Chapitre III

53 4 4
                                    

Elle avait ouvert la bouche, mais rien ne sortit. Comme si elle était paralysée. Elle ferma rapidement la bouche et mit son poing devant sa bouche avec son index légèrement redressé.

C'est alors que je sentis quelqu'un s'approcher de moi et me chuchoter à l'oreille : "Si ce que tu nous a laissé croire avec la chanson et le "salut" est vrai. Tu dois être capable de l'aider."

A l'entente de ses mots mon corps tout entier frissonna. Comment pourrai-je aider quelqu'un ? Alors que je n'arrive même pas à m'aider moi même ?! Je commençais à avoir l'impression de suffoquer. Une impression de mourir de chaud. Et de nouveau cette sensation d'être regardé, et d'être le seul à être différent. (ndl : Dans ma tête les gens sont autour de lui et un projecteur de lumière est braqué sur lui)

Mais c'est alors que je me sentais vraiment mal à l'aise que je vis le regard de pitié de la fille aux cheveux vert. J'eu l'impression de mourir ! Pas par le regard des autres, pas par mon agoraphobie, mais bien par son regard désespéré. Son regard triste au point où tu ressens tout ce qu'elle éprouve.

Je venais de me convaincre de l'aider. Il me fallait par contre des informations, tout ce qui pourrait être utile pour la comprendre et savoir comment elle est devenue cette âme emplit de tristesse.

"Tout ce qu'il y'a à savoir c'est que. Elle a crée le groupe que tu vois aujourd'hui ; Elle a donnée tout son temps pour aider les gens comme toi ou comme nous, a être accepté ; Elle s'occupait des différents qui pouvaient se produire entre nous. Mais un jour alors que tout se passais pour le mieux. Un problème naquit, et fût partir une grande partie du groupe. Qui était plus grand qu'aujourd'hui. Les autres mirent toutes les fautes sur son dos. Sans scrupule ! L'insultaient sans vergogne ! Au début, elle n'y faisait pas trop attention, mais plus le temps passait, plus les coups bas se fessaient violent. Puis un beau jour elle craqua. Elle commença à accepté le fait d'avoir fait le pire choix qu'elle eu dû faire. Ensuite elle crû n'être qu'une moins que rien, invisible, débile et j'en passe. Voilà le peu que tu a besoin de connaître pour l'aider. Tu apprendra à la connaître avec le temps."


Je serrai le poing à l'entente de ses mots, et constata qu'une larme coula sur sa joue, une unique larme qui c'était glissé par là. Je ne bougeais pas. Je ne savais pas quoi lui dire. C'est vrai pour le moment je ne suis qu'un étranger et même pas un véritable frère pour ce groupe.

Alors que je commença à avancer pour sortir de cette pièce, une main attrapa on bras. J'esquissa un léger sourire, car je commençai à comprendre qui le faisait. Je venais tout juste t'atteindre la sortie quand on me dis : "J'avais raison de t'amener ici Arthur !"

"Comment connait-elle mon prénom ?"

Je la regarda choqué. Les yeux grands ouvert, et la bouche légèrement. C'est tout naturellement qu'elle continua : "Ah oui c'est vrai, ça dois te faire bizarre que je te connaisse et pas toi. (me dit-elle d'un air gêné) Moi c'est Manon ! Pour te dire la vérité (elle marqua une pause et inspira) Cela dois faire un mois que je t'observe, et j'ai tout de suite remarqué que tu n'étais pas le genre de garçon comme les autres. Le style de musique n'est qu'une formalité, mais tu avais déjà adhéré au métal. C'est surtout ton côté solitaire rêveur et insociable qui m'a fait penser à elle."

(NDL : chapitre 3, je suis assez mitigé sur sa composition... Je ne vois pas bien comment l'améliorer sans en dire trop pour la suite. C'est frustrant ! Et j'ai aussi l'impression que la qualité d'écriture diminue au fils du temps. C'est chiant ! Chapitre 3 un chapitre qui me laisse perplexe)

Plus que de la musique, un échappatoire.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant