{PARTIE~19}

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Elle prit ses clés laissa Nitcha avec Mouna la nounou sans se soucier de monsieur qui s'inquiétera sûrement de son absence. Elle actionna sa bolide et pris de vitesse la route qui menait à son mystérieux rendez-vous.
Ses pensées n'arrêtaient pas de travers l'Atlantique au pacifique. Elle ignorait tout tout de son existence. Cependant était-elle prête pour faire face à la réalité.
Sans faire attention aux multitude cités banlieusardes qu'elle logeait depuis une demi-heure . Elle freina d'un coup devant une maisonnette parisienne à la gondole. Elle dessera sa ceinture ,enfila sa jacket avant de déserter la voiture.
Après deux sonneries. La porte s'ouvrit brusquement sans qu'il ait l'empreinte d'un être humain .
Elle entend de loin une voix assez costaud qui lui dit d'entrer. Gardant son sang froid jusqu'aux astres. Elle traversa le seuil de la porte et cette dernière se ferma automatique. Tout était noir, la peur trahissait ses pas. D'un coup d'assiette , elle sentit des mains posées sur ses hanches .
Avant même qu'elle puisse réagir le mystérieux père de Nitcha couvra un manoirs de baisers sur le coût d'Aida qui était sous le choque de la surprise.

_je t'aime Aida je t'aime je t'ai toujours aimé et je n'ai jamais eu l'audace de te l'avouer j'ai pas assez de force ni de courage pour me tenir devant toi sans me voiler la face et te déclarer mon amour. D'une voix désespérée

_tu... Tu.. T'es qui? Fit -elle entre deux temps

_mon identité cache un lourd secret te le dire s'est comme me pendre sur un large fossé rempli de caïmens.

_et pourquoi tu m'a appelé si je ne peux te voir ni te connaître.

_j'avais ta nostalgie car depuis cette nuit d'orage sur les sols sénégalais je t'avais perdu de vu.

Un silence lourd et frustrant à la fois s'installa dans cette maisonnette . Aida était contrariée car ce fameux homme n'arrêtait pas de la caresser vers le bas jusqu'à déborder les limites. En cet instant précis elle ne voulait qu'une chose qu'il continue qu'il augmente la dose qu'il va plus loin que possible.
Comme si ses sentiments avaient une bouche, il vouait à ces désirs charnels.

_pardonne moi Aïda car un jour viendra où tu sera allergique à ces mots.

Toujours sur ce qu'on appelle la folie instinctive, ces paroles étaient accompagnés de baisers débordants il enleva à la minute la jupe de la jeune femme qui appréciée de telle façon de faire[...]

Il n'avait Dieu que pour elle, il ne voyait qu'elle. Ils auront voulu que ce moment soit éternel ils auront voulu continuer vivre un tel "amour".
Mais l'heure avait sonné. Elle essaya de se libérer de son emprise, Elle sentait les mains de ce jeune homme sur son intimité qu'il coloriait de caresses. Elle voulu dire tellement de choses l'insulter, l'embrasser, le gifler...
On ignorait par quel miracle elle s'est revêtue et pris la route du route.
Pour la première fois l'air qui sortait des cabines de son véhicule l'énervé de plus en plus.

Elle posa ses clés sur la table à séjour. Monsieur devant lui affichait un regard déplaisant, sans poser aucune question il signait son silence habituel.

_je... Je suis parti voir e... Zy....

_j'ai pas besoin d'explications explosa t-il enfin d'un ton autoritaire.

_je t'ai jamais demandé quelque chose Aïda, j'ai toujours laissé passer tes caprices mais là s'en ai trop le minimun de respect s'était de me mettre au courant de ta sortie mais rien. Madame se croit parfaitement libre comme une papillonne tu abuses Aïda tu a-bu-ses. J'ai été direct avec toi la dernière fois mais je crois que tous mes propos étaient tombés dans l'oreille d'une sourde . Par contre je te promets qu'à partir d'aujourd'hui je vais économiser ma salive. Je ne perdrai plus de temps pour parler avec l'air ou dans l'air je sais plus.

"Moi Aïda L'épouse À 2 Fréres " Une Autre FinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant