la maison, je me sens plus heureuse que jamais
- Vraiment ?
- Oui, je t'aime tellement et je peux vivre n' importe où, du moment que je suis avec toi...
- J'éprouve la même chose Taches de son, j'étais riche, je pensais que j'avais tout ce dont j'avais besoin et même plus, j'allais me marier mais je ne savais pas ce qu'étais le bonheur jusqu'à ce que j'ai commencé à vivre avec toi dans la pauvreté. Je ne changerai ma vie avec toi pour rien au monde ! Je me souviens encore de la douleur quand je t'ai vu au lit avec Scott. Il n'y a rien de plus important que toi et le bébé pour moi dans ce monde maintenant
- Tu peux lire quelques pages du journal intime de ton arrière grand père ?
- Encore ? Je pensais qu'on pouvait s'amuser ce soir... si tu vois ce que je veux dire
- Je vois... eh bien M. Grandchester, vous devez, me lire une histoire d'abord...
- Pourquoi tu veux que je lise pour toi, tu peux lire toi-même aussi
- Je sais mais ta voix... et la façon dont tu fais sortir les sentiments c'est si bien. Tu as beaucoup de talent chéri, tu devrais devenir un acteur !
- Eh bien ça doit être dans mes gènes, comme être amoureux de toi, c'était dans mes gènes...
- Alors tu vas lire pour moi ou pas ?
- Je vois... je ne ferai pas l'amour ce soir, si je ne lis pas ce journal intime... d'accord, allons-y... mais promets-moi que tu ne seras pas triste, parce que à chaque fois que je lis, ça te rend tellement triste et je ne veux pas te voir pleurer...
- D'accord je te le promets !
« Candy, tu vas bien ? Ce matin, je me suis réveillée avec un mauvais pressentiment... je m'inquiète pour toi. Je ne suis pas en mesure de penser ou travailler ou faire quoi que ce soit. Je sais que quelque chose de mal est arrivé. Taches de son, est-ce que tu vas bien ? »
- Oh... je suppose que quelque chose est arrivé à Candy dit Terry, peut être que tu devrais lire la page du journal intime de ton arrière grand-mère
- Oui..., dit Candy en commençant à lire
C'était écrit le lendemain de la page de l'arrière grand père.
« Je me sens si faible... j'ai pleuré toute la journée. Je ne sais pas comment l'écrire ici... j'ai perdu mon bébé. J'allais avoir un autre enfant, Albert était si heureux d'apprendre que j'étais de nouveau enceinte. Hier matin, je pouvais encore sentir le bébé bouger, je l'appelais Terry, je lui parlais quand je me sentais triste mais il est mort... je l'ai perdu hier. Le docteur dit que je ne pourrais plus avoir un autre enfant, Albert essaya de rester calme, mais je sais qu'il était très triste, il a essayé de me consoler, mais je pouvais le voir dans ses yeux qu'il était sur le point de pleurer. Je n'ai jamais pu l'aimer comme mari, et je n'ai jamais pu le rendre heureux et il n'a jamais pu se confier à moi sur la nature de ses sentiments... et il pense que je pleure parce que j'ai perdu mon bébé... mais je pleure parce j'ai perdu l'espoir d'avoir un bébé un jour avec Terry... je sais que c'est un péché de penser comme ça... je n'arrive tout simplement plus à l'expliquer à mon cœur qui n'en peut plus ! »
- Oh mon Dieu ! dit Candy, elle ne peut plus avoir d'enfant... et ton arrière grand père savait qu'il se passait quelque chose avec elle. Ils étaient créés l'un pour l'autre, mais ils ne pouvaient pas être ensemble et ils souffraient de ça durant toute leur vie
- S'il te plait Candy, tu m'as promis de ne pas pleurer
- Je sais Terry, mais je me sens si triste... comme si c'était moi qui avait écrit ces lignes... je veux continuer à lire
- On peut aller dormir ? On pourra lire le reste demain...
- Ok... prends moi dans tes bras Terry... aussi fort que tu peux, je veux être sure que tu es là avec moi... que c'est réel
- C'est réel Candy, nous sommes réels
Le matin quand Terry se réveilla, il ne trouva pas Candy a coté de lui. Il s'inquiéta, comme elle était enceinte... il la trouva dans l'autre chambre entrain de lire le journal intime de la vieille Candy
- Taches de son, dit-il, qu'est-ce que tu fais ?
- Je n'ai pas pu m'en empêcher, quand je me suis réveillée, je voulais lire plus
- Si ça continue comme ça, je vais cacher ses journaux intimes chérie, ils te bouleversent et ce n'est pas bon dans ton état
- S'il te plaît Terry, essaye de comprendre, je dois savoir, je dois lire... tu sais Albert est très malade
- Albert ? Ton père ?
- Non, son grand père... Candy a beaucoup écrit sur sa maladie quelques années après qu'elle ait perdu son bébé...
- Vraiment ? Tu veux bien lire ça pour moi...
- Ecoute...
« La santé d'Albert s'empire de jour en jour... je n'arrive pas a croire que je ne me sois pas rendu compte qu'il était si malade. Il essaye toujours de me réconforter, de m'aider et je ne me suis pas rendu compte qu'il était malade, qu'il avait besoin de mon aide. Je me sens si mal... je ne l'ai jamais rendu heureux, il avait toujours cache ses sentiments ... je vais faire de mon mieux pour l'aider à guérir
Terry...j'aurai voulu que tu sois là pour m'aider, Albert devient de plus en plus faible... je ne le reconnais plus, il a tellement changé et il essaye toujours de me cacher que sa sante vas de mal en pis, tout les jours. J'essaye de me comporter comme si tout allait bien...Les enfants sont venus le voir, ils pleuraient dans leur chambre durant la nuit. C'est difficile d'accepter ou de prononcer, mais j'ai peur que ce soit la fin pour lui.
Aujourd'hui, il voulait me parler... Albert voulais me parler seule a seul et je n'oublierai jamais ses paroles jusqu'à ma mort...pour la première fois de ma vie, je vis Albert tel qu'il était, pour la première fois de sa vie, il a partagé ses sentiments avec moi... il m'a dit qu'il savait combien je t'aimais Terry. Que je n'aurai jamais pu t'oublier, il a essayé, espérer au début, mais il savait que c'était inutile, qu'il n'avait aucun pouvoir. Il ne s'était jamais confié à moi, je n'ai jamais été sa femme... il a dit que tout ce qu'il voulait me voir heureuse, et quand il n'y avait plus d'espoir entre toi et moi, il voulait m'épouser, pour essayer de me rendre heureuse, mais il se rendit vite compte que je ne pouvais pas aimer qui que ce soit comme je t'aimais toi...il a dit ; « Maintenant je quitte ce monde Candy... je veux que tu sois heureuse... quoi qu'il arrive, s'il te plait sois heureuse... c'est mon dernier souhait pour toi, je t'ai aimé plus que tu ne peux l'imaginer et tu m'as donné une famille, tu m'as toujours rendu heureuse, tu as tout fais pour me rendre heureux et pour me faire sentir voulu... merci pour tout ce que tu as fait. » J'ai pleurai pendant qu'il parlait et il a dit que j'étais beaucoup plus jolie quand je souriais... Et ce furent ces derniers mots... Oh Terry, Albert est mort... il a fermé les yeux et ne les ouvrit plus jamais... je pleurais... Terry... j'ai tellement besoin de toi... »
- Oh mon Dieu, Albert est mort, dit Candy
- Oui, le pauvre, dit Terry, que s'est-il passé après ?
- Je ne sais pas, c'était la dernière page du journal
- Oh... nous devrions lire celui de mon arrière grand père, peut être qu'il a écrit quelque chose sur la mort d'Albert, il doit l'avoir appris dans les journaux...
Le téléphone se mit à sonner. Terry se leva pour répondre. Candy l'attendait, quand il revint elle lui demanda qui c'était...
- C'était...
Voir Terry si confus et surpris, inquiéta Candy.
- Qui c'était Terry ?
- Quelqu'un de la compagnie de théâtre Stratford
- Quoi ?
- Oui, ils veulent m'engager comme acteur...
- Comme quoi ? Dit Candy surprise
Elle n'arrivait pas à croire ce que son mari venait de lui dire.
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Terry et Candy
FanficCandy doit faire le portrait de jeunes gens qui vont bientot se marier, tout va bien jusqu'a ce que le futur marié tombe amoureux d'elle...