Chapitre 3 : Qu'est ce que t'as?

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« -Tu n'as aucun droit de traité ma mère d'imbécile. Tu t'es vue toi, j'hésite entre la vache et une pouffe. Même une vache serait plus sympas et ferais une meilleure belle-mère que toi. »

Elle m'a mis une gifle, j'avais Axel dans les bras. J'ai été dans la chambre et me suis enfermée. J'ai rangé toute mes affaires et je suis partie par la porte vitré que j'avais dans ma chambre. J'ai été chez Julien en bus. J'ai sonné chez lui. Sa mère m'a demandé pourquoi je venais là avec mon frère.

« - Je peux voir Julien s'il te plait Carole.

- Oui je vais te le chercher, rentre. T'as quoi sur la joue ?

- Rien. »

Julien est arrivé et m'a demandé pourquoi je n'étais pas chez mon père.

« - Je suis partie. Lui explique-je

- Mais pourquoi ? C'est ça que je ne comprends pas. Pourquoi t'as une marque rouge sur la joue.

- C'est Alice la femme de mon père, elle ne sait pas mettre du rouge à lèvre elle m'en a mis sur mis sur la joue. Essaye-je de me justifier.

- Tiens Elodie, c'est de la crème. Me donna ma belle-mère

- Merci Carole. La remerciai-je

- Nan mais vraiment ? me demande mon petit-ami.

- Je peux dormir ici ce soir s'il te plait ? Lui demande-je à mon tour.

- Oui tu peux, maman ça ne te dérange pas ? demande-t-il à sa mère.

- Non. Lui répondit sa mère.

- Merci, j'ai tout ce qu'il faut pour Axel dans le sac mais, je n'ai pas de lit.

- Ne t'inquiète pas pour ça j'ai un lit parapluie. Me rassura Carole.

- T'as vus ta tête, on dirait que t'as pas dormi. Me fit remarque Julien.

- Pas beaucoup non.

- Je te prends ton frère, Julien, emmène là dans ta chambre. Me s'exclama ma belle-mère.

- Je suis désolée Julien, de te pourrir ton week-end. M'excusais-je auprès de Julien et sa mère.

- Arrêtes de dire des bêtises, il s'est passé quoi chez ton père ? me demande t'il en me prenant dans ces bras. Après s'être assis sur son lit.

- Je n'ai pas voulu faire lui dire ça, mais elle m'a saoulé avec son verre lait. Axel il faisait que de pleurer. Il avait peur. J'ai fait peur à mon frère, Julien. Je n'ai pas su rester calme pour lui. J'ai fondu en larme dans ces bras. »

Un quart d'heure après je dormais. Il m'a allongé dans son lit. Il a envoyé un message à ma mère pour lui dire que j'étais chez lui. Je me suis réveillée deux heures plus tard. Il me regardait dormir. Il s'est assis à côté de moi et m'a dit que sa mère s'occupait de mon frère et qu'elle lui préparait son repas pour manger.

« - Tu ne m'en veux pas. -Pourquoi est-ce qu'il faudrait que je t'en veuille. Il n'y a rien de mal à venir chez son copain parce que sa belle-mère lui a mis une gifle. Et de ne plus s'entendre avec son père qui dit oui à tout pour sa nouvelle femme. - Comment tu sais ? Lui demande-je intriguer.

- Ton père a appelé sur ton portable j'ai répondu et il m'a expliqué. - Il vient me cherche quand ? Lui demande-je anxieuse.

- Il préfère que tu restes ici ou que tu ailles chez ta mère. Le temps d'apaiser les tensions je crois. - Je vais retourner chez ma mère. Je ne vais pas vous déranger plus longtemps. Dis-je en me levant

- Tu ne nous dérange pas reste au moins ce soir et on te remmène chez toi demain. Intervient-il en me prenant le bras »

C'est donc ce qu'on a fait je suis rentrée le lendemain. Ma mère a pris Axel et moi, je suis montée dans ma chambre et j'y suis restée toute la fin du week-end. Ma mère m'a apporté mes repas. Je ne mangeais pas beaucoup.

Lundi mes amis m'ont demandé ce que j'avais. Julien m'a pris à part et m'a dit qu'il fallait que je mange, que ce n'était pas de ma faute si j'ai pris une gifle et que Axel n'a rien. Je l'ai écouté et c'est ce que j'ai fait. J'évitais mon père et cette Alice. On a cours avec elle aujourd'hui. Je suis allée en cour, je me suis assise, je ne me sentais pas très bien et après dix minutes je suis sortie. J'étais dans le couloir, elle est venue me rejoindre. Elle était prête à poser sa main sur moi.

« - Ne me touchez pas. M'exclame-je.

-Tu veux aller à l'infirmerie, m'a demandé Alice

- Laissez-moi, lâchez moi, je vous ai dit !

- Je ne veux pas te faire de mal. Continua-t-elle»

Je suis tombée par terre. Deux minutes plus tard j'avais repris connaissance. Julien m'a dit qu'il m'accompagnait à l'infirmerie. Il a pris mes affaires et on est parti. L'infirmière m'a mis dans un lit. Julien lui a expliqué ce qu'il c'est passer. Deux jours après, je n'avais plus rien. Quand j'ai appris que la prof était en arrêt maternité, je me suis dit que je n'allais plus la voir très longtemps.

Une famille pas tant recomposée ~Terminé~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant