[KnB] Quand Une Fleur Blanche Cache Du Noir

Chapitre 22 Équitation

Coucou 😄
Voici un nouveau chapitre 😄
On ce retrouve en bas bonne lecture 😘

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"Bonsoir à tous. Je me présente même si je pense que vous savez tous qui je suis. Lysaki Kokoro, fille du détesté Assu Kokoro, héritière de cette riche famille et de Kokoro compagnie. Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas préparé mon discours. Je viens juste d'être prévenue de ce repas et, je pense pouvoir l'affirmer sans me tromper, ceci est un test que je compte passer avec brio. Mon entreprise, car elle est désormais la mienne, c'est contenter bien trop longtemps de survivre à cause de mon géniteur.

Bien sûr je n'oublie pas ceux qui ont contribué à la garder en vie. Mais aujourd'hui je peux affirmer, et devant témoins,  que je vais reprendre les rênes et redonner à cette compagnie tout le prestige qui lui est du.

Pour cela un partenariat sera sans doute crée avec Akashi industri. Ainsi nos deux entreprises renforceront leurs pouvoirs, déjà grand, au Japon et pourront s'étendre sur les marchés internationaux. Je vous laisse maintenant allez vous assoire. Je crois bien que le dîner va commencer. Merci à tous."

PDV Lys

Ouf fini ! En plus je suis plutôt fière de moi. Je partis m'installer près de Seijūrō  (ma place à table ) et le repas commença. La soirée se passa relativement bien. Je discutais essentiellement de mon entreprise (ça fait vraiment bizarre d'utiliser le possessif) avec mon voisin de gauche. Voisin qui n'était qu'autre que le N-1 /sous chef ;-)/ de Kokoro compagnie. Je discutais aussi un peu avec les Akashi. Sei avait été moins froid que ces derniers jours, et il faut bien dire que c'était agréable. Il m'avait manqué. Vers 1h du matin tous les invités étaient partis et un domestique me montra ma chambre ( j'avais découvert que cette demeure appartenait également au Akashi ).

Le lendemain quand je me réveillais, le soleil filtrait à travers les volets. Mais à ma plus grande surprise il n'était que 8h04. Je décidai d'ouvrir l'armoire. Je n'avais plus que ma robe comme vêtement et ce n'était pas très pratique dans le quotidien. À ma grande surprise je trouvais des habits d'équitation. Serait-ce possible qu'il y ait une écurie ? Un léger hénnissement répondit à ma question. L'envie était trop forte. Je me vetis donc de cette tenue et descendis les escaliers déserts.

Après deux minutes de marche j'arrivai dans l'écurie. Elle était très grande. Il devait bien y avoir une dizaine de chevaux. L'un d'eux attira mon attention. Il avait une robe /la couleur de ses poils/ blanche avec des reflets gris, et la crinière noire ébène. Il était vraiment magnifique. Une plaque sur son box m'appris qu'il s'appelait Amadeus. Bizarre, après tout nous étions au Japon ce n'était pas un nom courant ici. Je m'approchai de lui. D'abord méfiant il s'éloigna, je m'arrêtai. Après quelque minutes dans cette position, le cheval devait avoir estimé que je n'étais pas une menace. Il s'avança vers moi posant son museau sur ma main.
Amadeus semblait vouloir sortir... Personne n'était dans les environs. Je décidai donc d'aller chercher de quoi seller le cheval.

Après 30 minutes de préparation, je sortis tenant les rênes du cheval blancs. À quelques mètres j'aperçus une carrière /le lien où l'on fait habituellement de l'équitation / dans lequel se trouvait des obstacles déjà montés.

PDV Seijūrō

Quand je me réveillai ce matin dans les environs de 9h, je fus surpris pas le bruit que j'étendais. En effet le son des sabots tapant le sol se faisait entendre. Cela était inhabituel. Certe il y avait une écurie mais les palefreniers ne commençaient qu'à 10h et à part moi personne ne montait. Oui je montais. Ma mère m'avait donné goût au basket, comme tout le monde le sait, mais aussi à l'équitation.  Je décidai donc d'aller voir ce qui ce passait et quelle ne fut pas ma surprise en voyant Lysaki sur Amadeus. C'était un très beau cheval, sans aucun doute mon préféré mais, car il y avait un mais, c'était un destrier difficile et capricieux. À tel point que plusieurs fois les palefreniers avaient demandé qu'on l'abatte. Bien sûr je m'y étais opposé. C'était ma mère qui me l'avait offert pour mon huitième anniversaire, si peu de temps avant sa mort...

Revenant au présent je me rendis compte que Lys avait commencé  à sauter.

PDV Lys

J'adorais sauter et il faut dire que ce cheval était parfait. J'adorais cette sensation de liberté, de force et de légèreté que donnait cette discipline. Après plusieurs saut je me rendit compte de la présence de Seijūrō. Un fin sourire étirait ses lèvres. Il me fit un léger signe de tête puis disparut dans l'écurie. Il en ressortit peu de temps après avec une magnifique jument bai /robe marron et crinière noire /.

-Je ne savais pas que tu métrisais ce sport, déclara -t-il.

- Et toi alors ? Je pensais que tu ne faisais que du basket.

Il rigola à ma remarque.

-Je suis absolu en tout, répliqua -t-il un sourire en coin.

C'est ainsi que nous commençâmes à sauter ensemble. Ce n'etait pas vraiment un concour, chacun connaissait ses limites.

Fin PDV

Les deux adolescents offraient un beau spectacle à qui voulait le voir. Soudain un des palefreniers, affolé par la disparition de deux chevaux dans les écuries, se mit à crier tout en sortant en gesticulant de celle-ci. Ne jamais crier, ni gesticuler en présence de chevaux, voici une règle de base.

Malheureusement, malgré son niveau, Lys ne put prédire la peur de sa monture.  Alors qu'ils se préparaient à sauter, Amadeus s'arrêta net et se cabra. Tout ce passa très vite. La jeune fille tomba de son cheval lourdement sur le sol. Le palefrenier, qui hurlait qu'ils auraient dû tuer le canasson blanc plus tôt. Cela effraya encore plus ce dernier qui reculait dangereusement vers sa cavalier et l'assoma d'un coup de sabot. Un homme tira sur le pauvre cheval qui s'effondra près du corps de la jeune fille. Le garçon aux cheveux rouge hurla, descendit de sa jument qu'il avait eu du mal à calmer et se précipita vers la jeune héritière.

PDV Seijūrō

Nonnnnn. Mon esprit avait du mal à fonctionner. La seule chose que je pus faire c'est me précipiter vers elle et la prendre dans mes bras. Je n'avais même pas la force de vérifier si elle était en vie ou non.

-S..Sei

La faible voix de la jeune fille me sortit de mon impuissance.

- Que...que c'est - il passé ? Me questionna -t -elle.

Pour toute réponse elle n'obtient qu'un long baiser qui nous fit perdre notre souffle et toutes conciderations pour le monde alentour. Quand nous fument rassasiés, je l'aidai à se relever. Les deux palefreniers ainsi qu'un grand nombre de domestiques affolés par le bruit nous regardaient bouche bée. 

- Vous êtes virés, fûrent les seuls mots que je prononçai avant de retourner dans le manoir. Lys blotti dans mes bras.

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Alors ? Ce chapitre vous a-t-il plu ?
Normalement ce chapitre était le dernier. Il ne reste plus que l'épilogue que je publierai la semaine prochaine.
Si vous voyez quelque chose qui, pour vous, manque à ma fanfiction n'hésitez pas 😉
Merci de m'avoir lu 😙
A mercredi prochain 😘