Chapitre 5: Un entraînement à Tokyo

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Ohayo ! Nous voilà pour le cinquième chapitre ! J'espère qu'il vous plaira ! Sur ce bonne lecture.

Le lendemain, je me réveille ,de bon matin, en m'étirant et regarde le matelas à côté de moi. Il est trop mignon quand il dort...J'ai pas envie de le réveiller mais il va falloir le faire !, pensais-je. Je sors lentement de mon lit et me dirige vers la fenêtre. J'ouvre le store, laissant la lumière envahir la pièce :

« -Allez ! Debout ! monsieur je veux devenir le numéro 1 ! lui criais-je

-Mais...Laisse moi dormir ! Dit-il en se remettant sous la couette

-Si tu finies ton rattrapage en avance, tu pourras voir jouer des vraies pro ! Négociais-je

-Hein ?! Sérieux ?! Il quitte son lit en un saut et me regarde, attendant une confirmation

-Oui ! Mais pour cela faut que tu ailles remonter ta moyenne ! Expliquais-je »

Hinata s'enfuit de ma chambre pour aller se préparer dans la salle de bain. Pendant ce temps, je descends les escaliers pour m'assoir sur une chaise puis manger. Ensuite, je dépose mon bol dans l'évier et pars choisir mes vêtements. Je retourne dans ma chambre et sors de mon armoire, une tenue de sport d'été. Je mets mes habits sur mon bras droit et toque à la porte de la salle de bain :

« -Tu as finies ? Demandais-je

-Non ! Attends juste deux secondes ! Se précipite-il

-D'accord....Un....deux...j'ouvre ! Prévenais-je

Au même moment, Shoyo ouvre la porte qui vient se claquer sur mon visage dans un grand fracas

-Chizu ?! Daijobu ? (ça va?) s'inquiète Shô

-Aïe ! Ça fait plus mal que les services de Panthère ! Me plaignais-je

-Panthère ? Se questionne-t-il

-Qu'est-ce que tu attends ?! Vas immédiatement finir de te préparer ou tu vas être en retard ! Le sermonnais-je

-Aye Kasa ! (oui maman !) crie-t-il en allant manger son petit déjeuner

-Et je ne suis pas ta mère !! rectifiais-je »

Je ramasse ma tenue éparpiller sur le sol, et entre dans la salle d'eau. Je referme la porte derrière moi et je me change. Après m'être habiller, j'attache mes cheveux en une queue de cheval haute. Je sors de la salle de bain, je vais dans ma pièce de repos et prends mon sac d'entraînement. Je rejoins Hinata qui mange rapidement. Je pose mon sac à l'entrée et m'assois sur une chaise à côté de lui. Il se lève la bouche pleine, prend ses couverts, les dépose dans l'évier. Le centrale de Karasuno avale les nutriments qu'il a dans la bouche et me fais une brève salutation avant de partir. J'attrape un post-it et marque sur celui-ci que je pars à mon entraînement et que Hinata est lui aussi partit. J'accroche la feuille sur le réfrigérateur, je me chausse et je passe mon sac à dos sur une épaule. J'ouvre la porte et je m'éloigne de la maison, une mélodie hantant mon esprit. Sur le chemin, je reçois une notification de la part d'une immense grenouille.

De : Froggy-chan

à: Moi

Yo l'oiseau de feu ! Je te préviens Hebi (Vipère) sera pas là tout de suite, évite de faire la remarque ou Panthère va s'énerver....comme toujours

Je soupire et tape une réponse.

De : Moi

à: Froggy-chan

OK ! Mais de toute façon elle me criera dessus alors ça change pas grand chose....

je range mon téléphone dans ma veste et m'aperçois que la gare n'est plus très loin. J'ai la mauvaise impression que quelqu'un me suis et ça me plaît pas du tout, je presse le pas voir même jusqu'à courir à ma station. Arriver à destination, je prends mon billet et grimpe dans le train. Je m'assois sur un siège libre et lance sur mon téléphone une musique au hasard. Le flot de musique entrant dans mon appareil auditif me détends. Quelques minutes après être monter dans la wagon, le conducteur annonce le départ. J'observe un peu les personnes se trouvant dans le train et remarque deux garçons, qui, étrangement, me disent quelques chose. Je décide de ne pas m'attarder la dessus et de regarder la fenêtre, beaucoup plus jolie. Dans le reflet de la vitre, je peux distinguer l'un des deux adolescent me guetter de temps à autres. Son ami a surement du percevoir que je les voyais et donne une tape derrière la tête à son acolyte. Ce simple geste me donne le déclique et la colère saisit la manette qui contrôle mon corps pour me faire réagir. Je me lève brusquement toujours mon regard plonger vers la fenêtre, j'arrête précipitamment ma musique et me plante devant les deux lycéens. Pour ne pas porter de faux jugement, j'ordonne à ma main de faire un signe que les passeurs de volley peuvent reconnaître. Comme je l'espérais, l'un des deux est réactif en y répondant.

Le Phoenix prend son envol pour KarasunoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant