Un regard glacé

Chapitre 3

PDV Sara Lance :

Je viens d'appeler l'équipe dans la salle principale. Tout le monde semblent plus réveiller que tout à l'heure. Ils semblent prés à se battre. Mais contre qui ou quoi ? Bonne question.

Mick : Bon, blondi on fait quoi de beau aujourd'hui ?
Sara : On va recherche Rip en 1667 à Madrid, enfin si on le trouve là-bas.
Ray : Je suis déjà aller à Madrid , et c'est fantastique.
Leonard : Petit milliardaire.
Sara : D'accord mais le Madrid d'aujourd'hui ne ressemble pas au Madrid de 1667, Ray. Sinon Gideon quand allons nous à Madrid précisément.
Gideon : Mademoiselle Lance, nous nous dirigeons vers l'Espagne à Madrid le 3 juillet 1667 dans la demeure de la Duchesse et du Duc Salvanicho De Toritina.
Jax : Il est cool leur nom de famille. Je veux le même Martin, comment on fait ?
Martin : On ne fait rien, Jax. Nous ferions mieux de s'attacher pour l'atterrissage.
Ray : Bonne idée.

On pris chacun sa place, on s'attacha et l'atterrissage commerça. L'atterrissage peu être douloureux ou juste chiant. Il peu provoquer des effets secondaires, vomissements, changement de langage, perte de stabilité, évanouissements, et plein d'autres trucs débile. Le vaisseau se place dans le jardin des Salvanicho De Toritina. Je met le vaisseau en mode en visible, me détache puis me retourne vers les autres.

Jax : Eu... Não... Não ! Porque mi. Não !
Ray : Il parle portugais, super.
Sara : C'est pas grave. Bon le plan. Martin et Jax vous serez deux gardes de la demeure. Mick vous, vous surveillez de loin la demeure. Ray, avec ton costume tu surveilles tout les gestes du Duc, peut-être que c'est lui le pirate. Len, toi tu fait comme d'habitude, visite la demeure en essayant de volé le moins possible.
Leonard : J'essaierai.
Sara : Moi je m'occupe de la duchesse.
Jax : Elle va faire comme avec l'infirmière.
Sara : Ta gueule Jax. Allons nous prépare.

Nous avançons tous vers la salle de préparation. Dans cette salle, Gideon nous prépare nos vêtements, nos chaussures, nos coiffures et nos maquillages selon l'époque où nous nous dirigeons. Je met une robe blanche en soie avec un décolleté légèrement plongeant. Mes cheveux sont détachés. Et je n'est que du rouge lèvre rose sur moi. Je regarde tout le monde se prépare dans leur cabine. Le premier qui sort est Leonard, il porte une tenu toute noir de la tête aux pieds, pour plus de discrétion dans la nuit. Moi, je me dirige vers un dès placard et sort une mallette avec des pilules. Se sont des pilules qui nous servent quand nous sommes à l'étranger. On en avale une et nous parlons ainsi de comprenons m'importe quel langue. Bien-sûr ce n'ai pas illimité, elle dure 24h. J'ouvre la mallette, prend en une dans sa poche puis dit :

Sara : Quand vous aurez fini, prenez une pilule et on se voit dans sa salle d'armement.

Leonard un en prend une, puis il me suit vers la salle d'armement. Faudrait-il que j'explique se qu'il c'est passé avec cette infirmière ? C'était dans les années 1900. On était en mission et j'ai fréquenté cette femme. Elle m'a redonnée le goût d'aimé, je pense que c'est pour ça que j'ai embrassée Len et que j'apprécie beaucoup.

PDV Leonard Snart :

Je la suit dans les couloirs, elle est dans ses pensés tout comme moi. Je repense à notre baisé passionné, avant l'explosion. Comment oublier ? D'habitude, ses choses là n'ont pas d'importance pour moi. Mais là, c'est différent. C'est Sara.
Nous entrons dans la salle d'armement. Je prend mon arme, que j'accroche à mon pantalon. Sara, elle met quelques couteaux sous sa robe, ainsi qu'une arme à feu.

Leonard : Tu comptes tuer la duchesse ?
Sara : Non, juste l'amadouer.
Leonard : Tu sais, il y a autres moyens.
Sara : Je n'utiliserai pas le moyen dont tu parles.
Leonard : Pourtant, tu sais si bien le faire.
Sara : Je sais, mais toi se que tu devrais te préoccupé c'est ta mission.
Leonard : Dans laquelle, je visite le plus discrètement la demeure sans rien volé.
Sara : C'est sa. Tu as tout compris même si je sais que tu vas faire le contraire.
Leonard : Tu me connais bien, Capitaine Lance.