Une famille pas tant recomposée ~Terminé~

Chapitre 27 : Encore une dispute

Je me servi un verre d'eau et leur demanda :

« - Pourquoi à chaque fois que je rentre dans une pièce il faut que vous arrêtiez de parler. Je ne suis pas un monstre non plus et puis vous ne fait pas parti de la CIA ou de groupe gouvernement secret.

-Ce n'est pas important. Me dit Xavier.

- Alors dites-moi vous parliez de quoi.

- Pas grand-chose renchérie Elyes.

- Vous me m'enervé là dite-moi si ce n'est pas important et pas grand-chose leur répondis-je en m'énervant.

- C'est bon c'est rien, on t'a dit, arrête de faire ta meuf. Dit-il en montant dans les tours

- Elyes ne parle pas comme ça à Elodie. Dit Xavier calme mais ferme à la fois.

- Et toi t'essaye de faire ta petite racaille à deux balles, ou joue le demi-frère trop protecteur.

- Toi tu ne passes pas du tout ou rien non plus, 3 jours plutôt t'essaye de te flinguer et après tu veux faire la meuf.

- Change de disque tu la déjà dis, et je ne fais pas la meuf. Un coup tu me dis que t'es là pour moi et après tu me tailles. Franchement t'es un petit c...

- OH STOP LA c'est bon on a compris. Dit Xavier en essayant de calmer le jeu.

- Qu'est-ce que t'essaye de faire, le père autoritaire avec moi, j'en ai plus et tu le seras pas pour moi, j'en aurais plus JAMAIS VOUS N'AVEZ PAS COMPRIS !

- Arrête de parler mal Elo, il a jamais essayé de prendre la place de ton père c'est même toi qui la dit dans la lettre me dit ma mère en arrivant avec Axel et Camilla.

- Tu n'en a pas marre de défendre toujours les autres. Regarde, tu ne me regardes jamais, ne t'intéresses jamais à moi. Ton mecs ses gosses Axel il y a qu'eux qui compte mais sa fille qui parle mal et qui essaye de se tuer sa FAIT TACHE POUR L'IMAGE D'UNE FAMILLE RECOMPOSEE UNI !

- Bon tout le monde sait qu'en ce moment ce n'est pas facile pour toi, ma chérie regarde-moi. Me dit-elle calmement. Je déteste quand elle m'appelle comme ça, tu sais que tout le monde est là pour toi. Mais ce n'est pas toujours facile de te parler et de parler de chose sérieuse en ce moment. Tout le monde essaye de te soutenir, bien que tu ne veuilles rien nous dire. Thomas nous a dit ce qui c'était passé sinon tu ne l'aurais jamais fait. Tu aurais pu avoir des séquelles à vie ou même pire. Pour te faire entendre raison c'est dur tu as fait des efforts avec la lettre alors même si ce n'est que des mots sur du papier c'est déjà bien ? tu ne nous parlais presque plus. Continua ma mère toujours en essayant de me réconforter et de me calmer. Je t'aime et je ne veux pas te perdre. Les enfants de Xavier comme toi et Axel font partie de ma famille. Mais tu resteras toujours ma fille.

- Tu ne parles pas et toi là normal tu débarque et tu me provoque en cherchant la petite bête, je t'aime bien mais là t'es soulante. J'essaye mais tu remets toujours en question les sentiments que j'ai pour toi, t'es ma sœur et je m'en fous du demi.

- Je ne veux pas prendre la place de ton père. Ton père le restera. Me dit Xavier calme.

- Mais vous n'avez pas compris que je ne veux plus entendre parler de lui. IL N'EXISTE PLUS. JE N'AI PLUS DE PERE. Vous comprenez pas quoi dans : Je ne veux plus en entendre parler. MERDE ! Vous êtes tous cons ou vous prenez des cours. Ou alors c'est contagieux. Vous me faite chier à toujours dire que vous êtes là pour moi. Pour vous oui, mais pas à mes yeux. Dis-je en criant

- C'est bon t'as fini de faire la fille pourrie gâtée. Parce que là nous traiter de con ça va un moment. Tu commences à sérieusement m'énerver. Mon père te parle un peu de ton père et tu montes dans les tours. Tout le monde te dis qu'on est là pour toi mais toi tu t'en fou et n'en fait qu'à ta tête. Tu vois c'est peut-être toi qui est conne et énerve tout le monde à ne rien vouloir comprendre, tu n'essayes même pas. Je te croyais plus intelligente que ça. Me dit Elyes en haussant le ton aussi. »

Je parti en claquant la porte et je me mis à courir. Je vis le bus arriver. Je le prends et ne m'arrêta qu'au terminus à l'autre bout de la ville ou j'en pris un autre pour aller à la gare. Arrivée là-bas j'en prends un troisième qui m'emmenas dans un coin reculé de la ville, plus calme ou personne ne viendrais me chercher. Je mis mes écouteurs et m'adossa à un arbre. Ce matin je me réveille avec le soleil. Toujours au même endroit, allongé contre l'arbre. Je regarde l'heure 5h25. Je décide de prendre un car pour aller vers le lycée. J'avais pris mon sac de cours qui était à côté de la porte d'entrée en sortant hier soir. J'arrive au lycée à 7h45. Je rentre directement, quand une main me prend le poignet. Je me débats pour qu'il me lâche le poignet. Je me tourne et me met à hurler.