Criminal Boy /w Justin Bieber ( EN PAUSE)

Chapitre 2

Le lendemain je me réveillais la boule au ventre, je n'avais presque pas dormie de la nuit, les questions avaient fusées dans mon esprit toute la nuit. Qu'allais-je bien pouvoir leurs dire ? Etais-je vraiment prête pour infiltrer l'un des gangs les plus dangereux ? Ce genre de questions, auxquelles je n'avais pas de réponse.

Je préparais quelques affaires, avant de fermer mon appartement a clé pour un bon petit bout de temps. Je n'y remettrais sans doute pas les pieds avant un bon bout de temps, je ne reverrais peut-être jamais mes parents, mes amis, mes collègues, et ça me faisait peur. J'avais peur de faire des choses que je ne cautionnais pas, j'avais peur d'être brisé lorsque mon infiltration se terminerais. A l'école on nous avait parlé de certaines infiltrations qui avaient durées plusieurs années, je ne voulais pas que ce soit le cas pour moi. Je voulais passer le moins de temps possible en contact avec ces individus. Mais je ne voulais pas non plus passée pour une faible devant mes collègue parce que j'étais une « fille a papa » comme on m'appelais au lycée. J'ai toujours méprisé les gens qui colle des étiquettes sans connaitre l'histoire de la personne. Pourtant c'est ce que je faisais avec les hors la loi, juste parce qu'ils avaient enfreint une simple loi. Peut-être que je ne valais pas mieux que ceux que je méprisais.

J'arrivais malgré-moi devant un entrepot sur les docs de manhattan, c'était apparement le lieu de rendez- vous, qui étais fixé a 9:00 A.M, mais il étais déjà 10 : 00 A.M et personne n'était venu. Je trouvais cela étrange, et sorti mon nouveau téléphone pour relire une cetième fois le message que j'avais reçus peu avant. Je vérifiais ensuite sur le GPS si j'étais au bon endroit. Je ne m'étais pas trompé, ni de jour, ni d'endroit et encore moins d'heure.

Le bruit d'une moto retenti entre les vieux batiment et une grosse cilindrée noire aux gente rouge déboula devant moi. Je retais sur mes gardes tandis que le motard coupais le contacte et descendis de sa moto, sans enlever soncasque. Je reculais, par peur, mais il me fit signe que je pouvais le lui faire confiance. Il montra qu'il n'avais pas d'arme a la ceinture, et retira son carque noir. Je fus surprise de voir un visage que je ne connaissais que trop bien. Le jeune homme du tram, qui étais par la même ocasion, celui que j'avais essayer d'interpeller. Ma couverture étais fichu avant même que je n'ai pu m'en servire.

Le jeune homme s'approcha de moi lentement, son casque a la main. Je baissais la tête pour ne pasn qu'il me reconnaisse. Mais c'était peine perdu. Il posa un doigt sous mon menton et me força a relever la tête et le regarder dans les yeux. Hier je n'avais pas vu a quel point ils étaient beau, j'étai sans doute trop perturber par sa présence a quelques mètre de moi pour le remarquer, et il faut dire aussi que nos regards ne c'étaient croisés que pendant quelques secondes.

- Tu es ? demanda-t-il.

- Mayleen Sworskov, dis-je en tendant ma main.

- Justin Bieber, je vais te conduire quelque part et de là tu prendras une voiture avec le boss.

Pardon ?! Le boss ?? Comment-ça, on a jamais parler de rencontrer le boss de suite ! Je me sentais mal, je ne savais pas quoi répondre ni quoi faire... cela me rendais très nerveuse, et je sentais que mon esprit voulais partir, mais ce n'étais pas vraiment le moment. Je secouais la tête pour revenir a mes esprits

- Oh, ça va ? demanda-t-il, une once d'inquiétude dans le regard.

- Oui, très bien, c'est juste que je ne pensais pas le rencontrée aussi rapidement, c'est tout.

- En même temps, avec ton pédigrée, il ne voulait que te rencontrer.

Il me tendis un casque de moto, que je saisi entre mes mains, que voulait-il dire par là ? étaient-ils déjà tous au courant ? comment allais-je me sortir de cette merde ? comment pourrais-je reprendre une vie aussi normale que possible ? je mis le casque sur ma tête pour stoppées les pensée qui me venais à l'esprit.Justin avais déjà pris place sur la moto et le moteur ronronnais déjà. Je le rejoignis, et m'installa derrière, lui.

- Tiens-toi à moi, dit-il avant de faire crier le moteur.

Je n'eus pas le temps de comprendre ces paroles qui étaient mangée par le bruit de moteur que je l'agrippais de toutes mes forces et fermais les yeux, je sentais le vent, s'engouffrer dans mon blouson et caresser mon jean. La sensation de vitesse était agréable, et j'ouvrais enfin les yeux pour voir le paysage de la grosse pomme défiler à toute allure, nous dépassions Time Square en moins de trente secondes. Je ne savais pas ou nous allions, mais ma première virée en moto me plaisait beaucoup,pourquoi n'avais-je pas tester avant ?

Seulement un quart d'heure plus tard, nous arrivions dans la banlieue de New York, dans un quartier que je connaissais mal, simplement parce que ce n'étais pas mon rayon d'action on va dire. Il tourna a une vitesse plus raisonnable dans un quartier résidentiel qui se trouvais sur la droite. Il s'arrêta devant une grosse Range Rover noire garer sur le bord de la route. Un homme grand aux lunettes noir sortie du coté conducteur , le mec on aurais dit Will Smith mais en blanc dans MIB quoi. Bientôt il va sortir un petit crayon et dire que je n'ai rien vu, et demain je me réveillerais dans mon lit, chez moi. Mais non. Ce n'est pas comme ça que ça va se passer... Je vais rentrer dans cette voiture et ma vie changera du tout au tout.

Justin enleva son casque et me tira par la main un peu à l'écart. Il enleva mon casque qu'il posa sur un poubelle non loin de nous. Il posa ces mains de chaque coté de mon visage, et me força à le regarder dans les yeux.

- Je sais qui tu es réellement, dit-il comme si c'était la chose la plus normale du monde.

- Pardon ? dis-je faisant semblant de ne pas comprendre.

- Mayden, c'est comme ça que tu t'appelles hein ? tu es un agent du FBI.

- Comment tu sais tout cela ?

- Tu croyais vraiment que je ne te reconnaitrais pas ? tu m'as courus après, je te rappelles.

- Je ... commençais-je a paniquer.

- Fais attention au boss, c'est tout ce que j'ai a te dire, dit il avant de s'éloigner en embarquant mon casque.

Je restais stoïque sur le bord du trottoir, le voyant partir sur sa moto lancée a pleine vitesse en moins de deux. L'homme en noir, me toucha l'épaule, et je sursautais tel une fillette de trois ans.

- Il est temps mademoiselle Sworskov, m'interpella le sosie de Will Smith.