Conversation de foux a folle

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Je traverse toute l'ensemble médical pour arriver à l'asile, je me présentais à l'accueille et demande à voir la personne en question. Un long couloir pleins de miroir dont une présence angoissante, ce chemin me parait interminable et tendit que j'avance la luminosité change et deviens plus sombre, le noirs est la pour nous faire peur mais je ne mis sentie pas opprimé je ferme même les yeux pour avancer calmement, bien-sûr je ne sais pas vous mais moi je ne sais pas marcher les yeux fermés et ça ne loupe pas je me pris le mur, je continue à avancer en entendant des murmure venir de derrière moi.

-"ssss...Tu crois qu'elle nous vois?"

-"ss..sss...Non elle est bien trop naïve! sss..."

Je commence a accélérer le pas, la peur au ventre le couloir qui s'agrandi au fur et à mesure que je marche, un souffle froid dans le dos, des grincements dans le sol et une présence derrière qui me fixe... je ne peux plus bouger par la peur, je suis en plein milieux d'un couloirs noirs avec une autre présence et je reste là tel une andouille! (alors que je suis la première a crier quand la personne reste planté devant le danger) mais je suis tellement tétanisée que je comprend ce que la peur nous fait faire, je repris mon pas doucement, j'ai bien compris qu'on ne voulais pas que je sache ce qui c'est passer mais je suis aller trop loin et tout ces cauchemar sans fin et qui n'en finissent pas. Une main me pris a l'épaule, mon Coeur qui s'arrête et ces murmure qui sont de plus en plus fort, il ce rapproche à en être derrière moi, cette créature va me tuer? je perd la vue et l'ouïe d'un coup, une odeur de cramé viens et me donne l'impression de me brûler, je force ma vu et la main s'agrippe bien plus fort et me tire.

-"Tout vas bien mademoiselle?"

-"Hein...quoi?" ... "Euh oui merci!"

Je suis revenu dans l'asile et même devant la chambre de la personne, je regarde autour de moi mais tout est normal à par ma main qui a des marques de brûlures... Est-ce plus qu'un rêve?

Je frappe à la porte et me présente, la personne avez l'air surpris de voir de la visite.

-"Bonjour!"
Un silence qui s'étend dans la pièce, la personne était assis sur le fauteuil à côté de la fenêtre.
-"Sais-tu pourquoi les oiseaux vole vers l'avant?"
-"Mmhh.... pardon?!"
-"Sais-tu pourquoi les oiseaux vole vers l'avant?"
-" Euh... non?"
-"C'est pourtant simple!"
-"C'est dans leurs natures!" dis-je.
La personne s'arrêta un instant et rigolait à plein poumons.
-"Alors pourquoi !?" cette conversation ne rime à rien...
-"Parce qu'il faut toujours allé de l'avent!"
Quelle jolie phrase, cela ce laisse à la dérive des rêves.

-"Je m'appelle Elisabeth..."
-"Oh oui je sais..."
-"Ha pardon mais qui êtes vous..."
-"Tu ne me connais pas mais moi si!"
De nouveaux un silence est présent moi qui pensé lui déballer toutes mes questions me voilà bien idiote.
-"Et si nous allions dansé ?"
-"Mmmhh... pardon?" Oublions pas que c'est une personne malade.
-"Et bien oui, la nuit est belle ce soir et je n'ai pas encore envie d'embrasser le soleil."
-"Je suis venue parler tu train..." je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase.
-"Vous savais, j'ai danser avec une jeune femme il y a longtemps... elle m'a appris à danser, c'est pat était si léger, je voulais lui ressemblé."
-"L'accident de train, vous y était, je voudrais savoir..."
-"Cette femme si douce qui agissait comme une mère, strict et gentil quelle contraste"
Deux fous qui font chacun leurs conversations... je vais aller loin avec ça moi...
-"JE VOUDRAIS SAVOIR CE QUI CEST PASSER."
-"Tic tac... il est l'heure de rentrée.... Pour les fous de s'en aller..."
-"S'il vous plaît..."

Infirmière:
-"Mademoiselle, les visites sont terminés, je vais vous demander de partir'"
-"Oui une minute, merci."

Il répète cette phrase en boucle depuis qui l'a prononcé, je ne vais rien en tiré...

-"Pour partir..." dit-je.
-"Rien de mieux que de s'enfuir!"..."le train finissait de nous prendre quand les lois on était brisé, l'enfant était né!"
On avance... (ou pas)
-"Il cour, il cour le furet..."
-"Le furet empaillé!"..."il ne devait pas être maudit, alors ils le mires dans l'autre monde en attendant son être bien aimé"
C'est phrase que je connaissais sur le bout des doigts, avec Luce c'était nos codes secret mais aujourd'hui il ne veulent plus rien dire, je me demande comment il les connaît,
-"Le chevalier a failli à sa tâche, pourrait vous lui pardon un jour?"
Il me fixa un moment
-"O..oui"
Il ferme les yeux et s'endort, je décide de le laisser tranquille, avant de sortir je me retourne pour lui dire au revoir mais il n'était plus là et la fenêtre était ouverte, je regarde par la fenêtre, une colombe fessait du sur place, j'ai souris et elle continua son chemin, je devais en faire de même.
Il est déjà très tard Luce doit m'attendre à la maison (vu qu'elle devait rentrée en pleine nuit).
L'infirmière me ramène à l'entrée et je lui dit que la personne avait disparu
-"Mais la chambre n'a jamais été occupé "
Cela vous paraît bizarre...? Plus à moi!

Ce soir pour rentré, je me laisse guidée par mes pats, je n'ai plus peur, je n'ai pas peur.... Si je suis morte de trouille, mais c'est juste calme, doux et apaisent, avant la claque que je vais me prendre par Luce quand je vais rentré, mais je suis bien et la folie n'ai tel pas belle ce soir?

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 24, 2017 ⏰

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Le passage du train Où les histoires vivent. Découvrez maintenant