Je reviens à moi petit à petit. Ma main droite recouvrant mon visage, les larmes coulent le long des mes joues.
Je pouvais revoir cette journée, cette journée unique et prélude d'une si belle histoire.
Et pourtant... Et pourtant me voilà si près du nœud coulant. Je souris à cette fatalité, à cette ironie de la vie.
Moi qui suis là, debout sur mon tabouret. Reprenant peu à peu connaissance. Je pouvais observer cette pièce vide, cette pièce sans décoration et sans âme. Les quatre murs sont nues, ils sont blanc et triste. On peut entendre leurs pleures. Au final ces murs ne sont que l'écho de la personne qui y'est au centre.
Mes doigts remontent peu à peu jusqu'à mon crâne en prenant soin de relever mes cheveux. Mes doigts se serrent quand ils furent arrivés au sommet de ma tête.
Une expiration me fait sortir de ma rêverie. Je relève la tête et cherche du regard ce qui aurai pu créer ce souffle. Il fallut deux minutes pour me rendre compte que ce n'était que mon propre souffle. Ma propre tristesse m'avait sortie de mes souvenirs joyeux.
Puis je reparti, je reparti dans mon imaginaire, dans mes souvenirs qui finalement ne feront que de conforter dans ma décision... *Snuff*
(NDL : Je ne pensais pas arriver aussi vite à cette partie là de l'histoire. Je vous l'accorde, ce chapitre est très court. Mais bon, il est spécial. Vraiment spécial. Si vous avez fait attention vous saurez avec quelle musique il faut lire ce chapitre. Ah oui et avant que j'oublie, ce genre de chapitre ou plutôt interlude/intermède se feront seulement dans de rare situation/condition.)
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Plus que de la musique, un échappatoire.
AventuraDe nos jours écouter du métal et s'habiller en noir équivaux à être un exclu de la société. Un paria. C'est être montré du doigt et jugé comme un monstre qui écoute des gens hurler dans un micro et qui appellent ça de la musique. Alors qu'en réali...
