4.

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Elle.

Je venais de rentrer de ma sortie avec Yūnes, j'ai posée mon sac dans le salon, sourire au visage.
J'avais passée une excellente après-midi au près de mon homme.

J'ai traversée le salon et j'ai aperçu mon père assit sur le fauteuil, ses yeux étaient rouge sang, son poing était blessé, et il tenait une bouteille d'hennessy à la main gauche.

Je me suis approchée de lui pour lui enlever la bouteille, sauf qu'il n'était pas de cet avis, il a dégagé ma main d'un seul coup, et il a évité mon regard.

- papa, heishek, laisse moi au moins te soignée ta main.
- me touche pas bent El hram.
- papa, s'il te plaît.
- dégage de là, je veut pas te voir.
- laisse moi seulement soigner ta main.
- PART.

j'ai sursauter et j'ai posée ma main sur ma poitrine, j'ai décidée de ne pas l'écouter et j'ai pris la trousse de premier secours dans la salle de bain.

Je l'ai pris et je suis repartie dans le salon, il était toujours assit au même endroit.
J'ai prit la compresse, je l'es mouillé avec le désinfectant et j'ai tamponnée la compresse sur son poing.

A première vue, il ne réagissais pas, alors j'ai continuer, jusqu'à ce qu'il me tord le poignet et qu'il me tire vers ma chambre.

Je ne criais pas, aucun son ne sortais de ma bouche, je ne voulais pas alerter les voisins et je me suis tue.

Il m'a jeté sur le lit et il est reparti, je ne comprenais pas son comportement, je n'avais pourtant rien fais de mal jusqu'à présent.

Je me suis assise sur le bord de mon lit, et j'ai commencé à réfléchir, à penser, et je me suis mise à pleurer.

Depuis le début je gardais mes larmes au plus profond de moi, et j'essayais de sourire tout les jours malgré les obstacles.
Mais à force de tout gardée en moi, je vais finir par craquer, et j'ai peur de plus pouvoir tenir.

Lui.

J'étais à la maison avec mes parents, et ma petite soeur.
Ont avaient finit de dîné et ont s'est dirigés vers le salon.

Mes parents se sont assit face à moi et ma soeur, et ils se regardaient à chaque fois, ils étaient stressés, ils commençaient à me faire flipper.

- yūnes, on doit te parler de quelque chose moi et ton père. Dit ma mère.
- quoi ?
- il paraît que t'as fait une connerie durant notre absence.

Je flippais, je repenser au braquage que j'avais commis, je croyais que l'histoire était morte et enterré.

J'essayais de camoufler mon stress et de respirer moi fort, je voulais paraître zen, je ne voulais pas avoir l'air coupable.

- lina, ma chérie, part dans ta chambre.

Ma petite soeur est partie du salon et je me suis retrouvé seul devant mes parents.

- yūnes, il paraît que tu a fait des choses avec une fille, c'est vrai ? Me demanda mon père.

Intérieurement, je souffler de soulagement, le braquage était réellement oublier, mais maintenant j'avais un autre soucis sur le dos.

Je ne savais pas si il fallait assumer ou nier, c'était quelque chose de tabou la forniquation chez nous, j'avais alors peur de leurs réactions.

Même si j'ai seize ans, mes parents étaient et seront toujours sur mon dos, j'leur en veut pas bien sûr.

Face à ce lourd silence, mon père a levé les yeux au ciel et ma mère a passé ses deux mains sur son visage, je l'est avais déçu, et j'étais pas fière de moi, mais ce qui ai fait, ai fait.

Mon père a enlevé sa ceinture et il m'a fouetter, j'avais envie de crier "j'suis pas la kehkehkeh de mojito" mais c'était sûrement le mauvais moment pour dire une connerie de se genre.

AMNÉSIE [I]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant