Là où tu es les fumées sont reinesLà où tu es les moutons sont d'acier
Et je me livre à ma peine
Et je reste seul dans mes pensées.
Là où tu es le vent tape les grattes - ciel
Qui doucement s'illuminent
Là où tu es des oiseaux s'agglutinent
Et chantent leurs rimes artificielles
Même si les tours sont dominantes
Même si la brume des souvenirs
Me rappelle ma douleur constante
Sans pour autant revenir,
Alors même si les murs frissonent
Tel les abysses craquelées de la Terre.
Alors même si il en sort tout ce carbone,
Je me perdrai dans cet enfer.
A.L.