Partie 4 : La radicalisation

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Point de vue de Fay:

Je viens d'être maudite ou je ne sais quoi, elles m'ont calcinées, j'ai eu tellement mal j'aurais du en mourir  mais pourtant je n'ai aucune cloque ni brûlure.

Une longue chaîne me tenait la cheville droite , elle semblait infini c'est comme si je pouvais aller n'importe où sans qu'elle me dérange.

Tandis que j'observais mon corps intact,  Aurora s'exclama:

-Tu es maintenant une Nymphe lampade, les nymphes lampades règnent dans l'abîme que vous appelez ''enfer'' pour faire régner  la douleur .
Mais toi, tu es maintenant à notre service et  tu va représenter notre règne sur le continent et non dans l'abîme.
Pour ça, tu devras inspirer la peur, mais avant tu va devoir passer un petit entretien avec Têmporis puis tu seras encadrée et formée à la magie noire et aux sortilèges Démonologiques par notre soeur Boéralis.
Tes chaînes ne te gèneront jamais, mais si un jour tu désobéis, les chaînes te traînerons sur le sol jusqu'ici, tu brûleras tout le long du trajet. Je te souhaite la bienvenue Fay je te laisse t'entretenir avec Têmporis.

-Suis moi Fay .

Nous sommes alors entrées dans une pièce où même mes chuchotements raisonnaient.

Elle ferme la porte puis s'assied en tailleur sur le sol .

Elle chuchote à son tour :

Je dois t'aider à être moins bonne , ta bonté me donne la nausées et pas seulement à moi, pour ça tu vas devoir souffrir.

-Vous allez me torturer ? Mais la pièce est vide ? Il n'y a que nous deux.

-Oui ça commence maintenant.

Immédiatement, elle me regarde dans les yeux et commence à dilater ses pupilles, complètement, puis sa main s'approche  de la mienne et elle se met à crier. Mes poils se redressent, les larmes montent , mon estomac se serre et je hurle de tout mon être.
Elle me regarde et sourit avec un air de dérangé mental  en gueulant ces mots .
Je souffre, bien plus que la calcination, je pleure à flots. Elle fait apparaître mon reflet  et je me voit hurler. Mes yeux sont imbibés de sang ,mes pupilles extrêmement dilatées , les veines de mon cou gonflent et je hurle .
En me voyant, elle ricane à travers mon reflet  et elle proclame :

- Un la solitude le rejet, deux l'abandon, trois la violence physique, quatre la violence morale, cinq le viol, six la honte,  sept le désespoir, huit la haine, neuf la vengeance .

A chaque fois qu'elle prononcait un chiffre je ressentais tout ce qu'elle disait.  Je me jetais violemment contre les murs pour essayer de me concentrer sur autre chose mais rien n'y faisait. J'étais désorientée, je n'arrivais plus à penser. La salle se remplissait d'eau salée, mes larmes ne s'arrêtaient plus .
Pendant cette ultime douleur, j'ai remarquais qu'elle souffrait aussi mais ça la faisait sourire, elle était  dans le même  état que moi.
Elle est complètement cinglée.

Une quinzaine de minutes plus tard elle se calme, s'allonge et s'endort puis je fais de même, complètement car tout cela m'a épuisée.

Quand je me réveille, elle n'est plus là.
Je me relève et sors de cette pièce affreuse.

J'entends un écho de rire dans le petit palais,  je m'en approche et vois une autre succube.  Il me semble qu'il s'agit de la fameuse Boéralis .
Une fille aux cheveux couleur violette, deux beaux yeux de séductrice mauve et simplement vêtue d'une sorte de string ainsi que d'un haut collant sa poitrine comme une deuxième peau en cuir noir et des pièces en cuir sont entourent ses avant-bras .
Un symbole de la sexualité féminine Incarné.

Elle m'interomps tandis que je la dévisage de la tête aux pieds en s'exclame.

- la nouvelle , t'es une gouine à me dévisager ainsi? Et qu'est-ce que tu fous encore  à poil ? T'es une Nymphe lampade, pas une putain ! Viens par là je vais te fringuer, tu seras moins laide.

-bonjour, euh oui je suis pas très à l'aise dans cet état... Je me disais que vous, vous étiez très belle.

Elle m'attrape par le poignet et me pousse dans un escalier, il fait tout noir. Elle ferme derrière moi tandis que je dévale les escaliers...

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Beaucoup de faute oui mais je vais corriger sa se soir ou demain  désoler pour vos yeux 😋

La Malédiction SuccubeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant