Chapitre III : Mais où sommes nous ?

107 15 18
                                    

       
  Le coup de feu à plasmas atteint sa cible, et en plein dans le mille, dans la tête du mage ! L'adorable monstre se volatilise instantanément sous la forme d'un nuage bleu se dispersant dans l'air. Eh oui ! Dans notre monde seule les monstres connaîssent ce sort. Un autre derrière moi me fonce dessus tête baissée, je me retourne et plante machinalement mon sabre dans le coeur du gobelin. Toujours dans l'action,Ioana prend de l'élan et virevousse sur elle-même avec grâce, tout en tirant en rafale sur les mignonnes petites jambes de ces créatures trognons qui l'encerclées. Ils tombent tous consécutivement sur eux-mêmes, à la suite des tirs de l'élite. Par mégarde Ioana est touchée dans le dos, par un sort de flamme ! Il doit avoir un deuxième mage aux alentours. Je le cherche autour de moi, et je le vis en haut d'un arbre. Sans réfléchir, je lance mon arme avec précision vers le bonhomme bleu perché au-dessus de moi, et la lame lui tranche la gorge, le sorcier s'évapore. Le combat s'achève à présent. Ioana se relève toute ébouriffé.

- Ben, j'avais bien raison de prendre mon armure. Il est un peu abîmé, mais il peut encore encaisser.

- Que sa fait du bien de se battre et d’enfin mettre nos compétences de combat en oeuvre sur un vrai terrain.

-Ooooh ouiii !!! J'aimerai tellement le revivre encore.

-J'acquiesce d'un large sourire. Bon continuant notre chemin. Il sera imprudent de rester une seconde de plus ici.

Je collecte mon butin, du Boows*, lâchés par les monstres bleus. Le Boows est une matière assez spéciale échappée par les monstres qui disparaissent, les Boows sont utilisé comme argent 😁. Je grimpe à un arbre Touut Doux pour apercevoir notre position et je constate qu'on se trouve sur la moitié d'une montagne qui mets un peu familière. Ioana et moi la descendit avec prudence, d'autres gobelins se logent dans cette forêt, mais ils ne nous attaquent pas, car simplement ils n'osent pas se rapprocher de nous par peur de perdre la vie. Après 2 heures de galères, nous arrivons enfin au pied du mont. Et... de notre point de vue, on pouvait voir un petit village au loin.

- Allez ne baissons pas les bras, encore une demi-heure de marche et c'est bon nous serons arrivés. Dit elle Ioana, toujours prête à partir plus loin.

Je me dis souvent que, quelle chance d'avoir une fille courageuse et téméraire qui t'accompagne. De ce fait, je ne regrette pas que Cynthia ne soit pas venu avec nous, Ioana avez raison, elle sera sans doute devenu un Hachi parmantier. Vu son talent d'avoir toujours peur de tout. On serait déjà mort à l'heure qui l'est. Une fois arrivés après cette longue marche, nous rentrons dans ce village inanimé, ne comportant que d'une quinzaine de bâtiments nous longeons les bâtiments une par une et on aperçoit un écriteau en bois planté dans le bâtiment en pierre représentant un bouclier et deux épées croisés. Il est assez facile de reconnaître le symbole de l'armurerie. Ioana veut de suite rentrer dans cette boutique d'armes. Elle a un gigantesque trou dans le dos, c'est compréhensible de vouloir s'acheter de nouveaux équipements. Nous ouvrons la porte très difficile accès et compliqué à ouvrir, provoquant un bruit strident entre le sol et la porte. L'éclairage est vraiment médiocre. Seulement deux misérables torches éclairent la pièce. Normale qu'on trouve ça pathétique, Ioana , moi et je pense toutes les autres personnes de mon époque penserons sûrement ça trop rudimentaire. Car nous ! nous connaissons, l'Ampoule ! Au fond de la pièce, un vieil homme barbu bullant, assit tapissé dans l'ombre, sur sa chaise en bois de chêne, derrière son comptoir, attendant un client depuis plusieurs jours. Pendant ce moment, nous visitons discrètement ses cuirasses et ses armes faites pour tout les goûts et pour toutes les tailles. Et Ioana en aperçu une qui l'excite comme une puce, et gueule comme une vache " Je la veux ! Celle-ci est parfaite ". L'écho se fait résonner dans le magasin, et ainsi a réveillé le marchand. Elle désigne un haubert féminin en le pointant du doigt. Le vendeur s'écrit soudainement à nous, les nouveaux acheteurs :

The Time TriggerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant