Chapitre 1 : l'arrivée

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Salut 😄 J'ai décidé de me lancer dans une fanfiction, c'est ma première alors j'espère que je serais à la hauteur. Je m'excuse dès maintenant de mes fautes d'orthographes, j'ai essayé de faire attention mais je sais qu'il doit en rester beaucoup. N'hésitez pas à commenter cela m'aidera vraiment pour les prochains chapitres 😉 Bonne lecture

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Elle était fière, fière d'être la présidente, la représentante de son école. Et pourtant ça n'avait pas été gagné d'avance. En effet elle avait beau être arrivée première au test organisé par son lycée pour partir en échange au Japon, elle n'en était pas moins la plus jeune. Enfin bon... les autres l'avaient élue presque à l'unanimité. Elle ne voulait pas croire qu'ils l'appréciaient. Non. Elle ne pouvait pas avoir d'ami. C'était interdit...pour leur vie . Ils l'avaient fait seulement parce qu'elle était la seule à avoir déjà pris l'avion et qu'elle maîtrisait plusieurs langues étrangères.

Le car venait de s'arrêter sur le parking de l'aéroport. Elle adorait cette impression de légèreté qu'elle ressentait à chaque fois qu'elle venait ici. Elle y était venu de nombreuses fois... mais c'était avant, ... avant qu'elle .... Qu'il...

Elle fut coupée dans ses réflexions. Tous les autres c'étaient arrêtés devant ce qu'elle appelait l'oiseau. C'était un grand bâtiment avec deux parties qui en s'élevant de chaques cotés semblaient former deux ailes /je parle ici de la gare de l'aéroport Saint Exupéry de Lyon ;-)/.
Ils entrèrent donc dans l'immeuble. Après avoir déposé leurs valises et passé les contrôles de sécurités, ils montèrent dans l'avion.

Deux escales et douze heures de vol plus tard, ils arrivèrent à l'aéroport de Tokyo. Ils récupérèrent leurs valises mais alors que tous allaient sortir, la jeune fille les interpela. Elle savait qu'un représentant d'une de leurs écoles « tutrices » qui les accueillaient serait présent et il était hors de question qu'il les voit dans cet état. Effectivement, après toutes ces heures de transport, ils étaient tous décoiffés et relativement débraillés. La « délégation » ce dirigea donc vers les toilettes pour se refaire une beauté.

PDV ??? /vous le saurez plus tard/

Cela faisait plus de trente minutes que leur avion avait atterri. Le chef d'établissement qui m'accompagnait avait du me « laisser mais je suis sûr que vous vous en sortirez très bien comme toujours d'ailleurs. Je vous fait confiance ». J'étais donc seul dans le hall de l'aéroport ... Non seulement ces français me faisaient perdre mon temps pourtant si précieux mais en plus ils ne prenaient même pas la peine de se dépêcher. Quand enfin ils daigneront sortir ils apprendront qu'il ne faut jamais faire attendre un... À ce moment précis, les portes de l'aéroport laissèrent passer un groupe hétéroclite de lycéens. Aucun doute n'était possible sur le fait qu'ils étaient ceux que j'attendais. À ma grande surprise seul une jeune fille, que je présumais être la plus jeune, me remarqua. Elle s'approcha de moi et s'exprima dans un japonais que je me dois de qualifié d'irréprochable /les paroles en gras sont en japonais/ :

-Bonsoir, désolé de notre retard. Je suppose que vous êtes le représentant du lycée Rakuzan ?

-De toute évidence. Vous êtes vous perdus dans un couloir ? dis-je moqueur.

Elle ne fit pas attention à ma remarque et continua :

-Je m'appelle Lys Heart. Je suis la présidente de la délégation du lycée français. Si vous pouviez rapidement nous ramener dans votre école, le voyage nous a tous fatigué.

Je rêve ou elle vient de me donner un ordre ? Certe un ordre déguisé mais un ordre quand même. Personne, je dis bien personne n'a le droit de me donner des ordres, même pas mes propres parents.

-Serais-tu en train de me donner un ordre ?

-En aucune façon. J'avoue être déçu ... Je pensais que les japonais étaient plus polis. Pouvons- nous connaître ton nom ?

Comment ose-t-elle ?

-Non, je n'ai pas besoin de vous donnez mon nom. Vous m'êtes inférieur.

Je vis dans ses yeux qu'elle allait répliquer quelque chose alors je rajoutai :

-Et je t'ordonne de baisser les yeux.

Fin PDV

Les camarades de la jeune fille voyant qu'elle était en difficulté avec ce représentant se regardèrent anxieux. En effet ils n'avaient pas un niveau excellent en japonaise et n'avaient pas compris toute la conversation, la fatigue n'aidant aucunement. Mais leur présidente semblait vraiment en mauvaise posture alors Louis, le plus âgé du groupe, décida d'intervenir. En effet, contrairement à ce que Lys pensait, ils la concideraient tous comme une petite sœur (à son plus grand malheur ou bonheur ? Bonne question).

-Ne lui parle pas comme ça ! dit-il

-Tu n'as aucun ordre à me donner. Déjà que vous êtes en retard... Je vous interdis de me dire ce que je dois faire.

PDV Lys

OK... c'est bien parti... Louis est gentil d'avoir pris ma défense mais malheureusement ça n'as absolument pas arrangé la situation. Je décidai donc de calmer le jeu :

-Excuse-le. Nous sommes tous fatigués. Je ne vais pas baisser les yeux. Je suis peut-être plus jeune que toi mais je reste ton égale. Maintenant, s'il te plait, accepte de nous donner ton nom et de nous conduire dans ton lycée pour que nous puissions nous reposer. Nous discuterons plus facilement demain.

-Mon égale ? tu ne l'es pas. Tu n'es qu'une moins que rien, une gamine inutile.

Ces... ces mots...

Flash back

-Tu n'es qu'une moins que rien, une gamine inutile. Tu ne nous a jamais apporté que du malheur.

Douleur.

-Tu es une erreur. Tu n'aurais jamais du naître.

Douleur.

-Tu ne mérites même que je te tue de mes propres mains, ce serait une perte de temps supplémentaire. Mais j'aime tellement te voir souffrir pour ce que TU à fais.

Douleur.

-C'est de TA faute.

Douleur.

Puis plus rien, le noir.

PDV ??? /toujours le même mais il n'a toujours pas donné son nom/

Mes paroles avaient eus bien plus d'effet que je ne l'avais présagé. Elle semblait dans ses souvenirs. Souvenirs qui devaient être douloureux car ses traits s'étaient crispés. Des larmes perlaient même à ses yeux. Ses camarades semblaient aussi surprient que moi. En effet elle ne m'avait pas paru être une de ces personnes fragiles qui pleuraient pour un rien. Soudain elle se mit à trembler, puis elle s'évanouit. J'eus juste le temps de la rattraper afin d'éviter que sa tête n'heurte le sol trop violemment. Avais-je fais une erreur en lui disant cela ? Me serais-je trompé sur son compte ? Non ce n'est pas possible moi Seijūrō Akashi ne me trompe jamais. Je suis absolu.

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Alors ça vous a plu ? Au prochain chapitre 😘

[KnB] Quand Une Fleur Blanche Cache Du NoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant