Amour ou Amitié?

What?

Je marchais d un pas lent vers ma maison. Je devrais être contente pour Laurinne! Pourtant, dans mon coeur, il n y a avait que désespoir, colère, et tristesse... Mais qu est ce qu il n allait pas chez moi!?

Quand j arrivai enfin chez moi, je partis m enfermer dans ma chambre et ne redescendit que pour dîner. Mes parents me regardaient de travers, sans oser me questionner. J explosa:

-《Mais pourquoi vous me regardez comme sa à la fin!!! 》

Mes parents se regardèrent, et mon père me répondit:

-《Nous sommes juste inquièts. Tu es directement allée dans ta chambre, et tu y es restée jusqu à du dîner. Nous nous faisons du soucis pour toi...Mais j en conviens que nous n aurions pas dû t observer ainsi sans oser demander ce qu il y avait...》

Devant mon air renfronié, ma mère me dit:

-《S'il te plait, dis nous ce qu'il ne va pas..》                                                                                                           -"Je n'ai pas envie d'en parler, laissez moi!"

Et d'un bond, je partis me réfugier dans ma chambre. Je ne voulais voir personne. J'étais bien trop énervée pour voir qui que ce soit. En larmes, je m'assoupis dans mon lit, et avant que je m'en rendes compte, je me suis endormie.

Le lendemain, je ne voulais pas allée en cours. Si j'aurai vu Edouard, ou même Laurinne, je me serai à pleurer à coup sûr. Mes parents ne m'en ont pas obligés. C'est pour ça que j'adorai mes parents, ils comprenaient quand j'avais besoin d'être seule... Toute la journée, je restai dans mon lit, à m'empiffrer de cochoneries en regardant la télé. Je reçus plusieurs appels ou messages de Laurinne, Lise, Kate, ou même d'Edouard. Mais je ne répondis à aucun d'entre eux. Je me sentai coupable de ne pas les rassurer, mais je ne voulais pas qu'ils sachent ce que j'avais. Et je préférai être seule avec mes pensées.

4 jours passèrent. Le soir du 4ème jour, à l'heure du dîner, mes parents essayèrent de me résonner, et de savoir ce qui se passait. Ils finirent par baisser les bras, mais ils n'acceptèrent que un. Il me restait demain et le week-end, puis le lundi, je devrais aller en cours. Malgré mes gémissments, je ne leur en voulait pas. Ils avaient bien voulut que je rate les cours toute une semaine, sans savoir ce qui me prenait!

Vendredi passa très vite. Le samedi après-midi, mes parents étaient partis en course, et pendant ce temps, je regardais Hunger Games en DVD. Tout d'un coup, quelqu'un toqua à la porte. Croyant que c'était le facteur pour un colis de ma mère, j'ouvris la porte. Et je vis Edouard me faire son plus beau sourir...