Nymphomane ou Prostituée

Chapitre 6

De retour des toilette, Younouss-Albert  n’étais plus là, Chris également, Robert nous expliquait que Younouss-Albert  est parti  suit a un appel et Chris quant à lui devait rentrer car il prend un vol dans 3 heures.

Robert et Amanda venant juste de bouger lorsque le taxi qu’ils avaient appelés pour moi arriva. J’allais fermer la porte du taxi, lorsqu’Hugo arriva et me proposait de me déposer. Sans hésiter  je le suivis. En chemin, j’étais presque dormante, Hugo me parlais mais je répondais de la tête. Il alluma une cigarette et m’invita à faire comme lui. Je le signal alors que je ne fume pas.

Hugo : Ce n’est pas à en réalité une cigarette. Ça te fera du bien. Essai!

Fleurie : Ah bon! De la drogue donc !

Hugo : Essai juste un peu et tu verras ça va te détendre.

Je ne sais pas ce qui me prit mais, j’écoutais Hugo et je pris une pincé de cette poudre blanche que je déposais sur ma langue. Je ne saurai décrire le gout, mais je n’en avais pas du tout envie.  Je lui rendis son sachet. Une foi au bas de notre immeuble, je m’approche pour  faire une bise à Hugo et le remercié. Mais au lieu de me donner sa joue, Hugo m’embrassa  et  sans pouvoir nous arrêter ont continua de plus belle.

Hugo : Puis-je monté avec toi ?

Sa question m’a un peu figé. Je le regardais sans dire mot, il me sourit et coupa  le moteur de sa caisse.  Je continuais de le scruter. Il sorti de sa caisse et m’ouvrir la portière. Je me dirigeais vers notre entré, Hugo sur mes pas. Je ne comprenais pas du tout ce qui se passait mais cela ne me dérangeais pas qu’il monte avec moi. Depuis ma première expérience avec Mohamed, j’étais  resté sur ma faim. J’avais beaucoup lut sur la sexualité, je regardais beaucoup les films pornographiques  et je voulais ressentir  toute ses choses que j’ai lues et vues.  J’avais été profondément  déçu de Mohamed, peut-être parce que, j’y avais accordé beaucoup trop d’importance et que j’avais préparé et prit l’initiative de tout. Je n’aimais pas particulièrement Hugo, mais il était  beau et me désirais. Donc pourquoi pas, sans prise de tête, un coup d’un soir. Je le désirais. Et j’étais décidé à coucher avec lui. Dans mes lectures j’ai compris que les coups d’un soir étaient  les meilleurs.

Hugo : Tu m’offre un verre ?

Fleurie : Vas y sert toi, regard sur le barre  je fais un tour au toilette et je te rejoins.

Hugo : Ne te fais pas trop désiré  ma belle.

Dans la salle de bain, je décide de me rafraichir un peu et de me changer.  J’étais complexé. Il  fallait toujours que j’ai les sous-vêtements  parfait. Je n’arrivais pas vraiment  à réfléchir, mais j’étais  sûr d’une chose je voulais  aller plus loin avec Hugo. Y pensé augmenter mon désir e. la couleur blanche de sa peau attisait ma curiosité.

Hugo : Sexy ! Tes sous-vêtements, du rouge. Tu prends un verre avec moi

Fleurie : Contente que cela te plaise. C’est très fort, c du whisky ?

Hugo : Oui je l’ai trouvé ici, c’est moi qui devrait te demandé.

Fleurie : On est arrivé il y’a que quelques jours et je n’ai pas eu le temps de fouiné partout.

Hugo : Fouiné ! Moi j’ai bien envi de fouiné sur  ton si beau corps.

Sans que j’eus le temps de de placée un mot, il s’approcha de moi et déposa délicatement  ses lèvres sur les miens, sans réfléchir  je lui rendis son baisé. Il déposa son verre sur la table, retira le mien  et s’approcha afin de me serre contre lui et m’embrasser. Ma respiration s’accéléra, ses baisés étaient tendre et fougueux. J’adorais ! J’abordais dans son sens et le caressait. C’était un délice, je ne pouvais plus m’arrêter, je sentis alors ses doigts sur ma poitrine et malaxa délicatement  mes seins, qui ne demandais que ça. Ses touchés était à la fois tendre et brusque.

Hugo : Tu aimes! Je continue ?

Sans dire un mot je l’attirais vers moi pour l’inciter à continue. Pourquoi  s’arrêter  en si bon chemin. Il me serra contre lui et dégrafa  mon soutient en me regardant droit dans les yeux. Un regard déstabilisateur qui n’excita d’avantage. Il baissa la tête et commença à sucer mes seins. J’avais juste envie de monté au ciel, c’était bon. Je fermais les yeux et surtout mes lèvres pour retenir mes cris de de plaisir et de désir. Sa langue descendu mon nombril, puis mes hanches. Je me tordais de tous les côtés. Ma culotte était bien trempée. Il me retourna sur le canapé de façon subite et s’enfonça  d’un coup au plus profond de ma chair. Je le senti au plus profond de moi.  Je n’y arrivais plus. Comment retenir autant de cris de plaisir. Lorsqu’une tel sensation vous parcours le corps. J’étais  bien, Je senti mon corps se crispé et se relâché sous les vas et vient d’Hugo qui se faisait de plus en plus fort et rapide. Je venais d’avoir, comme une décharge électrique : un Orgasme. J’avais un large sourire aux lèvres, Hugo posa un baiser sur mon front et joui à son tour  tout en répétant mon nom en boucle. On se laissa retomber sur le canapé. Quelque minute plus tard, Hugo parti à la douche et se vêtit, puis partie juste après m’avoir souhaité bonne nuit.

En reprenant mes esprits, je me dis qu’Hugo est parti assez vite je trouve. Mais je devais rapidement prendre ma douche et rangé avant que Amanda ne rentre. Il était déjà 5h. Robert la déposera avant d’aller au boulot.