PARTIE 12 :
Bizarrement il a le don de tout me faire oublier. On fait l’amour de façon très spéciale et on part chez le gynéco pour ma première visite prénatale. C’est incroyable…
Selon le médecin je suis à 4 semaines de grossesse. Ibrahim m’a amené dans une clinique ou travaille leur médecin de famille. ce dernier nous a mis en contact avec une gynécologue parce que mon jaloux de mari à insisté pour qu’une femme me suive et non un homme.
Je décide d’en parler à maman juste après mon rendez vous chez le médecin. Elle était tellement contente qu’elle pleurait au tel :
Elle : je n’arrive toujours pas à croire que ma petite Soukeyna va avoir un bb
Moi : maman je ne suis plus une petite fille.
Elle : je sais je sais ma fille. Mais à mes yeux tu es toujours la petite nana qui gambadait partout dans la maison et qui pleurait tout le temps.
Moi : rire maman si Ibrahim t’entend dire sa il va l’utiliser contre moi.
Elle : rire
Moi : maman quand est ce que tu vas venir me rendre visite ?
Elle : ma fille bientôt ne t’inquiète pas.
Après une longue discussion entre mère et fille, on raccroche. Je ne comprend toujours pas pourquoi maman hésite à venir me rendre visite. Depuis mon mariage je ne la vois que quand je vais à la maison. Mais mes sœurs viennent de temps en temps et tout les dimanche Sarah vient passer la journée chez moi.
La seule personne que je vois rarement maintenant c’est Marième. Depuis que je me suis mariée je l’entend rarement et elle n’est venue qu’une seule fois. Je vais l’appeler d’ailleurs pour lui annoncer la nouvelle. Ibrahim m’a dit de ne pas le dire à tout le monde mais je m’en fous, c’est ma meilleure amie et je veux qu’elle soit parmi les premiers à savoir que je suis enceinte.
Elle : allo
Moi : Wa iow qu’est ce qui se passe ? je t’entend très rarement maintenant. J’espère que tu ne m’a pas remplacé
Elle : (éclatant de rire) ma chérie ce n’est rien juste que je ne veux pas trop abuser de la gentillesse de ton mari. En plus une femme mariée ne doit pas fréquenter les célibataires…
Moi : (je ne la laisse pas finir) tu te fous de moi ? c’est pourquoi je ne t’entend plus ? rire. Arrête stp écoute je veux que tu t’enlèves ces truc de la tète. Je veux que tu vienne ici de temps en temps toi aussi. Même Ibrahim m’a demandé si toi et moi on s’est disputé.
Elle : rire bon d’accord. Tu es joyeuse aujourd’hui..
Moi : il y a de quoi mari je suis enceinte d’un mois
Elle : (criant presque) quoi ??non toi enceinte. C’est une excellente nouvelle nana.
Moi : oui je suis trop contente.
Elle : la vie est vraiment bizarre. Tu te rappelle quand ton père t’a annoncé que tu devais te marier ? tu as failli mourir.
Moi : je te jure mais aujourd’hui je me sens heureuse mari.
Elle : dis moi mactar m’a appelé il voulait ton numéro. Je lui ai rien donné mais il insiste. Il dit qu’il a quelque chose d’important à te dire
Moi : ne lui donne pas je ne veux pas que Ibrahim apprenne qu’il veux m’appeler. Il est de nature un peu jaloux
Elle : ne t’inquiète pas. Je passe la journée chez toi dimanche sans faute.
Moi : menteuse si tu ne viens pas c’est moi qui viendrais te chercher.
Elle : rire ok je t’embrasse.
J’étais très contente de discuter avec ma meilleure amie. Elle me manque tellement.
Je n’arrête pas de penser a mon petit bébé. Les test se sont bien passé et docteur aby diagne m’a dit que mon bb est à peu près aussi grand qu’une graine de sésame. Je suis a un mois de grossesse maintenant. Mes seins sont gonflés et hypersensible. Ibrahim en profites pour me torturer. Rire. A part mes sautes d’humeur et les nausées matinale je peux dire que ma grossesse débute super bien. Ibrahim est de plus en plus doux avec moi. J’en profites même pour faire la capricieuse de temps en temps.
Ibrahim : tu penses à quoi ?
Je sursaute, il était devant la porte et il m’observait alors que je caressais mon ventre. Je ne l’avait pas entendu arriver.
Moi : a rien. depuis quand tu es la ?
Karim : depuis un moment.
Moi : …
Lui : nana si ce mactar te rappelle ne serait ce que pour te dire bonjour, je le trouverai là ou il est et je le massacrerai à coup de marteau jusqu'à ce qu’il meurt est ce que c’est clair ?
Moi : …
Lui : ne répond pas c’est mieux. j’ai dis à maman et astou que tu es enceinte. Tu ne prépares plus jusqu'à l’accouchement. Tu ne fais rien.
Moi : je risque de m’ennuyer Ibrahim.
Lui : je sais mais je ne veux pas qu’il arrive quelque chose à mon bébé
Moi : et moi ? tu ne penses qu’au bb toi.
Lui : tu es jalouse de ton enfant maintenant ? rire
Moi : ok je ne vais rien faire mais et les études ?
Lui : je dis tu reste à la maison jusqu'à ce que l’enfant naisse après tu fera ce que tu voudra.
Il est arrogant quand il veut. Mais la n’est pas mon problème. Je redoute de rester dans cette maison avec son père. Lui ne semble même pas s’en soucier. Peut être qu’il a parlé avec lui. De toute façon c’est le cadet de mes souci.
Depuis deux jours maintenant j’ai les nerfs à fleur de peau. Selon le médecin ce sont les hormones.
Je suis tout le temps en colère surtout maintenant que les nausées matinales persiste. Je ne me reconnait plus. Je suis tout le temps nostalgique. Il m’arrive même de regretter que je suis enceinte. Mes peurs revienne et toutes les nuits je fais des cauchemars pendant que mon idiot de mari se met à dormir.
En parlant de lui il commence sérieusement à m’énerver. Je n’arrive même plus à le supporter. Il m’en a une fois fais la remarque et je me suis littéralement énervé.
Lui : tu t’énerves même quand je te demande si tu as bien mangé
Moi : … c’est normal tu ne pense qu’a la santé de ton enfant.
Lui : mais de quoi tu parles ? on dirait que tu devient folle.
Moi : laisse moi tranquille ok ? je ne veux plus parler avec toi.
Il s’est mit à rire le pauvre c’est lui qui encaisse tout. Le médecin lui a clairement dit que mes sautes d’humeur sont du aux hormones c’est pourquoi il fait contre mauvais fortune bon cœur.
Un jour je lui ai même demandé d’aller dormir dans l’autre chambre parce que je voulais être seule. Il a obéit ndeysane. Une heure après j’avais tellement pitié de lui que je l’ai rappelé pour qu’il vienne dormir avec moi. Mais il a boudé presque deux jours et finalement j’ai fais la capricieuse en prétextant une envie de made et il est allé m’en acheter.
Lui et moi c’est une complicité sans fin. Pendant que je vivais cette grande complicité avec mon mari je ne savais pas que ma belle mère en était jalouse à mourir.
Quand j’ai atteint mon 4ieme mois de grossesse je me sentais beaucoup mieux dans ma peau. Les nausées ont diminués et je ne suis plus aussi désagréable comme au tout début. Depuis que le médecin nous a dit que l’épanouissement sexuel ne fait courir aucun danger à moi et au bb, Ibrahim en est devenu plus gourmand que d’habitude. Nos rapports sexuels sont devenu des moments privilegés entre lui et moi. Mon envie de sexe ne faisait qu’augmenter et lui il adorait sa. Pendant les heures ou Ibrahim ne travaille pas, il rentre a la maison et on ne descend plus. C’est devenu comme un rituel et c’était plus que bon jusqu’au jour ou sa mère frappe à notre porte un dimanche après midi.
Elle : on ne vous voit plus dans la grande cour. Vous ne sortez plus et vous êtes rarement a table avec les autres ; c’est pas sa le mariage ma fille.
Et voila c’est à moi qu’elle parle maintenant. Je ne dis rien je me tais tout simplement. Je ne savais pas que maman était de nature jalouse. Ibrahim lui de son coté allait pouffer de rire. Je n’essaie même pas de le regarder sinon je risque d’éclater de rire.
Ibrahim : mais maman qu’est ce que tu veux ? on ne peux plus rester un moments seuls ?
Elle : mais vous êtes tout le temps seuls
Ibrahim : d’accord maman on t’a entendu désormais on fera tout en bas.
Et il éclate de rire. J’étais tellement gênée que Ibrahim l’a remarqué. Maman était comme fâché, et depuis ce jour Ibrahim et moi passons de rare moment ensemble. Je sentais comme une pointe d’accusation envers moi. Elle insinuait que je lui prenait son fils unique c’est pourquoi j’ai demandé à Ibrahim de faire ce qu’elle voulait qu’on fasse. Il n’était pas d’accord au début mais finalement il a accepté. Donc tous les soirs on se retrouvait tous dans la grande cour à discuter et à regarder la télé ;
Ce soir l’ambiance était excellente. Astou a préparé le diner et pour la première fois de la semaine mon beau père dine avec nous. J’avoue que depuis l’incident de l’autre jour je ne pouvais plus le regarder en face, mais lui il ne se gène pas au contraire. Quand il entre dan salon Ibrahim change immédiatement d’humeur. Il ne parle plus, il se concentre plus tôt sur son téléphone a jouer.
Je l’envoie un message pour le décontracter… « bb tu peux sourire quand même » il me répond « » je le comprend quand même il ne peux pas sourire devant un père qui a fait des avances à sa jeune femme. Il envoi un autre message « j’ai envie de toi ». a peine que j’ai lu le message j’ai des picotements au bas ventre. Mais je ne peux pas e lever maintenant. Déjà maman nous regarde j’en suis sur qu’elle soupçonne qu’on s’envoie des texto. Je lui répond « on va bientôt diner, après on vas se coucher… » il répond « non je te veux maintenant. Je prétend que je répond au téléphone. Je me lève je sors de la maison. Une minute après tu dis que tu vas prier avant le diner. Ensuite je te rejoins dans notre chambre. » je suis morte de rire mon mari est fou je lui dis « tu es fou mais j’accepte mais je ne veux pas qu’on nous découvre sinon j’aurais trop honte. » lui : « ne t’inquiète pas même si on a l’air de deux jeunes qui sortent ensemble c’est pas grave.nagn mougn rek mais pour le moment damala khif et je veux te sentir tout de suite. »
Li deh metina on est marié et on ne peux même pas faire ce qu’on veux dans notre maison. Je ne comprendrai jamais cette famille. mais pour le moment c’est excitant… soudain Ibrahim se lève pour répondre au tel comme il l’a dit j’avais envie de rire mais je me ressaisit et me lève pour aller prier. A peine entré dans la chambre Ibrahim me rejoint. J’éclate de rire…
Moi : je te jure qu’on va nous découvrir.
Lui : je m’en fous tu es ma femme j’ai le droit de faire ce que je veux.
Je n’eus pas le temps de répondre qu’il me pousse dans la salle de bain.
Moi : qu’est ce que tu fais ?
Lui : chuuut
Il commence à m’embrasser partout ; et comme j’avais mis une petite robe légère et rien dedans, son excitation augmente. J’étais face au miroir de la sale de bain et je pouvais voir tout ce qu’on faisait. Lui aussi d’ailleurs. Cela éveillait de plus en plus nos sens…
Il commence par enlever son pantalon et se colle à mon derrière ; il gémissait de plus en plus fort.
Lui : tu es plus nekh de jour en jour..
Moi : …
Je ne pouvais pas parler et il le savait. Il commençait à bouger derrière moi. Et quand je m’y attend le moins, il soulève ma robe et doucement me pénètre… c’était excellent je le sentais faire des va et viens le plaisir était immense. On se regardait dans les yeux… il me pénétrait comme un dieu. Je sentais le plaisir monter. On gémissait tout les deux sans même se soucier si les autres pouvait nous entendre.
On jouit finalement tout les deux et on tombe fatigués. Ibrahim me porte jusqu'à notre lit. C’était l’expérience le plus nekh depuis notre mariage.
Lui : on devrait souvent faire l’amour comme sa devant le miroir
Moi : oui c’est trop bon
Lui : je t’aime
Moi : je t’aime encore plus.
Il n’en croyait pas ses oreilles. c’est vrai c’est la première fois que je lui dis que je l’aimais et il en était tellement heureux qu’il me sert fort dans ses bras.
Moi : je ferai mieux de descendre… prier seulement ne peux pas prendre autant de temps.
Lui : ok ok moi je vais sortir dehors. Met de l’ordre dans tes cheveux riiiiiiire.
Il sort en riant. Il a l’habitude de se moquer de moi mais je l’aurai un jour… je mettait un peu d’ordre dans mes cheveux quand j’entend de nouveau la porte de la chambre s’ouvrir. Sans même me retourner je dis :
Moi : Ibrahim qu’est ce tu veux sort avant qu’on nous découvre…
Beau père : c’est pas Ibrahim c’est moi ; Vous cachez bien votre jeu vous deux. Pourquoi vous vous cachez quand vous voulez être seuls ?
Moi : …
J’avais peur de cet homme. Je me lève sur le point de sortir quand il me tient la main.
Lui : je t’ai dis de ne pas avoir peur de moi
Moi : laissez moi je dois descendre
Lui : pas avant que tu ne me fasse la même chose que tu fais à mon fils.
Je ne comprend pas j’avais peur qu’il me viole alors que je suis enceinte. Si je crie tout le monde va venir et il risque d’être détesté de toute la famille. tout le monde ne sait pas ce qu’il m’a fait. Il s’avance et avant même qu’il m’approche je sors en courant de la chambre.
Dans la tête de Ibrahim
J’adore ma femme. Même quand mon père est la elle a le don de me faire sourire. C’est vrai qu’entre mon père et moi c’est pas la bonne entente mais je ne veux pas que cela empiète sur ma vie de couple. Nana est ma femme et je ne laisserai pas mon père me gâcher cette merveilleuse relation.
Maman quant à elle je la comprend. Elle est un peu jalouse de ma femme. C’est normal je la comprend d’une part. je suis son seul fils et avant mon mariage j’étais tout le temps avec elle.
Dés fois je me dis que c’est trop beau pour être vrai et que mon bonheur avec nana est juste passager. Je me sens bien avec elle, elle est une femme respectueuse en plus d’être belle. Elle me supporte et depuis que je me suis marié avec elle toute mes affaires évoluent. Je dirais même qu’elle me porte chance.
Et pour couronner le tout elle entend un enfant de moi. Elle va faire de moi un père. Elle ne sait même pas à quel point sa grossesse me fait plaisir. Je n’arrête pas de penser à la meilleure façon de lui offrir un cadeau. Une maison, une voiture beaucoup d’argent, rien n’est assez suffisant pour montrer la satisfaction et le bonheur qu’elle m’apporte. Je suis complètement totalement et éperdument fou amoureux d’elle.
Tout à coup, des cris venant de la maison me tirent de mes pensés. Nana criait mon nom. Mais qu’est ce qui se passe ? je cours en vitesse dans la maison pour voir et dés que j’entre je vois ma femme en pleur descendre en courant les escaliers ; je la rejoins pour l’attraper et avant même que j’arrive a elle, elle tombe…..
NON C EST PAS VRAI NON ; nana est tombé je m’agenouille à coté d’elle et je vois le sang beaucoup de sang qui commence à couler de ses vêtements….
C’EST TOUT POUR AUJOURD ‘HUI…
