3.

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Elle.

Mes parents s'inquiétait de plus en plus pour moi, mon état se dégradait de jour en jour, je ne faisais que broyais du noir.

Mes cernes se faisaient très voyante sur mon visage pâle, mes yeux étaient rougis par mes larmes et mes ongles étaient totalement déchiquetés.

Il m'avait appelé pour me dire que tout allait bien, qu'il voulait juste prendre une petite pause le temps d'un moment, j'étais assez soulagée de savoir qu'il n'avait rien.

Mais il ne me calculait pas plus que ça, il restait avec ses potes, devant la porte des halls, à parlait de tout et de rien.

Le soir, quand je l'appelait pour lui raconter mes journées, il me répondait seulement par des "hum" ou des "ah ouais chaud", nos discussions se coupaient souvent par la même phrase, "à toute à l'heure" et puis "i love you".

Il essayait seulement de passer le temps avec moi, et ça je l'avais compris, mais je voulais qu'il continu à me dire "je t'aime" et qu'il me prenne dans ses bras.

Je ne demandais rien de lui, seulement de l'affection, des mots doux, et sa présence.

À la maison, ça devenait froid, mes parents se disputaient souvent, mon père revenait souvent bourré et il nous insultait presque tout le temps.

Le beau temps était passé et l'orage faisait son entrée, je devenais spectacle de mon propre cauchemar, personne sur qui m'epaulé, aucune épaule sur la quel pleurée.

Mia avait tracé une croix sur notre amitié, elle traînait avec de nouvelle personne, et elle me laissait seule, derrière elle, sous prétexte qu'elle ne voulait pas qu'on lui fasse une mauvaise réputation et que ces parents préfère qu'elle ne traîne pas avec moi, elle n'avait pas son mot à dire.

Aujourd'hui, je devais rejoindre yūnes dans le parc où l'on s'est rencontré, je m'étais vêtu de mon bomber bleu et d'un Jean boyfriend.
Je me négligée totalement, mais je n'avais pas le temps d'avoir l'air potable, je voulais juste le voir.

Je suis sortie de chez moi et j'ai pris l'ascenseur.
Dans l'ascenseur, il y avait Misa, une angolaise qui habitait le dernier étage.

Elle me toiser du regard, et elle a bloqué l'ascenseur.

- Alors ça fait la kehba ?
- [...]
- tu répond pas ? T'as pas honte ?
- [...]
- Faudrait que tes parents soit au courant non ?
-[...]
- c'est bien ce que je pensais, toute façon c'est entre allah et toi.

Elle a débloquer l'ascenseur et ont est sortis en même temps.
J'étais blessé, mes larmes menaçaient de coulaient, mais j'ai respirer un bon coup et je sortie à mon tour du hall.

J'me suis dirigée vers le parc quand on m'a bousculé, j'ai tourné le regarde vers la personne et Mia se tenait debout face à moi, un sourire coller au lèvre.

- alors, comment ça va ? Me demanda surnoisement Mia.
- hum, bien et toi ?
- ouais, comme d'habitude, tu sais toi hein ?
- oui, enfin je crois.
- aller, passe une bonne journée, fait toi bien troué.

Je l'ai regardée sans même réagir à ses mots, qui étaient bien sûr blessant, et je suis repartie vers le parc.

Je suis passée au dessus du grillage et j'ai traversée les buissons.
Il était là, assit sur une des roche, teh à la main, il regarder un point vide, il était beau yūnes, c'était la plus belle créature que j'avais vue de mon existence.

Il a craché la fumé et il a tourné le regard vers moi, il a fait un petit sourire, ses fossettes sortaient et j'ai souris à mon tour.

Je me suis approchée de lui, je l'ai serrée dans mes bras et je lui ai fait un petit bisou sur le nez.

- comment tu vas yū ?
- bien et toi ?
- ça peut aller.

Il m'a sourit et ont est montés sur les balançoires, -introspection- de N.O.S passait dans son téléphone, ont chantaient à voix unis, ont rigolaient.
C'était les meilleurs moment que je passais auprès de lui, ça me permettait d'oublier les problèmes qu'il y avait chez moi, les insultes de mon ancienne amie et des habitants de ma cité.

Ont est descendus des balançoires et ont marchés dans le parc vide, je passais mes doigts sur le grillage, je fredonnais les paroles des musiques qui passait dans mon téléphone.

Yūnes me suivait en rigolant, il me caressait parfois mon ventre, car mon haut remonter, à ce moment, le jeune délinquant faisait place à mon réelle amour, celui que j'ai aimais comme au premier jour.

AMNÉSIE [I]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant