Un Démon au Paradis

Chapitre 2

En me réveillant, j'étais allonger par terre, une douleur atroce au crâne, je grogna. Après dix minute, je me décida enfin à me lever. J'étais dans une cage mais aucune chaîne ne m'entraver. Rien qu'a l'odeur je devina que j'étais (beurk) au Paradis. Ça sentais les fleurs et la joie à plein nez. Je me leva en gémissant, dans un endroits de pareille bonté, mes pouvoirs était considérablement affaiblie. J'entendis une grande porte s'ouvrir et une dizaine d'anges entrèrent. Que des gardes, facilement reconnaissable à leur tenu. Puis deux autre anges entrèrent a leur tour. Une jeune fille qui avait l'air devoir 15 ans, mais qui devais être plus agé, et un homme avec une barbe blanche et des cheveux bien couper. Vu leur ressemblance je dirais que c'est sont père.

- Ouuu! Mais que d'amour que voilà! Ne pus-je m'empêcher de dire devant son regard remplis de haine.

La jeune fille n'avais absolument rien de spécial. Blonde au yeux bleu, comme la plupart des anges. Elle portais un corset, pas trop serrer et une robe d'un blanc immaculer, comme ses ailes et une couronne de fleur blanche poser sur ses cheveux.

- Mais qu'elle jolie demoiselle! Tu es venu jouer avec moi? Grognais-je.

Elle secoua la tête morte de peur. Je lui montra mes dent et elle fit un pas en arrière.

- Vois ma fille, regarde le beau spécimen que mes gardes on attraper, pourris jusqu'à la moelle. Je veux que tu l'observe et que tu remplisse se livre. Il lui dit tout ça en lui tendant un livre vierge.

Elle hocha la tête avec soumission. Je leva les yeux au ciel. Ah les anges! Surtout les femelles! Je ne supportais pas les femmes soumises qui se laissais faire, moi qui était habituer à lutter pour avoir se que je voulais.

L'homme me lança un regard noir avant de sortir avec les gardes et de la laisser seule avec moi.

Je souris. Qu'elle idiot c'est anges! Je m'approcha des barreau et m'accouda sur le barreau horizontale, croisant mes doigts je la regarda en silence aller s'assoir sur un banc et commencer écrire dans son livre avec une plume.

Après quelque minute, elle ramena ses jambes face à elle pour pouvoir poser son livre dessus. Me lançant des regard furtifs de temps à autre elle poursuivi son ouvrage pendant des heures. Moi je resta immobile, me demandant se qu'elle pouvais bien écrire.

Lorsqu'il fit trop sombre dans la pièce pour pouvoir écrire, elle s'en alla, me lançant un dernier regard.

J'alla donc m'assoir dans un coin de ma cage, attendant l'aube avec ennui. Les démons ne dorment pas beaucoup.