Dix jours étaient passés et j'étais toujours enfermer chez moi, enfin mon nouveau chez moi. Je n'avais eu aucune nouvelle du gang, depuis que j'avais parler avec le boss, c'était le silence radio, le chef de la police, m'informait qu'il ne se manifestaient plus, et il trouvait ça étrange.
Moi, je ne me faisais pas trop de soucis, et sortais que lorsque c'était nécessaire. D'ailleurs, je m'apprêtais a sortir les poubelles dans le local. Je ramassais le sac et ouvris la porte de mon appartement. Je ne pris pas le soin de la fermer a clé étant donné qu'il était très tard, les gens dormais. Je dévalais les escalier a toute allure, et ouvris le local a ordure avec mon passe. Je jetais ma poubelle. Mais j'avais l'étrange impression de ne pas être seule ici. Je regardais autour de moi, mais il n'y avait rien de suspect.
Soudain la lumière s'éteint et la porte claqua, je sursautais. Je n'y voyais plus rien, mais réussi a me dirigé vers la sortie, dans le noir le plus total. je remontais a mon appartement dans l'obscurité et lorsque j'ouvris la porte, je tombais nez à nez avec un homme, armé d'un neuf millimètre. Il se retourna et je respirais de nouveau voyant que c'était Justin. Mais pourquoi avait-il une arme ?
- Salut, dit-il d'une voix enrouée et rauque.
- Bonsoir, répondis-je sur mes gardes.
- Désolé de ne pas être venu plus tôt, mais j'avais des affaire à réglée. Je viens juste pour t'annoncer une bonne nouvelle,... enfin si on peut dire.
Je le laissais continuer en hochant la tête. Je ne savais pas ce qu'il avait voulu dire, mais je contais bien le percer à jour.
- Le boss a décider de te prendre dans l'équipe, il a beaucoup aimer les anecdotes que tu lui a raconter sur la mort de tes parents pendant la guerre en Irak, et que depuis tu déteste ce pays autant que tu hais tes parents. Seulement je sais que tu mens, je sais que tes parents sont en vie, et qu'ils vont très bien, je sais que Sworskov n'est pas ton vrai nom et que tu t'appelles Mayden, ce que j'ignore, c'est pourquoi tu veux faire parti de ce gang. Pour qui tu travailles ? Je veux dire en dehors de FBI.
- Comment tu sais tout ça, m'inquiétais-je
- Je ne suis pas bête tu sais.
- C'est pas ce que j'ai voulu dire, pourquoi tu n'as rien dit à ton boss ?
- Répond d'abord à ma question, pour qui est-ce que tu travailles ?
- Tu le sais déjà, je travail uniquement pour le FBI. A toi de me répondre maintenant, Repris-je.
- Tu es mon ticket de sorti, voilà pourquoi, dit-il avant de me passer devant et de sortir de l'appartement. Demain 7 heures en bas, continua-t-il avant de disparaitre dans la cage d'escalier.
Je fermais la porte et allais dans la chambre, je prenais mon pyjama, et le mettais. Pourquoi ne rien dire ? Et qu'est-ce que ça pouvais bien vouloir dire, tu es mon ticket de sortie ? Avait-il l'intention de me dénoncer ? Je devais en savoir plus sur lui, je devais savoir ce qu'il savait d'autre sur moi. Mais pas ce soir, j'étais fatiguée.
...
Le réveille sonna et je le frappais pour ne pas me lever. Je fus réveillée par de violents coups sur ma porte un peu plus tard. Je ne savais pas ou j'étais, je commençais à paniquer, je ne savais plus, que m'arrivais-t-il ? La porte de ma chambre s'ouvrit dans un claquement qui me fis perdre tout mes moyens, je me roulais en boule, attendant que l'orage passe.
- On avais dis 7 heure, pas 10 heures il me semble ! cria une voix que j'avais entendu trop souvent.
Je ne bougeais pas, je fus prise de tremblement, j'étais tétanisée, je n'osais pas bouger, et même si je l'avais voulu au plus profond de moi, je n'aurais pas pu. Quelque chose m'empêchais de faire la part des chose, je ne savais plus ce qui était vrai et ce qui ne l'était pas, je ne savais pas si ma présence dans ce jardin était réelle, mais mon père jouait avec mon petit frère pendant que je faisais mes devoirs sur la tables du salon.
- Oh ! cria une voix.
Je n'arrivais pas à savoir si c'était réel, ça en avait l'aire, je sentis quelque chose dans mon dos, puis un poids me faire bouger du lit, et enfin je savais que c'était réel, quelqu'un me prit dans ces bras, mes larmes chaudes ruisselais sur mes joues, alors, que je fixais un point dans le vide. Ma vision s'estompa progressivement, et je revenais enfin dans la chambre, encore plongée dans le noir. Ma tête était collée contre le torse d'un garçon. Je ne savais plus quel jour nous étions, ni ce que je faisais ici.
- Hey, ça va, tout va bien Mayden, chuchota le garçon.
- Justin ?
- Qu'est-ce qu'il c'est passé ?
- Laisse moi revenir, deux secondes.
- Je suis désoler, si je t'ai fais peur.
J'avais enfin repris mes esprits, et je pris la parole.
- J'ai fais une crise, je suis désolée que tu ais dû assister à ça, m'excusais-je.
- Une crise ?
- Je suis épileptique, dis-je en baissant les yeux au sol.
Ma tête était toujours posée contre son torse, son odeur emplissait mes narines et il parvint à me calmer, en un rien de temps.
- Tu aurais dû le dire, j'aurais fais attention, c'est à cause de moi, c'est ça ?
- Non, répondis-je, j'étais déjà mal avant que tu ne déboules comme ça sans prévenir dans ma chambre. Mais c'est vrai que tu as été l'élément déclencheur.
- Je suis con parfois, ...
- Tu ne pouvais pas savoir, c'est juste que je me sent mal dans cet immeuble, il me fait flipper, alors je suis sur les nerfs...
- Ça t'arrive souvent de faire ce genre de crises, demanda-t-il.
- Oui, enfin non, ça dépend des périodes, mais en générale, je me retrouve a l'hosto après, répondis-je.
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Criminal Boy /w Justin Bieber ( EN PAUSE)
ActionQuand deux être fais pour s'entendre ne se rencontrent pas au bon endroit et qu'ils se détruisent mutuellement.