Famille, famille, une famille où il y à des cris
Je n'en peux plus, je suis fatigué, j'ai tellement envie de hurler à mon tour
Mais je n'ai pas le choix de supporter ça!
Je me sent enfermée dans la douleur de mon carcan,
Je commence à me fondre dans une sensation de plus en plus faible et à me briser
Papa, papa, papa, arrête ça! Je n'en peux plus, je suis juste fatigué de tes cris!
Cette justice est obscure nous le savons tous! Tu n'y peux rien!
Peu importe ce que je fais, ce que je dis je suis coincée
Je me sent craquée doucement, une hiérarchie destructrice!
Pire qu'une hiérarchie destructrice!
"Regardes ce qu'il font! Les tués, c'est tout ce qu'ils méritent" Hurles-tu encore
Hé! C'est eux qui te tuent à petit feu, nous ne pouvons rien contre cette justice immoral!
Crime et châtiment s'associent doucement dans ta tête
Tu ne peux pas changer le monde, ce monde instable c'est toi même qui me le répétait!
Tu sais qu'il ne te restera que tes yeux pour pleurer!
Ces cris que je déteste, ne font que s'amplifié jours après jours
Courriers par courriers qui s'accumulent et te rend fou
L'impulsion dans ton cerveau t'indiques qu'il n'y a pas de considération à avoir envers eux
Politique trempée par le mensonges
C'est ça qui te rends fou, je le comprends mais cesse de hurler, je n'en peux plus!
Tu nous as fais la promesse de veillez sur nous!
Mais pris dans cette folie passagère tu n'écoutes plus personne
Et de t'avoir vue ainsi, je me sent brisée
Haïr, je haïe ces humains qui te rendent fou jours après jours
Je ne peux lutter contre eux, et toi non plus
Pourtant tu en as décider autrement...
Et alors que tout le monde dors, tu t'empares de ta "justice"
Tu as fais ton choix, charmée par cette force tourbillonnante
Réveillée, je n'ai rien osée dire, de peur d'entendre de nouveau tes cris
Mais c'est maman qui s'est levée et ta retenu
"Hé... m'aimes-tu ?" Je l'ai vue pleurer
"Tu ne peux pas faire ça! Nous le paieront à prix fort!"
A travers l'entrouverture de la porte je t'ai vue déposer ta "justice" et l'enlacer
" Crois-tu que je deviens fou?! Mais je ne peux pas rester là à rien faire!"
A ce moment j'ai vue que tes désirs et tes sentiments avaient disparu
L'état étourdi de mon cerveau m'indiquais qu'il n'avait aucune intention de faire cela
Et pourtant...
Tu as réaliser trop tard que ce monde était remplie de pourris
Ton futur disparaît à travers les barreaux derrières lesquels ont t'enfermes
Mais alors que tu t'effondres, je te regardes, les larmes aux yeux
"C'est le début, seulement le début des ennuies, jamais ce monde ne changeras...
Malgré tes efforts, les gens sont tous des pourris, près à te planter un couteau dans le dos malgré l'aide que tu veulent leurs apporter."
Tout de toi, tout de toi a disparu
Mais je sais que tu ne seras pas le dernier à vouloir ouvrir les yeux aux "pourries"
