{PARTIE~16}

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~PVD Oumy~

À mon arrivé je fis direct affecté dans un hôpital , au Sénégal la plus part quand t'as des diplômes de l'extérieur tu ne galères pas trop à trouver un boulot surtout côté médecine.

Aujourd'hui j'avais pas d'opération prévu je soulageais de oufff déjà que mon prédécesseur est parti avant hier en voyage j'ai vraiment pas envie d'en faire cette semaine.
Malheureusement pour moi, mon bonheur ne dura que quelques heures, l'infirmière de notre salle vient de mettre au courant qu'un cas de Mr Samb est présent.
Pas de choix je la suivit me conduire à la salle du malade.

Myyyy Heart j'ai l'impression qu'il a arrêté de battre. N'est-ce pas qu'il a arrêté? Oubien posez votre main vous allez voir, ça bat plus an OK donc je parle dans le monde des morts aïe aie j'y crois pas suis morteeeeee.

_GARS À TOI SI TU T'APPROCHE D'UN PAS rugit Lamine.

Cette phrase me donne la preuve que j'étais belle et bien vivante et que c'est pas un cauchemar mais la réalité.
Je ne répondit pas et me contente de les fixer à tour de rôle j'y croyais toujours pas à mes yeux.Ma mère se leva direct de sa chaise suivit de maman Codou.

_j'y crois pas la revenante fis maman qui me dévisager du regard.

_mais qu'est-ce qui se passe Mr je vous ai simplement ramené la nouvelle doctoresse en churigie qui remplace Docteur Samb? Demanda l'infirmière à Lamine perturbé par cette scène de théâtre.

_QUOIIII c'est CETTE OUMY QUI VAAA OPÉRER NOTRE PÈRE fis Bass avec ironie.

_qui allait mais plus maintenant rectifiais -je avant de tourner mes talons.

J'en pouvais plus de supporter ces injures, je sentais mes larmes montés à une vitesse où j'avais besoin de déguerpir les lieux, je voulais que mon Chrich près de moi en ce moment.
J'entra dans mon bureau et le ferma à double tour.
Je finis pas évacuer toutes mes peines par des pleurs, moi qui rêvais de les revoir un jour avec le sourire aux lèvres, des calins de ma mère, voir mes frères me demander pardon pour leur manque de confiance. Mais rien ne fis tout s'est éclaboussé, c'était que de la fiction dans ma tête de barbie.

J'essayais de prendre sur moi ce coût inattendu pour continuer mon travail, j'avais des patients à consulter dans la salle d'attente.
Je verse de l'eau sur ma figure puis l'éponge avant d'ouvrir ma porte et appelais le suivant.

•••••••••••••

_olalaaalaa maman t'en fais pas tu nous as à tes côtés et on t'aime bien fis Angel
_oui c'est vrai on t'aime beaucoup beaucoup beaucoup renchérit Anna en se collant à moi.

C'est vrai , elles sont là et m'aiment beaucoup mais elles ne comprennent pas le fait d'être détester par sa propre famille et principalement sa mère. Certains diront que je l'ai voulu car j'ai menti à mon sujet mais moi je le vois autrement, ils n'avaient pas le droit de me poser ses genres de questions alors qu'ils m'ont vu grandir sous leurs ombres , à leur portée c'est inacceptable de ma part.
C'est comme s'ils n'ont jamais eu confiance en moi depuis ma naissance .

La détente des filles fut gâché par le petit Idrissa, no mais je me demande si son père était comme ça à son enfance, des cris plus que je ne sais quoi, je supporte mais quant même. En plus ce qui me fait mal c'est quand il n'a ni faim, ni fais pipi, ni envi de dormir sa gâte totalement mes nuits.

Joseph déjà qu'il n'est pas encore habitué à son travail me tape ses crises à la venue du petit dans la chambre. Je le comprends certe mais suis pas mince pour dormir dans son berceau . La taille de mes hanches fait polémique depuis mes 15ans c'est pas aujourd'hui que je vais maigrir, je diminu pourtant ma poitrine et mon ventre mais jamais mes fesses, j'y peux rien c'est naturel, ma mère a la forme de Coca-Cola donc je n'ai fait qu'hériter pas plus ni moins.

"Moi Aïda L'épouse À 2 Fréres " Une Autre FinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant