la Mort

Chapitre 8

Pdv un prisonnier

Nous étions tous libre. Mort était devant nous et nous regardait étrangement comme pour savoir lequel d'entre nous sortira avant les autres ou lequel ne sortira jamais d'ici. Nous avions peur. Cela faisait presque plus de cinq ans que j'étais enfermé dans cette prison et personne n'avait jamais réussi à nous sauver. Elle devait connaître par coeur les lieux pour avoir pu y rentrer sans faire sonner l'alarme et en si peu de temps. Certains étaient déjà en train de se disputer sur d'anciens problèmes de nourriture ou autres trucs stupide dans ce genre. Cela avait l'air d'agacer notre nouveau chef. Je la vis sortir ses deux couteaux et en deux ou trois mouvements ils étaient à terre. Aucun d'eux ne respirait. Elle avait été rapide et efficace, je n'avais eu le temps de voir tellement ce fut rapide.
- Voilà ce qui se passe avec moi quand on ne me respecte pas, dit elle en souriant de ces victimes.
L'un de mes camarades de cellules en avait déjà marre d'elle et lui sauta dessus à point nu. Et elle fit de même avec lui, il fut rapidement au sol, la tête en sang et Mort était fière de cela.
- Qui d'autres veut essayer? Personne ? Pourtant c'est amusant non ? En deux secondes vos yeux deviennent noir et vous pouvez sentir votre sang couler sur vous. Moi, j'adore ça. Mes premières victimes étaient deux collecteurs d'impôts, j'avais 11 ans et je vengeai ma mère adoptive. Une marre de sang restai sur mon sol de pierre.
- Pourquoi nous racontes tu ta vie, nous on s'en fout, on veut sortir dit un de mes compère de prison
- Oh, bien sûr, vous voulez sortir. Je vous comprends. Cela doit être agaçant de rester enfermé. Mais bon, vous vous êtes fait attraper ! C'est que vous n'aviez pas le niveau pour rester en liberté...

Je savais ce qu'elle faisait. Elle nous testait. Malheureusement, mes amis n'avaient pas l'air de comprendre... C'est bien dommage pour eux, je ne veux même pas imaginer leur sentence... Alors, ils s'approchèrent d'elle tous ensemble. J'avais peur pour elle, elle semblait si sympathique. Je me retournai pour ne pas voir la scène. Quelques secondes plus tard, un des prisonniers qui comme moi, n'avait pas céder, me tapota l'épaule pour me dire que c'était fini. Je me retournai et vit environ dix cadavres à terre et Mort était fière, debout sans une égratignure avec un homme qui avait la tête tordu dans la corde qu'elle tenais du bout des doigts. Elle s'essuyais le sang  sur sa robe après avoir lâcher ce pauvre homme ( enfin, sa tête ). On ne voyait rien. Il restait 20 hommes dont moi. Alors elle articula :
- Bon, vous m'avez fatigué. C'était déjà prévu que vous mourrez mais je voulais attendre un peu plus. Tanpis... Que le jeu commence maintenant !
Elle finissait à peine sa phrase qu'elle sauta sur nous comme un léopard se jette sur l'Impala ! Je voyais des hommes tomber. D'autres se débattaient en vain sans parvenir à quoi que ce soit. Elle, elle était contente comme si tuer et voir du sang la réjouissait. Je ne comprenais plus rien sauf que mon heure était proche. Mes amis tombaient un par un et des couteaux volaient de partout. Elle ne ratait jamais sa cible. Certains se pendaient dans sa corde si facilement, c'était étonnant !
Pendant cette folle bagarre, je m'étais absenté et caché derrière une sorte d'armoire. J'attendis tout ce temps. Mes amis devaient déjà être mort. Moi je n'étais qu'un lâche qui se cachait pendant que des autres étaient en train de me protéger sans le savoir. Je ne faisais rien mais mon cœur battait à mille à l'heure. Puis, il y eut un long silence. Elle s'approchait de moi, je le savais. Elle arriva devant moi, rangea ses couteau et me dit quelque chose qui pourrait me laisser vie sauve. J'acceptai.

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Voilà une action digne d'un survivant! Pour savoir ce qu'elle lui a dit, il faudra lire le prochain chapitre !
et désolée pour les fautes...