Chapitre 20 [] 2/2

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Mot de l'auteure : Putain de dernier chapitre de merde, je te déteste parce que je pleure.

That's All.

CHAPITRE N°20 (et dernier chapitre)

Arrêter de respirer

«La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin.» André Malraux

Venge-toi, lui dit-il. Il ne t'aime pas et pourtant il veut te baiser. Laisse-moi...

Tais-toi, enfin.

Hé, dit Ash, il veut te baiser. Comme ton père. Laisse-moi le baiser pour qu'il voit ce que ça fait...

Arrête !

Niall entendait le mot "baiser" tourner comme une chanson en boucle dans son esprit.

Baiser... Baiser... Baiser... Baiser...

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Il regarda sa proie dans les yeux. Tellement appétissante...

- Et bien, puisqu'il ne nous reste qu'une journée, dit-il.

Il le saisit par les jambes et l'amena jusqu'à la chambre.

Une fois arrivés, il le renversa sur le lit, enleva son T-Shirt qu'il déchira en morceaux.

Il en prit deux morceaux de tissus et s'empara des poignets du métisse et les attacha aux barreaux.

- Hé, hé, s'inquiéta Zayn, qu'est-ce que tu fais ?

Il lui jeta un regard lubrique. Il allait bien s'amuser...

- Et bien, tu voulais du sexe, non ? Tu vas en avoir. À toi d'en assumer les conséquences.

/!\/!\/!\

Zayn se retrouva donc attaché au lit.

Mais il ne s'arrêta pas là et lui banda les yeux.

- S'il te plaît, arrête-ça, dit le métisse.

- Tu as voulu jouer, dit-il . C'est ce qu'on fait.

Il commença à le déshabiller, admirant son corps qui n'était rien que pour lui...

- Oh, fit-il, oh mon Dieu...

Il lécha la moindre partie de son corps : il partit de sa bouche, continua dans son cou, remonta brièvement pour cajoler son lobe d'oreille...

- Tu peux m'appeller Ash aussi, fit-il.

- Ash ?

- Hum, hum, fit l'autre.

- Ok...

- Arrête de penser, lui susurra-t-il. Ce que je fais n'est-il pas agréable, demanda-il en accompagnant ses paroles d'un mouvement du poignet.

- S, dit-il, si bien sûr mais...

- Dans ce cas, chut...

Ash le fit taire d'un coup de langue sur son membre. Puis il mordilla la preuve de son désir car l'autre retenait ses gémissements.

- Crie, dit-il en passant ses dents une nouvelle, pour moi.

- Ouiii...

- Exactement, comme ça, c'est parfait. Allez, recommence.

- Est-ce que tu te rends compte à quel point tu es délicieux, reprit-il.

- Tu... Tu parles beaucoup...

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