Le mystère

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Pas un bruit dans cette nuit si douce et silencieuse, les étoiles dansées dans le ciel tel des perles de Crystal, la lune reine mère de cette océan de bonheur. Un village caché de tout, enfouis de pars des arbres et de grande plaine à en perte de vu, seul le train connais le passage de ce monde si mystérieux, en une nuit... une seule, tout ce brisa en mille éclat de diamants. Chaque espoirs des homme fut détruit en cette nuit noir, le Coeur des êtres se noircis d'une haine profonde, une malédiction sabbat alors sur une poignet de personne les plus impures, condamné au sort maudit de l'autre monde, seul un pardon serra accordé à l'espoir que les hommes ont perdu, le passage ce referme sur la rancoeurs des autres. "Cette nuit là, tu seras appelé, que ton Coeur te guide."

Je suis une fille ordinaire, sans aucune autre caractéristique, j'ai de long cheveux blond cendre qui arrive souvent en bas de mes cotes, de fine lèvre, des oreilles (normal comme tout le monde) avec un piercing helix comme bijoux et un petit nez de Barbie (oui j'en suis fière alors que je hais les barbies mais voue une passions à ces poupées de porcelaine si belle et fragile), je n'ai pas de style vestimentaire, je me fond dans ce décore de verre sans reflet.

Je me relève doucement, demain, mercredi je n'ai pas cours, et je ne sais toujours pas ce que je vais faire de cette journée, des courses? Où voir si Luce a des anciens papier concernant le train, peu de monde s'intéresse à ça... mais cela m'occupe les pensées.

Mmmhhh... Non des courses, je n'ai rien au frigo... vraiment!

Mes pensées sont tel un fil feint près à casser sur lequel je suis en équilibre dessus.

Je fini de faire mes devoirs que l'on ma donner en punition, et partie me coucher la tête bien occupé. Depuis ma chambre on peut voir les étoiles dans le ciel, j'ai mes deux endroits préféré, sur le lit avec au dessus ma fenêtre mansardé et de l'autre côté de la chambre une grande fenêtre en arrière avec un rebord pour ce coucher, pratique pour ce laisser à la déviance des rêves.

Pendant la nuit, j'avais laisser mon ordi allumer ainsi que la web-cam pour me prouver que ce n'était que des rêves, j'avais laissé la fenêtre ouverte au dessus de moi pour pouvoir rêvasser, et le sommeil ne ce fit pas attendre, j'étais préparé à ces cauchemars.

Le bruit du train revenus au dessus de ma chambre, je ne pris pas un instant pour me lever et sortir la tête de ma fenêtre...

Ce train arborer le ciel de sa fumé si blanche, qu'il crée l'illusion que c'était lui qui été à l'origine de la naissance des nuages, j'avais comme une impression que j'étais seul dans le ciel, je ne voyais nul autres maisons, effectivement que j'entendais bien le bruits, même pas un mètre nous sépare, les railles ce dessine sous lui tel un gribouillis d'enfant qu'on efface, je tendis la main pour toucher le train (oui je suis folle) et une main venue de nul part m'attrapa et me fit monté par la fin du train, je ne vis personne, juste la porte se fermer devant moi, je suivie vite, et là... plein d'élèves en uniforme, ils ce sont retournés vers moi et un adulte qui avait l'aire d'appartenir au train s'est rapprocher de moi... me regardas de haut en bas...

-"Où est ton passe!? Tu n'est pas encore prête... ton Coeur n'est pas fini... attend qu'il soit pure..."

-"Mais... je... NOn attendait... Hhhaaaaaa!!!"

Il me poussa brutalement, je sortie du wagon et tombas, je voyais le train disparaître, les nuages m'étouffer, je repris enfin mon souffle, un bruit insistent résonna dans ma tête, je me réveilla en sursaut, mon reflex était de regarder par la fenêtre, je suis revenu dans le village, mais sans un nuage, comme si ce train les avait emporté avec lui, ici il n'y à pas un jour sans, voir il pleut tout le temps. Je descend du lit et filaire à la douche. L'eau coule le long de mes cheveux pour venir éclaboussé mes pieds, je sortie et me regarda dans le miroir...

-"Un Coeur pure...? Pas fini...? Et mon passe... quel passe...?"

Mercredi, je décide d'aller faire des courses, j'enfile une petite robe blanche que j'affectionne beaucoup, elle me suit depuis mon enfance, Luce m'en fait une chaque fois que je grandis mais je n'ai jamais beaucoup grandie, je suis plus petite que la moyenne, elle dit que je ressemble à un ange... je suis plus dans l'autre camps.

J'enfile mes baskets et jette un oeil sur mon pc et me rendu compte que la webcam était toujours allumer (bah quoi... vous avez jamais vu de film où ça coupe...?) alors je me penche sur la vidéo... mais c'est plus troublant que mon rêve, on me voit me lever, une fumé m'envelopper puis je me recouche et au bout du lit une grande ombre bien noir profond et parfaitement dessiné, elle ce tourne vers l'ordi puis l'écran ce fige... plus rien..., tout revient à la normale, on me voit juste dormir sans un geste comme morte.

Alors j'éteins tout et partie de la maison, toute ces personnes avec un masque sur le visage qui sourit pour faire plaisir mais ce fiche de toi, dans ce monde où je suis prise au piège qui en viens à me tuer. Il n'y a pas de super marché, chaque stand s'occupe d'une partie des produits de consommation, il me fixe tous avec leurs airs de bon bourges mal fumer, je me suis fait une mauvaise réputation, un peut de sortie de prison (même pas exagérer), il me tolère que parce que Luce est la personne la plus aimer et admiré au village, elle a juste un point noir... MOI! Je veux être à la hauteur mais je ne suis pas un pantin, mes fil se sont briser il y a longtemps, quand j'avais encore un sourire... un vrai!

April me vit de sa fenêtre et venu me voir.

-"Hey! ça va? tu as mauvaise mine!"

Merci ça fait plaisir... j'en avais besoins...

-"Bof... merci...!" d'un tond aimable bien sûr.

-"Pardon, je voulais pas dire comme ça mais c'est vrai."

J'aime cette honnêteté avec fois et âmes, elle a su me le dire directement et sans détoure sans non plus être comme une attaque, elle a cette douceur, cette force avec une patience et déterminer... Quand est-ce que j'ai perdu ça moi...?

-"Ne t'inquiète pas... ça va merci, juste une nuit mouvementer et toi?"

-"Moi oui je vais tout le temps bien!"

-"Connasse!" (avec douceur)

-"C'est la première fois que tu es un peu plus libre de parler."

Elle n'a pas tort, je m'empêche de parler et de lier une amitiés car ça ne m'attire pas!

-"Oui je sais, juste je doit être perturber."

-"T'inquiète, je suis la pour parler ou que tu te défoule."

(Je crois qu'elle m'en veut pour la première fois.)

-"Merci, je n'ai pas l'habitude d'avoir de l'attention... enfin de façon agréable."

Nous rentrons chez moi ensemble après avoir bien parler et fini les achats. je la remercie de m'avoir tenu compagnie et elle repartie avec le sourire, c'est vrai que je suis peu sociable, en plus de ma vision les gens me mette à par...^

Je range vite les affaires et sortie de nouveau prendre l'air seul, car April voit des amis à elle, mes pas mon guidée à la gare, je pouvais voir tout de là haut, c'est magnifique, comme survoler le ciel, j'ai même du me laisser tomber sur les bancs tellement cela m'avait emporter. Quelque mètres plus loin dans la montagne on vois le train où il est défendu de s'approcher, bien sur je ne vais pas le respecter, je monte à bord du train part derrière, tout était presque défoncer et brûler, je fermis les yeux est entendis le son du train, j'avançai jusqu'au bout mais la porte était fermé et me bloquer, j'ai du donc faire demi-tour et descendre du train, je penchai la tête pour voir le reste du devant, on aurait dit juste qu'il était rentré dedans sans le percuter, par la fenêtre je vis la porte entre ouvert alors j'y suis retourner et sur une place, je trouvai une enveloppe avec mon nom, une lettre et quelque chose de lourd dedans.

Je rentra vite chez moi pour la lire et voir ce qu'il y avait à l'intérieur!

Le passage du train Où les histoires vivent. Découvrez maintenant