Mes années collège.

Chapitre 92

M :"Embrasse-moi."
Mon coeur battait tellement fort, je savais que j'étais en train de faire une erreur.

J :" Qu.. Quoi ?"

M :"Je ne le répéterai pas Julien."

Il n'hésita pas une seule seconde, il me sauta dessus, comme si il attendait ça depuis toujours. Le contact de son corps me brûlait la peau, ses lèvres avait un goût de magie, c'était fort, puissant.

J'ai eu comme l'impression d'avoir changer en un instant.

Après ce baisé magique, il s'écarta de moi. On était tout deux gênés.

J :"Ça va Marie ?"

Il a vu à mon expression que quelque chose n'allait pas.

J :"C'était pas bien c'est ça ?"

Le pauvre il n'y était pas. Ce baisé était le plus beau que je n'ai jamais connu, mais une chose me bouleversé, je venais de tromper Anthony.

M :"Julien... Je... Je..."
Les larmes montaient.

J :"Marie qu'est-ce que tu as ?"

M :"Je viens de tromper Anthony."

J'ai vu à son visage qu'il était déçu. Il ne s'attendait pas à cette réaction.

J :"Il ne te mérite pas."

M :"Mais je l'aime."

J :"Tu quoi ?! Tu l'aimes ?! Tu es sérieuse ? Putain moi qui croyait que notre histoire allait commencé maintenant ! En fait tu te fou de moi depuis le début ! Pourquoi tu m'as demandé de t'embrasser si tu l'aimes l'autre connard ! Les autres avaient raison, t'es qu'une pute !"

Je sentis mon coeur se déchirait en mille morceaux. Julien, mon Julien venait de m'insulter.

M :"Julien je..."

J :"Non tais toi Marie, ne m'adresse plus jamais la parole, à partir d'aujourd'hui tu n'existes plus !"

Et il me laissa là, perdue. J'étais mal, très mal. Je sentais une douleur dans ma poitrine, une douleur affreuse, comme si mon coeur était brisé.

Je sentais mes battements de coeur s'accéleraient, si fort que cela me faisait mal.

Je sentais l'angoisse monter, comme si j'étais en train de m'étouffer.

Et d'un coup, tout est devenu noir.

...