Une famille pas tant recomposée ~Terminé~

Chapitre 37

Je viens de rentrer chez moi et trouve ma cousine assise parterre sur la table basse avec mon ordinateur. Je m'assois à côté d'elle et l'embrasse sur la joue.

Nous avons parlé de tout et de rien durant plusieurs heures. J'avais retrouvé un semblable de ma cousine. Elle était retourné en cours le lendemain tout c'était bien passé et personne n'avais pas parlé de son absence ou elle ne m'en avait pas parlé. Elle souriait enfin, un vrai sourire. Elle rit des fois et mange un peu plus.

Quelques jours plus tard.

Stéphanie à atterrit il y a quelques heures. Elle avait décidé de prendre un avion le plus rapidement possible. Je viens de passer chercher Elodie et Elyes au lycée pour les emmené chez eux. J'avais prétexté que les petits les réclamaient. Ils sont entrés dans la maison et ont vu leurs parents. Ils m'ont regardé avec des yeux mais... mémorable. Stéphanie à demander à Elodie ce qui se passait. Pourquoi elle n'allait pas bien ? Elodie a alors pris la parole.

- Pourquoi vous nous nous avez menti ? demande-t-elle.

- Comment ? demande son beau-père.

- Pourquoi vous ne nous avez pas dit que nous sommes frère et sœur ? Renchéri Elyes.

- Je ne comprends rien ? dit Steph en regardant Xavier.

- C'est bon on a vu le carnet de famille. Arrêter de nier. Vous n'avez pas honte de mentir sur des choses si importantes. Dit Elo'.

- Combien de temps vous auriez continué encore 5, 10, 15 ans ou peut-être que vous nous l'auriez jamais dit. Comment on peut se regarder encore dans un miroir. Demande son frère.

- Comment un père et une mère ne peuvent pas éprouver le manque d'un enfant sachant qu'il est à côté de soi. Demanda froidement Elodie.

- Elyes comment vous savez ? lui demande son père.

PDV d'Elyes

-Tu l'as as laissé toucher aux papiers ? demande Steph.

- Tous ce qui t'importe c'est tes foutus papiers cria ma sœur. Même pas des... explications ni... des pardons... dit-elle aux bords de la crise d'asthme.

- Elodie va te calmer, prend ta vantoline. Je m'en occupe lui dis-je calmement.

-C'est...qui ce... Joris... Pourquoi vous..., dit-elle en montant les escaliers, ne nous avez... pas dit... qu'on avait... un frè..., continua-t-elle avant de tombé sur une marche.

Je cours vers elle avec Thomas qui va chercher son inhalateur. Je lui parle pour qu'elle reste consciente mais elle finit par tomber inconscient nous étions dans la voiture à 5 minutes de l'hôpital quand c'est arrivé. Elle n'avait pas pu prendre de vantoline elle était resté chez Thomas. Elle s'était ouverte l'arcade elle a eu le droit à 3 points de suture.

Nous l'avons laissé un peu se reposer le temps de discuter avec mes géniteurs. Ils m'ont alors expliquée le pourquoi du comment. Ils ont Joris alors qu'il n'avait que 18 ans. Ils n'arrivaient pas vraiment à s'en occuper. Ils étaient tous les deux dans leurs études et ne voyais pas comment ils pouvaient élever un enfant correctement. Ils ont préféré l'emmené à L'ASE pour qu'il est une vie meilleur. Deux ans plus tard je suis arrivée et Elodie, un an plus tard. Tout se passait plutôt bien. Mais un peu avant les deux ans d'Elodie, apparemment c'était autre chose. Chacun regrettait d'avoir abandonné Joris alors qu'il avait réussi à avoir deux et à les élevés. Ils se rejetaient la faute et se disputaient sans arrêt. Apparemment ''ma mère'' aurais eu des crises de nerf et serais parti avec Elodie sans rien dire. Une semaine après elle serait revenue et mon père l'aurait envoyé sur les roses. Ils se sont séparé ensuite suite à ces maintes et maintes disputes. Ils ont décidé de prendre chacun un de nous. C'était plus facile quand on a que 23 ans avec deux enfants en bas âge. Ils avaient tous les deux coupé les ponts. Mais essayaient de garder contact avec Joris depuis. Ils avaient décidé de nous cacher la vérité pour ne pas nous bouleverser. Nous devions seulement le savoir quand nous aurions tous les deux nos 18 ans.